Chapitre II

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Mes pensées s'embrouillent, cherchant des réponses que je ne trouve pas dans l'immédiat

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Mes pensées s'embrouillent, cherchant des réponses que je ne trouve pas dans l'immédiat. Dans un mélange d'incompréhension et de gêne, je décide de me rhabiller furtivement, évitant tout contact visuel avec l'inconnu endormi. Quitter l'appartement devient une nécessité pressante, laissant derrière moi cette incident.






[Quelques heures plutôt ]

Je me réveillai d'un trait, allongé sur le lit, mais seul dans une chambre dont j'ignorais l'origine. Les rappels des précédente heures affluèrent, et la perplexité s'empara de moi. Zhan comment t'as pu laisser les choses dégénérer à ce point ? Ma tête était encore légèrement étourdie, une empreinte persistante de l'alcool, bien que j'ai désormais repris le contrôle de mes sens. Émergeant du lit, je m'aventurai à marcher à la recherche d'eau. La pièce était plongée dans une semi-obscurité, et je faisais attention à ne pas trébucher. En ouvrant le frigo à la recherche d'une bouteille d'eau, mon regard fut captivé par une bouteille de bière. Évidemment, l'alcool n'était pas prêt à me laisser tranquille. Je tendis la main pour attraper la bouteille de bière, pensant naïvement qu'un peu d'eau houblonnée pourrait constituer une cure miracle.

– Juste un peu ne fera pas de mal! Pensais-je à voix haute. C'est à ce moment-là qu'une voix grave et familière me fit sursauter.

– Je ne suis pas sûr que la bière soit le remède idéal.

– Ah, c'est vous. Je me retourne pour découvrir l'inconnu de la nuit dernière.

Il portait un t-shirt gris, vieilli par les péripéties du temps, et un short noir. Les nuances subtiles de son habillement semblaient composer une palette avec chaque teinte représentant les martyre des nombreux lavage. J'esquive un sourire forcé à ces yeux en amande durs et profonde, qui me zieutait. incroyablement elles ressemblaient à des toiles bien travaillées, capturant l'intensité qu'elle s'y dégage. Je n'avais pas remarqué que le barman qui a passé la soirée a écouter mes tourments était vraiment impressionnant, non! séduisant. Les bras croisés, il se tenait là, appuyé de manière nonchalante contre le mur, telle d'une sculpture qui aurait bravé le temps.

– Je..j'essayais simplement voir si les bouteilles étaient fraîches, d'ailleurs, tu devrais peut-être faire révision ton frigo car il a l'air assez faible, je fermais la chose avant de racler nerveusement ma gorge.

– À ce que je constate vous êtes lucide. Maintenant que vous êtes réveiller, pourquoi ne prendre un taxi et rentrer. J'ai finalement essayé le sofa et ce n'est pas très confortable.

– Oui! je vais aller chercher mes affaires, merci pour ton hospitalité.

Je rassemble mes affaires, et il me raccompagne jusqu'à la porte. C'est bizarre mais, je me sens étrangement déçu, comme si quitter cet endroit était synonyme de la fin d'une chose intéressante. C'est absurde ! Je ne connais pas cet homme. Il a entendu toute mon histoire amoureuse chaotique, mais je n'ai aucune idée de son nom, de son âge, ni de rien du tout. Arrivé à la porte, je réalise soudainement que je pourrais ne plus jamais recroiser son chemin. Alors, dans un accès de curiosité, ou de folie momentanée, je me retourne.

Moonflowers ʸⁱᶻʰᵃⁿOù les histoires vivent. Découvrez maintenant