Elle et lui

🫧5.🫧

Après qu'il partent je décide de m'allonger sur ce rocher et d'enlever mes écouteur je laisse les bruits de la nature me bercer pour cette petite sieste que je m'apprête à faire.

Je ferme les yeux et me laisse bercer au chant des oiseaux se trouvant sur les arbres autour.

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Assis sur ce pont, enfin le bord, le côté qui s'ouvre sur l'océan, qui se trouve sous mes pieds. Je suis assis, je balance mes pieds dans le vide, ce beau vide que je voudrais toucher, sentir, pourvoir l'apprécier à sa juste valeur, mais je me contente de le regarder, l'espérer et en rêvait malheureusement.

Un bel oiseau, d'un noir tranchant, se posa à côté de moi sur le bout du pont pour surement admirer le paysage qu'il va parcourir dans les prochaines heures, qui pourra effleurer, toucher, et même sentir.

Il pourra en faire ce qu'il veut, ce que je ne peux pas faire, il pourra les survoler ou juste les regarder comme la maintenant avec moi, il d'un noir magnifiquement encré qui me frissonnes de beauté, cet oiseau a tout ce que je n'ai pas... la beauté, la liberté de faire ce qu'il veut et de pouvoir bénéficier de toutes la place dont il voudra sans être enfermé, il pourra être libre de choisir sans qu'en l'enferme dans des cases... il pourra être libre.

Je le contemple pendant plusieurs minutes avant de me re concentrer sur le paysage qui m'ouvre ses portes, le ciel était bleu nuit, un bleu un peu clair et assez foncé vu de loin, ça fessait un beau dégradé qui virait au rouge fonce à l'arrive du soleil qui allait continuer son chemin.

J'abaisse mon regard au sol, ou plutôt à cet océan de couleur que m'offre ce paysage en arrière-plan qui ferai un beau tableau me dis-je...

L'océan était d'un bleu foncé et qui constatait avec la couleur du soleil, je le regardé, l'imaginait et le voulait d'un tel point que je me relevé d'un bond ce qui fessât fuir l'oiseau mais qui revenait ce posait sur le poteau se trouvant à côté de moi.

Il regarda le paysage une dernière fois avant de s'envoler, et je le regardait faire, après son départ le sentiment qui c'était éteint pendant dans sa compagnie revenait me tue sur place et sur cette envie je me dirigeais vers cette barrière, l'escaladais et y sauter en y fessant voler mes cheveux, je touchais, je me laisser tomber, j'effleurai ce vent, cette tension qui me bousilla l'ouïe et qui me ramenât dans un élan brutal, je touchai l'eau qui constitue cette océan que je rêvais autrefois...

Je me laissais emporter, jusqu'à toucher le fond et ne plus pouvoir distingue les éléments qui se trouvait en face de moi, je me laissais guider jusqu'au ne plus avoir assez de force, je fermais les yeux et laissant mes sens s'occuper du reste... jusqu'à m'épuisait assez de plus rien ne voir et de plus rien ressentir.

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Je me réveille en sursaut pour pas changer, et me redresse d'un coup sec.

Un homme debout devant moi avec sa main sur mon front et un regard inquiet me fait face.

Je me relève brusquement,

- Qui... qui vous êtes ? Qu'est-ce que vous faites la ? qu'est-ce que vous m'avez fait ?

Lui - je... vous avez fait un cauchemar, je voulez juste m'assurer que vous vous allez bien...

- vous ... ah je vais bien , je vais y aller

J'attrape mes écouteurs et mon téléphone et pars en marchant vite, aucun regard derrière moi et je mets a courir de toute mes forces.

Les arbres passent derrière moi et ma peur s'intensifie de plus en plus. Au fil de ma course j'aperçois la maison et je me précipite vers celle ci sauf que arrivais à la porte, je le vois, la, à côté de moi et me regardant.

- vous ... comment avez vous fait ? Vous ... vous me suivez ???

Lui - non enfin oui je voulais m'assurer que vous alliez bien je ... je vais y aller

- vous êtes qui ? Il se retourna sur lui même me regarda une dernière fois avant de marcher dans l'obscurité qui nous fessais face il était presque que vingt heure et disparu dans la pénombre.