"Liens Naissants"

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Chapitre: 2
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J'attends un instant, attendant qu'il goûte les petits biscuits que j'ai faits avec beaucoup d'amour. Je le vois les regarder, puis il me regarde avant d'en prendre un et de le goûter. Il ferme les yeux pour mieux savourer.

Après un moment, il me regarde droit dans les yeux et me dit : "C'est bon" sans aucune expression. Oh mon dieu, merci, je suis tellement heureuse! Je saute de joie sans m'en rendre compte, mais je reviens vite à ma place en me souvenant que le caporal m'observe encore. Je rougis et lâche un léger "désolé".

Moi : "Voulez-vous que je vous aide avec vos rapports, caporal?" Il me regarde un instant et lâche un "comme tu veux".

Je m'avance près de lui, lui demande ce que je dois faire. Je ne peux pas m'empêcher de rougir alors qu'il m'explique les instructions.
Moi : "D'accord." Je dis doucement puis le regarde dans les yeux et lui souris.
Moi : "Je m'assois où, caporal?" Livaï : "Ramène une chaise à côté de moi pour que j'observe ton travail."

Après m'être installée, je ne peux pas m'empêcher de l'observer du coin de l'œil. Soudain, il tourne la tête vers moi. Oh non, je suis prise en flagrant délit, je ne sais pas quoi dire. Je sens mes joues chauffer et détourne le regard, me concentrant sur la lecture de la feuille. J'entends un "tch" et il se reconcentre lui aussi.

Oh non, il va me trouver ridicule. Je n'arrive plus à lever la tête, peur de mourir de honte.
Livaï : "Montre ce que tu as fait."

Moi : "Bien sur , regardez." Il observe un instant la feuille et lâche un "mh" avant de me la rendre.
Moi : "C'est bien?"

Livaï : "Mh." Il reprend une gorgée de son thé qui semble avoir refroidi. Je lui demande si je peux lui en servir, et il hoche la tête.

Je me penche sur la théière pour lui resservir du thé, mais en me penchant, je renverse sa tasse sur sa chemise blanche.

Moi : "Oh non, caporal, je suis désolée. Oh non, pardonnez-moi, je ne voulais pas." Je le vois essayer de se calmer en fermant les yeux et en respirant très fortement.
Moi : "Oh, caporal." Je lui dis en mettant ma main sur son bras.

Moi : "Il faut vite l'enlever, sinon vous aurez froid et vous tomberez malade. Ce qui n'est pas mon bute. Je suis prête à recevoir n'importe quelle punition, mais s'il vous plaît, ne restez pas fâché contre moi, S'il vous plaît, caporal, je suis tellement désolée, je ne sais plus quoi faire, Oh non."

Livaï : "Ce n'est rien, calme-toi. Je te pardonne."
Et là, j'étais confuse et heureuse.

Moi : "Oh, merci, caporal. Vous êtes tellement gentil. Merci." Je lui saute dessus et me remets en place en me rendant compte de ce que j'ai fait, et là, j'étais sûr de m'être mise dans la merde.

Moi : "Allez caporal, je sais ce que je viens de faire est impardonnable. Je suis prête à recevoir la punition." Je le regarde en baissent ma tête rouge de honte et il me regarde. Il commence à déboutonner la chemise en me regardant avec des grands yeux choqués de mon geste précédent.

Livaï :"...j'arrive." Je le vois entrer dans une autre pièce et revenir après quelques minutes avec une nouvelle chemise, puis il se rassoit à côté de moi avec un torchon dans la main qu'il me tend et que je prends de suite.

Je commence à éponger le thé et après avoir fini, il le prend et rentre dans la pièce de tout à l'heure.
Il revient après quelques seconde, se rassoit à côté de moi, et dit : "Allons manger, c'est l'heure." Moi : "Mh." Je dis, puis nous sortons côte à côte."

Le silence est pesant dans les longs couloirs, donc je décide de parler. Moi : "Dites, caporal,regrettez-vous de m'avoir accueilli et d'avoir accepté que je vous fasse du thé?"

Livaï : "... Non je ne regrette, mais ce soir tu vas coméme nettoyer les écuries." Je le regarde et lui fais mon plus beau sourire.

Livaï : "Tch."

Moi : "ça me fait plaisir de vous aider n'hésitez pas a me demander de vous aider ou de vous faire du thé je serai toujours a disposition pour vous et pour les écuries c'est comme si c'était fait"je lui dit en montrant toutes mes dents.

Livaï : "D'accord je viendrai te voir a 8h dans les écuries est je verrai où tu en es"

Moi : "Oui, chef!" Je dis avec beaucoup d'enthousiasme, non pas que je vais devoir me taper les écuries, mais parce que je suis heureuse d'avoir pu développer quelque chose avec le caporal. Je ne sais pas c'est quoi, mais notre relation s'est vachement améliorée.

Après avoir chacun mangé de son côté, je cours le rejoindre en le voyant sortir du réfectoire.
Moi : "Caporal, attendez! Vous aimez les gâteaux a la pomme?"

Livaï : "Je n'ai jamais goûté."

Moi : "Ah bon? Ce n'est pas grave, je vais en préparer un pour le petit déjeuner demain et je vous rapporterai votre part, bien sur je vous garderai la plus grosse pour que vous puissiez la déguster longuement est si vous aimait, je vous referai une spécialement pour vous et dirait a ma mère de m'envoyer d'autres pomme".

Livaï : "Tch, comme tu veux"

Moi:  "j'espère que vous l'aimerais, a tout à l'heure caporal je dois aller a l'écurie"

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Jusqu'à La Fin.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant