Chapitre 2 : Nuit agitée

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Je pousse la porte en silence, espérant que mon père n'est pas encore rentrer. Ma mère est dans le salon, les yeux braquer sur la télévision a fixer une émission comme une zombie revenu a la vie.

Super, ma mère qui ne réagit pas , égale mon père assis avec agacement dans son fauteuil en cuir noir, la télécommande ( a moitié écrabouiller) a la main. Je n'ai pas fais trois pas que le ton glaçant de mon père se fait entendre dans tout l'appartement.

- Sarah !!! Crit il

- Je suis la papa, dis je en jetant mon sac a l'entrer et en faisant un signe de croix dans l'espoir que je n'aurais qu'une réprimande comme simple avertissement.

Lumière tamisée, une forte odeur de café et de cigarette, j'arrive dans notre minuscule salon plonger dans une semi obscurité, avec pour seule éclairage la télévision qui diffuse une émission sur les prison d'Amérique.

Ou étais-tu passer ? Dit il de sa voix rauque.

Son ton est dur et sans équivoque, l'expression de son visage ne dit rien qu'y vaille mais je garde tout de même espoir que son self-control prendra le dessus sur sa rage.

En route pour la maison, dis je simplement tout en croisant les mains dans mon dos. Ne me répond pas sur ce ton, dit il en se levant violemment.

Le fauteuil bouge légèrement tandis que le mu qui était poser sur l'accoudoir tombe au sol sans se briser dans un bruit sourd. Ma mère me ramasse mais ne perd pas une miette de la scène sans intervenir. Elle sait exactement ce qui l'attend en ce mettant en travers de son chemin, une claque des jurons et une nuit interminable a essayer de le calmer sous ces excès de violence qui pour moi ressemble plus a de l'abus sexuelle non consenti.

J'ai un mouvement de recule lorsqu'il s'approche de moi d'un air menaçant, je ne dois pas le provoquer, avec la télécommande qu'il porte a la main tels un marteau. Je pourrais me prendre un coup qui me laisserais une marque. Une fois a ma hauteur, l'odeur putride de son haleine me frappe le visage, j'ai envie de vomir mais me montre stoïque pour lui montrer tout de même que je ne suis plus la petite fille apeurée qu'il a élevée.

Mon bus avait du retard, dis je en baissant la tête, le temps d'arriver a la maison, j'ai du gratter quelques minute voila tout. C'est tout ce que tu as a me dire, dit il, le bus ?

Je garde le silence tout en jetant un œil a ma mère qui dégluti a chaque respiration de mon père. Peut-être que je n'avais pas été aussi discrète que je le pensais.

Tu me prends pour un idiot ?! Crit il en m'assenant une claque de sa main libre.

Je me retrouve projeter au sol, ma joue me lançant violemment, heureusement pour moi il n'a pas utiliser la télécommande pour me frapper.

Tu crois que je ne t'ai pas vu, dit il en le crachant presque, sortir d'une voiture coûteuse devant l'hôtel Mercury, les cheveux en pagaille et les joues plus rouge qu'une tomates !!!  Tu crois que j'ai élever une pute !!

Je ne dis rien, si je le répond il pourrait m'arracher les cheveux ou pire encore...

Je relève la tête vers lui, il a les yeux injecter de sang comme ci il avait bu avant de rentrer a la maison.

Mon père ne me ressemble en rien, j'ai plutôt hériter des trait de ma mère qui comme moi, a une longue chevelure brune mis cuivrer mais qui la differences a des yeux d'un noir sombre. Mon père quand a lui, est blond avec des yeux bleu / vert. Il est plutôt grand malgré une bosse au niveau du dos qui le courbe légèrement.

Salope, crache t'il de nouveau, tu as vu Sophia, notre fille donne son cu a qui le veux bien.

Ma mère ne dit rien elle n'on plus a par acquiescer lorsque mon père lui lance des regard insistant.

THE SEDUCTIVE ALIEN THREAT #Sarah&Kal Où les histoires vivent. Découvrez maintenant