Partie XXIV

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Partie XXIV:" Les rumeurs sont inventées par des jaloux, répétées par des naïfs et crues par des imbéciles"






J'étais en train de le regarder pendant que lui avançait la tête baissée peut-être parce qu'il croyait que c'était sa mère ou sa soeur et qu'il avait honte. Je ne sais pas mais dès qu'il est arrivé, il s'est assis avec toujours la tête baissée alors je lui dis "Salem Shakîr" il releva la tête doucement et me regarda en mode scarface et il me dit:



Lui: Hahahaha *rire nerveux* krkr



Moi(sérieux il ressemblait à un psycho): Euh pou...pourquoi tu rigoles ?



Lui: Quoi ? *gros coup sur la table* QUOI ? GROSSE PUTE TU TE FOUS DE MA GUEULE KHEMJA ? TU CHERCHES QUOI ? TU VEUX CLAMSER ? TU VEUX DES COUPS ? QU'EST CE TU FOUS LÀ ? J'AI DIS JE VEUX PLUS TE VOIR ZEUBI TU SAIS PAS LIRE C'EST SA ?



Le gardien: CALME TOI SHAKIR



Lui: EH FERME TA GUEULE TOI TROU DU CUL



Le gardien: ...........



Moi: Calme toi Shakîr tout le monde nous regarde et je voulais juste des explications (baissant la tête)



Lui: JE M'EN BAT LES COUILLES WALLAH, ET FAIS PAS L'INNONCENTE TU ME FOUS ENCORE PLUS LES BOULES. T'ES UNE PUTE, T'AS JAMAIS CHANGÉ ENFAITE ZEUBI J'AI SALI MES MAINS POUR UNE KEHBA; TU TE RESPECTES PAS OK C'EST TON PROBLÈME JE M'EN FOUS DE TOI ET DE TA VIE DE MERDE MAIS SALIS PAS MON NOM SALOPE; WALLAH T'AS DE LA CHANCE JE SUIS PAS DEHORS MAIS ATTEND LE CORAN MÉRYNAH ATTENDS TU VAS LE REGRETTER. C'EST PAS PARCE QUE JE SUIS ENFERMÉE QUE JE SAIS RIEN HEIN NON LOIN DE LÀ MAIS T'INQUIÈTES



Moi(les larmes aux yeux que j'essuya d'un revers de main): Je sais pas qui t'as dis ça Shakîr mais les deux yeux de Ihsène Shahîd je t'ai jamais trompé ou quoi que ce soit d'autre j'ai arreté avant même d'être marié avec toi mais mehlich aujourd'hui tu me rabaisses devant des inconnus mais t'inquiètes Shakîr la roue va tourner, à ta sortie tu sauras la vérité InShâAllah et tu t'en mordras les doigts j'ai hlef tu vas t'en mordre les doigts et ça sera trop tard on sera plus là, avant de venir te voir je me suis dis si on arrive à arranger les choses beh on les arrange et tout rentre dans l'ordre et si on n'y arrive pas je pars avec Ihsène Shahîd et tu le verras pas pendant un long moment et quand on reviendra ton fils aura grandit et moi je serais redevenue celle que j'étais avant que tu me détruis maintenant Salem *partant*

Lui: TU VAS ALLER OU AVEC MON FILS HEIN LA CON DE TA RACE RESTE ICI MÉRYNAH RESTE LÀ, T'AS PAS LE DROIT DE ME PRIVER DE MON FILS



Le gardien: ON LE RAMENE DANS SA CELLULE CELUI-LÀ







Je suis partie avec l'envie de me retourner mais le peu de fierté qui me restait m'en empêcha malgré les cris et les menaces de Shakîr je suis partie avec le coeur lourd... le coeur détruit.

Me voilà enfin sortie de cette prison, je souffla, essuya les quelques larmes qui avaient coulaient et regagna ma voiture pour enfin rentrer.

Arrivée à la maison, je pus voir Céliana par terre qui portait Ihsène Shahîd au dessus d'elle, comme ça: http://us.123rf.com/400wm/400/400/serrnovik/serrnovik1210/serrnovik121000287/15861086-jeune-femme-jouant-avec-son-fils-dans-le-parc.jpg elle lui parlait, lui faisait des grimaces, j'étais sur le cadre de la porte du salon en train de regarder mon fils, il est tellement beau, tellement innocent mais il devra grandir sans son père pendant un moment, moi qui me suis mariée avec Shakîr pour que mon fils ait son père à ses cotés beh finalement ça ne sera pas le cas et tous ça à cause des rumeurs.



Bref je les rejoigna, m'allongea par terre à coté de Céliana et on se mit à regarder Ihsène Shahîd qui souriait, c'était un beau moment que j'hésita pas à prendre en photo puis je pris mon fils et m'asseya sur le canapé et joua avec lui jusqu'à que Céliana me dit:

Indyana: Ancienne prostitué dans une citéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant