THE SEDUCTIVE ALIEN THREAT #Sarah&Kal

Chapitre 4 : Dette et châtiment

La façade de l'hôtel est d'une beauté artistique, arborant le style des grec ancien avec des couleurs nude et sombre pour le cote luxe et modeste. Je ne suis rentrée à l'intérieur ce palace, car de rare occasion comme pour les événements d'exposition d'artiste internationaux ou encore une réception littéraire que la ville accueille chaque année.
Je n'ai jamais eu l'occasion de moi même y rentrer pour passer un simple séjour, d'une parce que j'habite juste a côté et de deux car je ne pouvais pas me payer une chambre avec le maigre salaire que j'avais. Dire qu'isaac avait eu l'opportunité de travailler dans cette hôtel et le salaire qu'il proposait bon sang j'aurais accepter sans hésiter une seconde, deux mille euros plus la prime de fin d'année en tant que réceptionniste et manager de l'équipe technique. Mais non, fondre son café libraire était son rêve, écrivain tout comme moi illl aspirait a une vie simple et vendre ces livres a des milliers d'exemplaire comme JK Rowling avec le côté raciste en moins.
Je savais de moi même que travailler avec lui me rep approcherais de mon propre rêve également, mais rester dans cette ville n'est pas ce dont je rêve, je compte bien ouvrir une franchise dans une ville au couleurs plus chaude ailleurs, loin de mon père qui profitera de mes bénéfices pour payer ces propres dépenses et une fois que j'aurais atteint j'irais chercher mon frère et ma mère pour vivre la vie de rêve dont j'aspire. Avec un peu de chance, je rencontrais l'homme de ma vie au detour d'un chemin, on se détesteras au début oui on finira par s'aimer et on aura une multitude de gamin, oui je rêve beaucoup, mais l'espoir fait vivre en quelques sorte.

Je ne me suis pas rendu compte que mon père, d'habitude si bavard, soit rester silencieux pendant tout le trajet. Il marche de manière nerveuse vers la réception, avec une grosse tache de sueur dans son dos, l'air penaud et ailleur.
La réceptionniste nous accueille un sourire crispé sur le visage, elle doit connaître mon père depuis tout ce temps, lui qui passe ces moment de libertés a louer une chambre a l'heure pour profiter de ces instants avec ces maîtresses.

Elle jette un regard vers moi que je trouve hypocrite, je lui fait savoir qu'il s'agit de mon géniteur, et partageant une amitié soudaine, elle me fait comprendre par le regard qu'elle compatit a ma douleur que je remercie d'un hochement de tête.
Une minute plus tard, elle nous conduit dans les restaurant le plus coûteux de l'hôtel, mon père a t'il l'intention de m'inviter a diner pour se faire pardonner de toute ces années passer a ces côté qui on été plus qu'horrible, j'en doute fortement.

La salle est quasiment vide, hormis une, trois homme sont attablé a une table discutant avec sérieux comme ci les choses était grave, nous avançons jusqu'à eu d'un pas décider ne réalisant pas a qu'elle point l'air devient irrespirable lorsque le plus grand d'entre eux, nous fixe d'un œil perçant.
Je ne respire quasiment plus, leurs yeux de fouine me transperce comme ci j'etait un animal en cage près a me faire dévorer.
Une fois a leurs table, celui du milieu se lève et serre la main de mon géniteur qui pali lorsque sa peau rentre en contacte avec la sienne, de mon point de vue, c'est le plus beau et sympathique des hommes autour des cette table.
Yeux marron voir doré cuivré, des cheveux d'un blond magnifique une mâchoire carré et rond a la fois, grand malgré son air enfantin, une dentition parfait et le teint allée, sa ne fait aucun doute une beauté pareille sa n'existe pas chez les humains, c'est un alien.

D'où le regard inquiet de mon paternel qui est au aguets au moindre de ces mouvements.

Je suis content de voir, commença l'alien, que vous vous soyez libérer.
J'avais un trou dans mon planning, dit mon père en s'asseyant.

Je m'assois a mon tour comprenant que je ne suis la que pour le soutenir émotionnellement, autant rester silencieuse pour ne pas attirer les regard vers moi. L'homme au regard perçant ne me lâche pas des yeux, du moins c'est ce que j'affirme, il porte des lunettes de soleil, son crâne chauve me fait presque penser a un garde du corps qui n'est la que pour faire tapisserie mais qui n'hésitera pas a se battre si on s'attaque a lui. Je baisse les yeux, priant pour qu'il détourne son regard mais je le sens encore peser sur moi.