deux trois mots d'amour.

aveux amoureux

Mon cerveau est en ébullition
Tu sais au fond tu es ma plus grande source d'inspiration
Sur moi tu as une véritable attraction
Qui défie toute raison
Je ne sais plus quoi penser je déraille je défaille je pense à toi
Moi qui n'ai rien demandé de tout ça
Moi qui je l'admets suis fautif dans cette affaire
Mais qu'est-ce que je peux y faire moi ?
D’être amoureux de toi dis-moi ?
Je n'en sais rien et je n'en peux plus et même quand on ne parle de rien
Je sens une douleur dans mes reins, dans mes intestins, dans mes tripes,
Qui remonte jusqu'à mon cœur
Qui fait grandir la torpeur
J’ai peur pourquoi je t'aime ? je te le demande encore et en cœur
Et bien qu’au fond j'ai de multiples raisons de te dire pourquoi je t'aime
À force je ne sais plus si je suis amoureux de toi ou du souvenir idyllique
Mais bon le mal est fait
Que veux-tu je suis prisonnier de ce cercle qui étrangle mon cou
Ce n’est pas comme si incessamment je pensais à nous
Mais surtout à toi
Toi qui es là
Toi qui es belle
Toi qui n’as jamais quitté le cœur que tu as brisé bien qu'il était déjà fêlé
Et tu aurais raison de penser que je suis un taré
Mais par moments je pense que je ne veux et je ne peux plus continuer
pourtant je continue de t'aimer
Et crois-moi si je te le dis ce n’est pas pour t'attirer des ennuis ou que tu te sentes mal
J'ai juste envie de te dire ce que je ressens
Eh bien que tu aies déjà dit « tu as le droit de m'en vouloir » je ne suis pas sûr de le vouloir, ni de le pouvoir encore moins de le devoir
Je n'ai pas envie de faire des scènes
Mais n'oublie pas que ce n'est pas ta faute si je me jette dans la Seine
Car de mon Royaume tu es devenu la reine
Et moi j'ai été détrôné et déguisé en un fou du roi
qui fait mine d'être lyrique avec son désarroi
toi toi toi toi toi mon cœur ne pense qu'à toi
mon cerveau me demande d'arrêter
mais ce dernier je ne l'ai jamais écouté
mais fini de rêver
si je dis ça c'est juste que j'ai besoin d'extérioriser
je veux juste m'excuser si tu t'es retrouvé blessé désolé

Parole d'un frère au haut de frome