A world split in two t.1

Chapitre 10 (le reflet)

La vie ses comme son reflet dans un miroir. Quand on le regarde on voie quelqu'un de laide, pathétique, monstrueuse, faible, innocente. Stupide. Mais quand ses les yeux de quelqu'un d'autre qui regarde notre reflet. A ses yeux on est magnifique, angélique, douce et intelligente. Ses exactement pareil pour la vie. On croit tout savoir de notre vie, on croit quel est parfaite, on croit être entouré de personnes qu'on aime et de personnes de confiance. Mais du jours au lendemain, la personne en qui on avais une confiance aveugle nous poignarde dans le dos. Même si pour mon cas un couteau dans le dos aurais été le paradis à comparer à sur quoi je suis tombé.  Longan m'avais dit un jour :

«si tu na confiance en personne, alors tu vivra dans la crainte et la peur»

Mais il avais tort, ses seulement si on fais confiance qu'on fini par vivre dans la crainte et la peur. Je lui ai accordé ma confiance et voilà où j'en suis.

Je reviens au moment présent et me rend compte que je suis toujours assis sur l'un des tabourets de l'îlo. Je prend mon bol de céréales toujours plain et ouvre le composte. Je fini par déposer mon bol vide dans le lave vaisselle et commence à me diriger vers les escaliers.

- ta eu trais chaud Patric. tu crain plus rien grasse à ses veilleuse

Je tourne instinctivement la tête et aperçoit Eliott, il est endormi sur le divans et la lumière de la télé danse doucement sur son visage. Je m'approche sans faire de bruit et quand j'arrive au côté de lui, je remarque l'étrange personnage éponge qui joue à la télé. A côté de lui se trouve une étoile de mer rose avec des culottes verte fleuries. J'attrape la télécommande et étain la télé. Je replace sa couverture pour qu'il nais pas froid pendant la nuit. Il a beau être un salle con, être arrogant, grincheux et être culotté de la tête au pied, il m'a sauvé et sa je ne l'oublierai jamais. Je remonte à ma chambre. J'ouvre la porte et m'engouffre a l'intérieur. J'allume rapidement la lumière et me dirige vers la salle de bain. J'ouvre la porte et la referme derrière moi. Je me retourne et regarde mon reflet dans le gigantesque miroir accroché au mur. Je fixe mon propre regard. J'ai toujours des cernes et le tain blanc. Mais je ne suis plus entre leurs main. Mais comme on dit, quand la lumière arrête de briller, les monstre ne son pas loin. Mais dans mon cas elle me suive partout. Car la lumière ses éteinte il y a bien longtemps.

Je voie toutes leurs main sales sur moi. Tousse sans exception. La pression de leurs mains sur mon corps semble tellement réaliste qu'on dirait quels me brûle. Je sent peu à peu mes yeux se remplir de larmes. Je reste immobile comme une statue.

- ses pas vrai, se n'es pas réel...

J'y suis habitué, depuis que je suis sorti de la maison du monstre sa ne s'arrête plus. A chaque fois que je regarde mon reflet ils réapparaissent.

Mais il n'on jamais l'air aussi réel...

Je secoue la tête de droite à gauche en essayent de me convaincre que ce que je voie dans le miroir n'es que le fruit de mon imagination.
Mais les mains sur mon corp commencent à mettre une pression plus grande au fils des secondes.
Tout ce que James m'a fais subir me revient en plaine face.

Tout, sans exception

J'ai envie de crier de toute mes force, de m'arracher les yeux pour ne plus rien voir, de me fracasser la tête sur le comptoir jusqu'à devenir amnésique et ne plus rien me rappeler de ses quatre dernières années. mais ses comme ci mon corps n'avais plus la force de faire le moindre mouvement.

Je fini par abattre mon poing droit dans le miroir. Suivie par l'adrénaline je recommence. Quelques morceaux du miroir tombe sur le contour de lévrier dans un fracas. Je crie de toute mes forces en abattant une troisième fois mon poing dans mon reflet. Je ramène mon poing vers moi et voie une grande main attrapée mon poing et l'emprisonné a l'intérieur de sa paume. Mon corps tout entier ce met à trembler. Cette fois la personne est réel car le miroir est entièrement fissuré. On ne peut voir aucun reflet.