De passe un état ensoleillé à un état où la pluie règne me fais du bien, j'adore la pluie et les forêts, j'adore les dessiné et écrire dessus moi qui est enfermé depuis qu'on m'a diagnostiqué cette maladie, l'épilepsie, ma première crise je les ai après être rentré de la maternité j'avais trois semaines, et je tais simplement dans mon lit et seule mais parents ne l'on pas vu la deuxième trois semaines après et là je suis tombé tellement fortement au sol qui mon emmené en urgence à l'hôpital et on m'a fait des examens et des examens complémentaires et on rien trouvé de cohérent il ont fait d'autre examens de nuit et c'est la qui ont compris, il ont informé mes parents et la seule chose que j'ai ais lu dans leur yeux s'était de la culpabilité et qui voulais fuire, après sa il y avait un énorme focés entre nous, il on eu le déni total et on a fait plusieurs hôpitaux et mon corps était remplis de bleue que j'ai même faillit être dans les services sociaux mais j'avais fais une crise devant eux juste avant je mettais cogné le bras et il était cassé.
Mais il était toujours dans un déni et se disputent en se rendant la faute.
On arrive devant une maison. Magnifique je trouve ancienne mais moderne. Je prennais mon sac avec mes vêtements à l'intérieur et laissé mes parents encore se disputer pour des broutilles, je n'avais pas de chien car mes parents était tout les deux allergique à l'acceptation et vraiment allergique à leur poils. Je savais très bien les repérés depuis et savais mes symptômes à l'avance. Je regardais l'heure est pris se foutu médicaments de prévoyance santé tu parle il attinu juste les symptômes mais pas la crise qui commence mais me laisse debout et je souffle apres plusieurs fois pour reprendre la contrôle de mon corps et de mon esprit, je m'allonge sur le canapé et m'endors d'épuisement qui ne traine pas avec l'arrivé en vacarne de mes parents qui em fais me lève pour êtres loin de eux et de leur culpabilité et de leur foutu rage. On a déjà mangé et je vais prendre une douche et vais me coucher directement. A oui demain je vais pour la première fois au lycée de Forks en terminale.
Le matin mes parents sont aucunement présent la maison est vide de leur affaire et aucun mot y est j'appelle ma mère et tombe sur le régulateur d'opérateur qui me dit que le numéro demande n'est plus attribué et même chose pour mon père et je fouille la maison et personne, il m'on abandonné ici. Une crise commence est je tombe en convulsant et tombe sur un coin d'un meuble et ma crise s'arrête 5 minutes après et je lève mon bras sur mon front et vois que je saigne au niveau de mon front et attend avant de me relève et cherche mon portable et appelle se Docteur Carlisle Cullen.
Le téléphone sonne et il répond
Carlisle : Docteur Cullen à l'appareil
Moi : bonjour, je m'appelle Mlle Callista Nereus, j'ai rendez vous avec vous dans deux semaines pour un diagnostic mais je viens de faire une crise d'épilepsie et mes parents ne sont pas présent ou même absent je les ai cherche partout appelle et aucun répond à mon appel et tombe sur le régulateur d'opérateur qui me dit qje le numéro demandée n'est plus attribué qui a déclenché la crise je crois et je me suis ouvert la tête en me cognant sur un coin de meuble,
Carlisle : vous êtes diagnostic vous même ?
Moi : non mes des centaines de médecins que mes parents ont ignoré jusqu'à aujourd'hui
Carlisle : vous arrivez à parlé et marché ?
Moi : pas trop j'ai des vertiges et une envie de vomir
Carlisle : j'ai envoyé des personnes de confiance vous cherchez, j'habite pas loin de votre demeure et vous accompagnerons directement à mon cabinet à mon domicile
Moi : d'accord
Carlisle : on attendant comment vous trouvez Forks ?
Moi : pour l'instant je ne les pas encore découvert assez pour en dire d'avantage mais j'adore la forêt et la pluie
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un amour à en mourir (Twilight)
Fanficje viens d'arriver à Forks petite ville pluvieuse de l'Amérique, ou je dois encore rencontrer un docteur pour qui le dit" désolé votre maladie peut être contrôlée par des médicaments et un suivi thérapeutique" S'il savait a quelle point ce discours...