Chapitre 5

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Le seul bureau que l'on avait pas fouillé était celui de la bibliothécaire. Il fallait que l'on essaye...
Donc Arthur a distrait la bibliothécaire en lui demandant de la conseiller sur un livre ce qui l'a donc fait quitter sa place et je suis allée discrètement jusqu'au bureau et dessous, il n'y avait pas de livre j'ai parcouru tout le bureau avec mes mains quand j'ai sentit un renfoncement sur la tranche du bureau. J'ai donc ouvert ce compartiment et à l'intérieur il y avait un journal. Un vieux journal épais avec les pages jaunies. Puis je l'ai mis dans mon sac et j'ai fait un signe de tête à Arthur pour lui dire de partir.
Une fois à la maison je me suis hâtée de le lire et de découvrir les informations que contenait ce livre qui ressemblait trait pour trait a une encyclopédie.
Une fois rentrée chez moi on a commencé la lecture du livre. Je dois avouer que c'était d'autant passionnant que inquiétant car ça parlait d'un monde parallèle ou des êtres dotés de pouvoirs y vivrait. Le côté inquiétant de ce livre est que c'est êtres dotés de pouvoirs pourrait avoir un pouvoir d'invisibilité, lorsque en lisant ce texte à voix haute Arthur entendit cela on se regarda et la même chose nous a traversé l'esprit, je le savais, c'est ce fameux regard, cette phrase que vous est cette personne pouvez vous dire sans prononcer le moindre mot juste un regard. C'est très utile surtout dans des situations où il ne faut pas se parler. Mais là en revanche ce n'était pas si cool que je vous le décris car l'information que l'on était en train de se transmettre était que le potentiel étrangleur du professeur pourrait appartenir à ce monde.Mais si ce professeur nous a indiqué l'emplacement de ce livre, c'est qu'il avait connaissance de ce monde. Une question restait tout de même dans ma tête, si c'était bien un habitant de ce monde qui aurait tué ce pauvre monsieur qui s'apprêtait à me donner des informations sur ma famille. Il y aurait bien une raison à cela.
Il ne l'aurait pas tué sans raison quand même.
Puis à ce moment précis la porte de ma chambre s'ouvrît tout doucement comme un courant d'air qui l'ouvrirait, le même coiffant d'air que celui qui avait traversé l'ancienne maison de mes parents avant que le professeur ne décède,mais après ce que l'on venait de lire vous pensez bien que l'on allait se faire des scénarios surtout quand on est pas dépourvu d'imagination comme nous...

Thora Où les histoires vivent. Découvrez maintenant