CHAPITRE 10-

73 6 2
                                    

- je vais chercher ma mère à l'aéroport ,,luis repondis-je du tic au tac

- oh , d'accord

Elle n'y vois que tu feu

- bien , veille sur elle , je ne serai pas long

- t'es sérieux ? As-tu vraiment besoin de me le dire ?

Je ne répond pas , et sors de la maison

****

Cette odeur de sang humain provenant de la salle noir ne manque pas de me souhaiter la bienvenue,  puis je regarde , puis je me rend compte que le QG n'a pas du tout changé et l'atmosphère encore moins , Deux bonnes années,  deux putain de bonnes années que j'avais coupé tout contact avec le cartel , mais voilà qu'aujourd'hui j'y remet les pieds , certe ,mon retour ici était très bien réfléchis mais le viole de tamilah par ce porc de collman n'a fait que réveiller le <<moi>> qui s'était rendormis suite à ce qui s'était passé...

-  jayden, n'y vas pas je t'en prie , me criais ma mère

- Non, repondis-je d'un ton sec , il faut que j'aille la chercher

- s'il te plaît mon chéri,  reflechis-y bien , ils sont trop nombreux , tu risques de te faire tuer , je t'en prie....

- je reviendrais maman ,, la coupais-je

Elle retorque mais je n'y prête pas attention et me dirige vers la sortir, je monte dans ma bagnole et démarre tout droit chez les grimms

Lorsque je pose un pied sur le camp adverses , mon sang ne manque pas de faire un tour avant de se glacer ,plus je me rapproche,  plus je sens mon inquiétude monter , car jusque là je ne vois personne que je pourrais suivre et qui pourrait m'amener à elle

Mais comme ci Dieu avait écouter ce que disais mon coeur , j'entends des voix et des pas qui se rapproche,  je me planque quelque part et les laissent avancer avant de me faufiler derrière eux , et avant de m'en rendre compte,  je me retrouve dans une salle , complètement noir, éclairé par une faible lampe

-  on n'y vois rien ici
Fis l'un des hommes

- tu n'as qu'à allumer la lumière c'est tout

L'autre s'exécute,  les lumières sont allumés et je vois mieux les visages de mes guides , heureusement qu'eux ne me voient pas , ils semblent regarder vers le tas de meubles poussiéreux que J'aperçois juste près d'eux , lorsque je me décide à les suivrent du regard , je la vois, je vois ma laïla, ma bien aimée , attaché,  et balafré,  a en voir l'état de son visage ,je crois que ses plaies sont bien profondes,  les deux hommes s'avancent , et l'un d'entre eux la detache avant de saisir brutalement sa main et là je sens la mienne se tordre comme ci s'était elle qu'il tenait .

Il l'a pousse violemment et la plaque contre le mur collant ainsi son sal corps maigre de grimm contre elle et commence à la toucher

- hé, mec qu'est ce tu fou?

-  ça ne ce voit pas ? Non mais regarde la , elle doit drôlement être bonne tu crois pas ?

- ouais , elle est bien foutue la petite , mais le patr-

- oh , la ferme,, le coupa t-il,, , quoi le patron ? Le patron a lui même demandé à ce que nous nous occupions d'elle n'est ce pas ? Alors quoi de mieux que de lui faire voir de 7e ciel?

Et l'instant d'après il se met à la déshabiller,  elle pleure , elle cris , elle demande de l'aide et le pire c'est que c'est mon nom qu'elle appel mais moi , moi je suis figé sur place , j'ai les mains qui tremble ...

le deuxième hommes qui jusque là était entrain de regarder la scène,  se jète a son tour sur laïla avant de lui mettre la main sur la bouche pendant que l'autre la pousse violemment sur le meuble avant de l'écraser de tout son poids puis se met à la penetrer sauvagement,  tel un loup qui devore sa proie . 

L'ÉTUDIANTE VOILÉE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant