Kidnappée pour devenir une pute.

I. Maligne...

Samedi 22 juillet, 2:04

Je viens tout juste de sortir de boîte. C'était une super soirée, mais tout le monde est rentré chez soi maintenant! Je suis dans la rue, et je décide d'appeler un taxi pour rentrer chez moi. Je l'attend une dizaine de minutes. Il n'en fallut pas plus pour me faire aborder par un groupe de mecs bourrés. Le taxi se gare et je rentre.  

-Bonsoir monsieur!

-Bonsoir demoiselle, répondit-il. 

-J'habite au 42 boulevard Notre Dame, vous pouvez me ramener chez moi? 

Il se retourne vers moi et me lance un regard coquin. Je suis une fille qui me respecte, alors je l'ignore.
 Quelques mètres après, il s'arrête sur le bord de la route et me dit de monter à l'avant sur le siège passager, "pour qu'on puisse discuter". Je m'exécute! Une fois à côté de lui, il pose sa main sur ma cuisse et me lance un "bébé, t'es bonne" Je vire alors sa main mais il attrape la mienne, en la serrant fort. Tout en conduisant, il pose ma main au niveau de son entrejambe et me fait faire des mouvements circulaires. Il enlève sa ceinture et essaie de glisser sa main dans mon pantalon. Je résiste. Il force de plus en plus. Il regarde à peine la route, on va avoir un accident! Soudain, une voiture klaxonne, et fait une queue de poisson. Il l'évite de peu et se gare sur le bord de la route, tenant toujours serré ma main dans la sienne. Je veux descendre. Je ne veux pas que ça aille plus loin. J'essaie de déverrouiller la portière, mais elle est fermée. Je lui crie alors de me laisser sortir. Il ne m'écoute pas, il regarde fixement ma poitrine. Je lui prend alors les deux mains, et les pose sur mes seins. Il les malaxe et je gémis doucement. Son caleçon est au bord de la rupture. Je pose ses mains sur mes hanches et l'embrasse. Je lui mordille la lèvre. Avec une voix douce, je lui demande:

-Est-ce que tu pourrais me laisser descendre maintenant?

Sous le choc de se qui vient de se passer, il hoche la tête et déverrouille la porte.
Je descend alors dans la rue et m'éloigne du taxi. Finalement, je ne m'en suis pas si mal sortie!