GAVI

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BONNE ANNÉE MES AMOURS

En naviguant sur votre téléphone portable, vous avez attendu Gavi à l'entrée du stade sur le parking. L’air était froid sous terre. Tu aurais dû apporter une veste.

Pedri a eu un rhume et a dû rester à la maison, alors il vous a demandé de jouer le chauffeur de Gavi aujourd'hui. Barcelone avait joué contre Villarreal et avait gagné 4-0, avec deux buts marqués par le golden boy.

Plusieurs joueurs vous ont salué en passant devant vous en direction de leurs voitures.

"Hé. Félicitations pour cette grande victoire." Tu as dit et Gavi t'a pris dans ses bras.

Il portait un pull gris et un pantalon cargo beige. Le pull était doux contre sa joue. Étant pressé contre sa poitrine, la chaleur de son corps se propage à travers vous. Tu as soupiré.

Il sentait la douche fraîche et le déodorant musqué. Quelque chose t'a fait mal à la poitrine quand il t'a laissé partir.

"Merci. Aussi de m'avoir emmené." il a souri et ton cœur a battu dans ta poitrine.

Vous avez secoué la tête. Je ne pouvais pas penser comme ça, Pedri, son meilleur ami était ton petit ami. Même si Pablo était vraiment sexy.

Vous êtes montés tous les deux dans la voiture et êtes partis. Tu as senti ses yeux sur toi.

"Est-ce que tu vas bien ?" lui as-tu demandé, les yeux fixés sur la route.

"Je pourrais te demander la même chose, tu as l'air nerveux" il haussa un sourcil, laissant ses yeux parcourir ton corps.

La chair de poule se propage sur votre peau, mais pas parce que vous l'étiez

froid. Non, son corps était en feu. Gavi est si proche

Cela le rendait vraiment nerveux.

"Je n'ai juste pas l'habitude de conduire la nuit, c'est tout." vos mains serraient plus fort le volant, vos jointures devenaient blanches.

"Est-ce pour ça que tu serres tes cuisses l'une contre l'autre ?" il rit et soudain sa main se posa sur ta cuisse exposée, ses doigts chatouillant l'intérieur alors qu'il écartait tes jambes.

Son contact ressemblait à une brûlure chaude sur sa peau. Ses doigts tambourinaient contre sa peau sensible. S'il montait un peu plus haut, il pouvait sentir à quel point vous étiez trempé.

"Tu sais que j'ai marqué mes buts pour toi." Sa voix était basse et sa main serrait ta cuisse.

"Gavi..." as-tu dit en entrant dans son garage.

Heureusement, Gavi n'habitait pas si loin du Camp Nou. Vous avez arrêté le moteur.

"Viens avec moi, princesse."

Ce n'était pas une question. Vous avez regardé vos mains sur vos genoux.

"Je suis avec Pedri." Vous ne pouviez pas le regarder.

Sa main a pris la vôtre. "Maintenant tu es ici avec moi et je sais que tu veux ça. Pedri ne le saura jamais."

Sa main était chaude et douce.

Après quelques minutes de silence, il vous a relâché la main et est sorti de la voiture. Avant que vous puissiez soupirer de soulagement, votre portière s'est ouverte et Gavi vous a sorti de la voiture.

Il vous a pressé contre lui et a fermé la porte d'un léger coup de pied.

"Je ne te laisserai pas partir, hermosa (belle). Pas quand je sais que tu dégoulines pour que je te touche." » murmura-t-il contre ton cou, te faisant frissonner le dos.

𝗜𝗺𝗮𝗴𝗶𝗻𝗲 𝗵𝗼𝘁 𝗳𝗿𝗲𝗻𝗰𝗵Où les histoires vivent. Découvrez maintenant