The Wolf Gang

CHAPITRE 3

PDV Athéna

Toujours dans les bras de mon âme sœur, je ne suis pas en capacité de me libéré alors je ne résiste plus et optempère mais croyez moi il ne perd rien pour attendre.

Je regarde la route qui défile devant moi quand enfin au loin j'aperçois un manoir qui se dessine sous mes yeux. Je souffle de soulagement de savoir que je vais pouvoir enfin me détacher du corps d'Amadeus. Son bêta entre dans la propriété puis dirige la voiture sur un style de parking qui est déjà à moitié plein.

Bêta " Nous sommes arrivé alpha."

Amadeus " Merci Thomas."

Il se gare puis quitte la voiture pour venir nous ouvrir. Amadeus me relâche puis sort en premier avant de venir me tendre sa main en guise d'aide, chose bien sûr que je refuse par une tape sur sa main. Je quitte à mon tour la voiture et me plante devant Amadeus et son bêta.

Amadeus " Il se fait tard, tu dois être fatiguer de cette journée, je vais t'amener à ma chambre."

Les mots ma chambre me reste en travers de la gorge. Monsieur crois vraiment que je vais dormir avec lui après ce qu'il m'a fait. Nan mais j'hallucine. Il commence à s'avancer en direction de son manoir mais s'arrête quand il voit que je ne le suis pas. Il me regard et m'interroge par la pensée, chose  qui m'énerve sachant que maintenant que nous sommes lié, nous pouvons communiquer sans parler.

Amadeus " Vient Athéna."

Moi " Non."

Amadeus " Il est tard petite louve et tu as besoin de repos."

Oh que c'est mignon, monsieur s'inquiète pour moi. Je lui lance un sourire sarcastique

Moi " Déjà sort de ma tête et après je ne dormirai pas dans ta chambre."

Il s'approche rapidement et sans que je n'ai eu le temps de comprendre me voilà à nouveau sur son épaule. Je cris et le frappe au dos pour qu'il me lâche mais en vain, il continu sa route et je ne peux que regarder la demeure sur l'envers. Son bêta nous souhaite bonne nuit puis disparaît quant à moi je me débat toujours jusqu'à que je sente enfin mes pieds se poser sur un sol.

Moi " Nan mais ça va pas dans ta tête. Je ne dormirai pas avec toi."

Amadeus " Comme tu voudras mais moi je vais me coucher."

Je le vois fermé la porte à clé qu'il retire saignement après puis la secoue devant mes yeux avant de venir la glisser dans son pantalon. QUOI ? PARDON ?

Amadeus " Ne sois pas choquer petite louve, c'est pour ta sécurité et mon bien être que je fais ça. "

Moi " Amadeus laisse moi sortir."

Amadeus " Non."

Son non est ferme et froid.

Moi " Je ne dormirai pas dans le même lit que toi."

Il s'avance à moi et vient capturer mon menton entre ses doigts m'obligeant à le regarder droit dans les yeux.

Amadeus " Écoute moi bien petite louve, tu es mienne, tu es ma destiné, ma moitié, ma Luna, mon âme sœur alors tu vas rester à mes côtés que tu le veuilles ou non. Ma louve, mes règles, mon lit un point c'est tout. Sur ceux je te souhaite bonne nuit. "

Il dépose un baiser sur mon front sans que je n'ai le temps de le repousser puis relâche mon visage. Mes larmes menacent de couler mais par fierté, je les retiens. Je lui ferai pas le plaisir de me voir vulnérable face à lui.
Il se sépare de moi et retire ses vêtements qu'il balance sur une chaise se laissant seulement vêtu d'un boxer. Mes yeux se pose sur son corps et comme je l'avais bien vu, cette homme a été sculpté tel un dieu grec.

Amadeus " La vue te plaît petite louve ?"

Sa phrase me ramène au présent et je ne peux que détourner mon regard de lui. Après quelque seconde, je regarde autour de moi et m'aperçois que mon âme sœur est coucher dans son lit, un drap le recouvrant seulement jusqu'à sa taille.

Amadeus " Vient te coucher Athéna."

Je secoue la tête de droite à gauche puis éteint la lumière ne voulant pas qu'il me voit pleurer silencieusement. Je me laisse glisser contre la porte de la chambre et me recroqueville sur moi même entourant mes jambes de mes bras. Je pleurs je ne sais combien de temps quand enfin morphé décide de m'emporter au pays des rêves.

J'ouvre mes yeux et me retrouve dans une forêt où un lac d'un bleu éclatant ce dessiné devant moi. Où suis-je ? Comment j'ai fait pour atterrir ici ?

????" Approche toi mon enfant. "

Cette voix que je ne connais pas me parvient, elle est douce et je sais pas mais j'avance en direction du lac. Arriver au bord, la voix revient une nouvelle fois.

???? "Vient mon enfant, je suis là."

Curieuse j'avance encore et pose un pied dans l'eau qui me surprend à être chaude. Je regarde mes pieds et c'est seulement maintenant que je m'aperçois que je suis complètement nue. De nature timide sur la nudité en général, je me surprend à aimé le fait que l'eau réchauffe mon corps et que l'air vienne caressé ma peau.

????? " Vient plus près mon enfant. "

J'écoute la voix et m'avance à travers l'eau qui recouvre petit à petit mon corps jusqu'à que seul ma tête ce trouve encore à l'air libre.

????? " C'est bien mon enfant maintenant rejoind moi."

Moi " Qui êtes vous ?"

????? Celle qui a fait de toi une louve."

Je réfléchi quand un seul nom me vient en tête.

Moi " Aphrodite ? 

????? " Oui mon enfant."

La déesse de l'amour me parle serait-ce car je l'ai en quelque peu insulté ? Veut-elle me punir pour mon insolence ?

Moi " Aphrodite que me voulez vous ?"

Mes membres commence à trembler ne sachant pas à quoi m'attendre.

Aphrodite " Je veux seulement te montrer ce qu'est l'amour mon enfant. Je ressent ton rejet à son égard mais sache que moi déesse de l'amour je ne me trompe jamais. "

Moi " Je....je suis désolé de vous avoir contredit mais....."

Aphrodite " Chutt mon enfant, je t'en veux pas, je veux juste te montrer ce que serai ta vie à ses côtés. Tu es sa destiné mon enfant et sa rédemption, il lui aura fallu 42 ans pour trouver son âme sœur. Tu dois le laisser entré. Il a besoin de toi comme tu vas avoir besoin de lui. Plonge mon enfant et tu verras, tu sauras."

J'hésite mais comment ne pas accepter de voir son futur quand c'est Aphrodite, déesse de l'amour qui vous demande de l'accepter. Alors je prend une grande inspiration puis bloque ma respiration et laisse mon corps avancer jusqu'à que ma tête sois submergé de cette magnifique eau clair. Mes yeux clos encore, je les ouvrent non sans mal et là je vois, je le vois, je me vois et je nous vois.