le début

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Pov Yani

Après avoir passé le temps de midi a éviter la sorcière nommé nommé Solis, je me rendis en cours de chimie. Mon premier cours de chimie dans cet école. J'espère que la prof est sympa... Je ne sais comment je ferais sinon pour survivre dans cette école d'attardés. Si ça continue je vais en bouffer un.

Je monte les escaliers si long et pourtant si cours car mes jambes sont très rapides et très longue. Mes muscles de loup-garous sont dopés aux hormones et ces derniers temps elles sont incontrôlable. J'arrive très rapidement devant la classe mais les intellos sont déjà. comment ont-ils fait ? attendait-ils depuis longtemps ? Temps de questions sans réponse. Où pas car Solis me dis :

"Coucou Yani ! Tu es enfin là, je t'attendais. Il y a une place à coté à coté de moi. Tu veux venir ?"

Absolument pas. Je vais ou je veux. Je suis un canidé libre après tout. je suis sauvage, inapprivoisable. Tout d'un coup la prof ouvre la porte la porte de la classe. A t'elle diné dedans ? quelle folle... Puis je vois sa cuisse. La même cuisse de ce matin... Ne me dite que cette femme aigrie est ma prof de chimie ? Je l'ignore. Je sais qu'elle sent différemment que les autres et je ne lui fais pas confiance. Elle sent comme eux... Mon odorat surdéveloppé ne me trompe jamais.

Je m'installe au banc au deuxième rang à gauche. Personne n'ose s'installer à coté de moi car je suis un alpha. Je sais qu'ils le sentent. Je suis un chef de meute aux hormones en ébullition, et même si il ne connaissent pas l'existence des loups-garous, ils sont intimidés par mon aura...

Le cours débutent normalement, mais je sens le regard insistant de la prof, McBloody, sur moi. Le regard d'une femme, peut-importe sa race, existe mes sens. Je me sens perdre le contrôle de mes hormones...

"merde..." me dis-je tout bas en cachant ma tête sur mon banc, le dos courbé.

"Si tu ne sens pas bien Yani, sors de la classe. Va prendre l'air." dis Mcbloody sèchement.

Je me lève alors, mais mon érection est trop forte, et tout le monde le vois. Malheureusement mon membre est supérieur a la moyenne et ça ne passe inaperçu et pose question au hommes aux hommes comme aux femmes. Je me dépêche pour aller au toilette.

ATTENTION LEMON

Enfin au toilettes... Je me mets dans une cabine et m'assieds sur les toilettes. Je défais la tirette de mon pantalon et retire mon slip, libérant ainsi mon membre de 25 centimètres. Lorsque l'air froid atteins mon membre, je frissonna. Je me massais un peu les testicules pour me préparer à l'action. Après que ma virilité fut plus dure que jamais, je la pris enfin en main. ça faisait longtemps... Je gémis un coup et commença mes mouvements de hauts en bas.

"anhhhhhh.."

soudainement je pensais a McBloody. A sa cuisse, si thicc, mais svelte a la fois. Une œuvre Allah... Blasphème ! j'en bavais. Ensuite j'entendis la porte s'ouvrir.

"Yani ? ça va ?" annonça-t-elle

juste de savoir qu'elle était près de moi me fit augmenter la cadence de mes mouvements. Je n'en pouvais plus, je devais tellement jouir.

"Yani, Je sais que tu es là dedans. jouis pour moi"

J'étais choqué. Mon corps ne répondait plus a mon cerveau mais a sa voix. Je retapissas la porte de la cabine de mon sperme hyper fertile.


Pov Martine

Je ne sais pas ce qui m'a pris. L'odeur était si puissante qu'elle m'a attiré jusqu'aux toilettes. Comment un gamin aussi con peut avoir de tel phéromone ? Juste de s'avoir qu'il se masturbait me rendit toute chose. Ma culotte était un peu mouillée, et je rougit en remontant rapidement en classe. Je n'aurait pas du abandonner mes élèves. Ils ont du foutre un bordel monumentale sans nom.

Je remonte les escaliers. En haut de ceux-ci, je trébucha et tomba en arrière. Je vis ma vie défiler devant mes yeux... Soudain une musculature forte me rattrapa. Yani m'avait empêcher de tomber et m'avait retenu. Ne me voulait-il pas du mal ? Après tout c'était un loup-garou et moi un vampire.

"j'espère que tu t'es lavé les mains avant de me toucher !" ai-je dis.

Il ne me répondit pas mais me regarda avec un regard prédateur. Je le poussa et continuait mon retour vers ma classe. L'heure allait être finie mais je le reverrais demain pour laboratoire, aussi fâcheux que cela puisse l'être.



Martine au LaboOù les histoires vivent. Découvrez maintenant