4. Questions

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Min-su

Mardi, 2 heures, Busan.

Le moteur de la voiture s'arrêta et il sortit de la voiture en claquant la portière. Je fis de même et me dirigea vers lui, qui était entrain de sortir ma valise du coffre alors que je prenais mon sac à dos. Il me toisa un moment avant de claquer le coffre et de se diriger vers un petit studio.

Après notre bref dispute dans son bureau j'avais passer la soirée en compagnie de Alia qui c'était démené pour me trouver un studio.

"- J'ai trouver ! Cria-t-elle me faisant sursauter, après être entré avec un document à la main, je t'ai trouvé un merveilleux studio, tu vas l'adoré !! "

Le studio se trouvais dans une rue très calme et luxueuse, à vrai dire mon studio faisait tâche entre toutes ses villas. On pris le chemin de gravier qui nous menait devant le logement et mon "nouveau" patron déverrouilla la porte d'entrée puis il entra dans le studio. Je le suivis accompagné de ma valise en main et j'admira la beauté du logement.

L'intérieur du studio était aménagé en loft dans les tons blanc, gris et noir. Il y avait une cuisine ouverte sur le salon qui était accompagné d'une longue table de bar avec plusieurs longs tabourets. Le salon était occupé par un assez grand canapé beige, une table basse blanche, une télévision ainsi qu'une étagère blanche vide. Des escaliers ouvraient sur une grande mezzanine qui était occupée par un lit et un garde-corps qui le cachait. Enfin une porte se trouvait près de l'entrée.

Sûrement la salle de bain.

Je me tourna vers mon patron qui me toisait les bras croisés adossé au mur près de la porte d'entrée, je me rendis alors compte que j'étais au beau milieu de la pièce. Je me rapprocha doucement de lui et il se redressa légèrement, prêt à me parler.

- Tu resteras ici pour un bon moment, souffla-t-il doucement en attrapant son paquet de cigarettes qui était enfuit dans la poche de sa veste, tu dois savoir plusieurs choses. Premièrement tu as un flingue et tous se qui va avec dans ta chambre, me lança-t-il en jetant un regarde sur cette dernière, deuxièmement, tu as deux boutons d'alarme incendie, une dans la cuisine et l'autre dans ta chambre, tu pourras la déclencher en cas d'urgence.

Je l'écoutais attentivement alors qui expirait sa première bouffée. Il est vrai que si je n'avais pas de téléphone l'alarme était un bon choix.

Ce qui est le cas.

- Troisième et dernière chose, articula-t-il en s'abaissant vers moi, tout en décalant sa clope de ses lèvres, je te surveille.

La blague de l'année.

Je fronça les sourcils face au sourire en coin qu'il m'affichait.

Mais putain, il est sadique ou quoi ?

- Demain, huit heure au réseau, m'expliqua-t-il avant de tourner les talons et de sortir.

Mais attendez.

- Comment je mis rend ? Criais-je alors qui se dirigeais vers sa voiture.

- Tu verras bien ! Brailla-t-il avant de claquer la portière.

La voiture de mon nouveau "patron" disparu de mon champs de vision et je souffla avant de fermer la porte d'entrée.

Deux vies une balleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant