𝗜𝗺𝗮𝗴𝗶𝗻𝗲 𝗵𝗼𝘁 𝗳𝗿𝗲𝗻𝗰𝗵

PEDRI

"Bonne chance, bisou ?" Gavi sourit vivement, son doigt touchant
ta joue. Vous vous êtes penché pour l'embrasser sur la joue, laissant une tache rose vif.

"Oh." Vous lui avez essuyé la joue avec votre doigt en essayant d'enlever le rouge à lèvres. "Maintenant, on dirait que tu as rougi"

C'était juste un autre voyage. Vous saluiez toujours votre petit-ami avant de vous diriger vers les tribunes. Parfois, il vous a même dédié un objectif.

Votre petit ami vous a pris la main et l'a embrassée.

"Ne t'inquiète pas pour ça." il fit une pause. « Je dois y aller. Retrouve-moi ici plus tard ?

"Oui, bien sûr. Bonne chance." avez-vous souhaité et regardé la brune suivre les autres vers le tunnel.

Lorsque le couloir était vide, l’air froid vous faisait enrouler vos mains autour de votre torse. Il ne faisait généralement pas si froid dans cette partie du Camp Nou.

"Pas de baiser pour moi, princesse ?" ses lèvres étaient chaudes contre ton oreille. Tu tournas la tête sur le côté et avant que tu puisses répondre, il captura tes lèvres dans un baiser fiévreux.

Le matériau doux de son gant recouvrait le bout de ses doigts dansant sur sa joue. Sa langue lécha ta lèvre inférieure, te libérant.

Tout son corps était en feu, le cardigan indispensable lui semblait soudain trop chaud.

"Pedri", sa voix était un murmure. Sa présence vous rendait nerveux. "Je te l'ai dit... Gavi... une erreur"

Pedri était le meilleur ami et coéquipier de Gavi. Tu ne devrais pas tromper ton copain comme ça. Pas encore.

Le milieu de terrain admirait son visage. Son être tout entier vous attirait comme un sort. Le fruit défendu.

"Si c'était une erreur, alors pourquoi ne peux-tu pas me regarder quand tu parles, hm ?" sa main t'a forcé à le regarder, te saisissant le menton.

"Tu es tellement sexy, tu es toute habillée pour ton petit-ami." L'autre main de Pedri suivit la courbe de sa taille pour placer ses fesses par-dessus sa jupe en jean. Il enfonça son nez dans ses cheveux, respirant son odeur.

Cela vous a excité plus que cela n'aurait dû. Sa culotte était trempée.

"Tu n'as pas un jeu à jouer ?" vous mettez toute votre confiance restante dans cette question, en sortant de son emprise.

Pedro a ri. "Tu veux que je parte comme ça ?" il montra son érection très évidente, le short doré tendu. "Gavi va me demander ce qui s'est passé pour que Dovo dise que c'est la faute de sa petite amie ? Tu veux que je lui parle de nous ?"

Tu as maudit. Il avait raison, mais vous saviez aussi qu’il se moquait de vous. Et il a gagné.

Ensuite, vous avez réduit la distance entre vous deux et vous êtes également agenouillé, priant pour que personne ne vienne chercher Pedri.

Il sourit, attachant ses cheveux en queue de cheval, appréciant le

avec quelle facilité tu lui as cédé.

Avant de tirer sur la ceinture de son short, vous avez décidé de le taquiner en remontant sa chemise pour révéler un peu de sa ligne en V. Vous avez placé un baiser juste au-dessus de son short.

» siffla Pedri. "Ne te taquine pas, mi amor. J'ai un jeu à jouer maintenant."

Droite. Il fallait se dépêcher. Roulant des yeux à son commentaire, tu as relâché sa queue nécessiteuse.

Léchant ses couilles jusqu'à sa pointe rougie, tu l'as fait gémir, avant d'enrouler tes lèvres autour de lui. Vous avez utilisé vos mains pour stimuler ce que votre bouche ne pouvait pas atteindre.

Pedri aimait ça brutalement et vite. Ses poussées rejoignaient le rythme de sa bouche.

Pour le faire passer par-dessus bord, vous avez levé les yeux et battu des cils.

"J'ai dit de ne pas provoquer." Pedri a gémi et t'a retiré son érection. Des crachats et du pré-sperme coulaient de ses lèvres gonflées.

Il vous a traîné et vous a plaqué contre le mur. Sa main vous faisait vous cambrer contre le mur.

"Je pense que le match doit attendre, amuse-toi à expliquer ça à ton petit-ami."

Sa voix te faisait frotter tes cuisses. Ses mains gantées poussèrent le jean de sa jupe sur ses fesses. Il a poussé ta culotte sur le côté et s'est enfoncée en toi d'un seul coup.

Vous avez crié son nom, ce qui a poussé Pedri à placer sa main sur votre bouche. Gavi a toujours utilisé un préservatif, mais maintenant Pedri vous a baisé sans, votre chatte se serrant autour de lui à chaque poussée.

"Frotte ton clitoris, mon amour, fais-toi jouir sur ma bite", t'a encouragé le milieu de terrain, sa propre sortie proche.

Vous avez fait ce qu'il vous a demandé et vous vous êtes fait plaisir, les hanches répondant à ses poussées. Le nœud dans son ventre se resserra. Pedri vous a murmuré des louanges en espagnol, vous rapprochant ainsi du bord.

En lui mordant la main en arrivant, vous espériez ne pas avoir gâché sa chemise. Pedri t'a giflé fort en arrivant, pompant sa semence au plus profond de toi.

La sensation vous a fait serrer les dents, le traitant jusqu'à la dernière goutte. Lorsqu'il s'est retiré, Pedri a nettoyé vos plis avec ses doigts, repoussant son sperme à l'intérieur de vous.

Il couvrit soigneusement ses parties intimes avec sa culotte, réparant également son jean.

Reprenant votre souffle et votre sang-froid, vous redressiez le dos et vous tourniez vers le joueur de football.

Pedri se redressa, son gant droit mouillé par son excitation mitigée, mais il ne semblait pas s'en soucier.

"Tu devrais arranger ton rouge à lèvres... et tes cheveux. Tu ressembles à une pute, mais c'est ce que tu es... ma petite pute. Pauvre Gavi." Dit-il en te regardant droit dans les yeux.

Vous l'avez regardé avec une expression blessée, sachant qu'il avait raison.

Pedri a haussé un sourcil et est passé devant vous. En ravalant vos larmes, vous êtes allé chercher une salle de bain.

Après vous être préparé et avoir trouvé votre place, vous pouvez enfin profiter du match. À la 74e minute, Pedri a marqué un but, assisté par nul autre que Gavi.

vous avez applaudi pendant que les garçons célébraient ensemble. Tous deux font la célébration signature de Pedri Potter.

Mais avant que Pedri ne revienne vers ses coéquipiers, il a tiré sur l'ourlet de sa chemise, révélant la tache de rouge à lèvres que vous avez laissée plus tôt sur sa ligne en V définie. Il a tiré la langue et vous a fait un clin d'œil.

Vous avez gelé. Il voulait le lui rappeler.

Tu es peut-être la petite amie de Gavi, mais plus encore la pute de Pedri.