23. Russian Roulette

15.2K 460 125
                                    

( C'est mon anniversaire ! ! ! ! ! )

BONNE LECTURE !

Pendant le trajet, personne ne
parlait jusqu'à ce que Maurice me demande :

- Pourquoi tu es comme ça ?

- Je suis normal. Continue à conduire en la fermant, ok ?

- Tu ne veux plus parler de notre plan pour t'enfuir ?

- Non, laisse tomber.

Il ne répond plus et se gare devant un immeuble. Il me donne le numéro de l'étage et le numéro de la porte. Je descends et monte à l'appartement demandé, je sonne. La porte s'ouvre sur un grand métis que je connais très bien.

- Anaïs ?

Je n'ose même pas répondre. Il me laisse passer sans me lâcher du regard.

- Tu vas bien ? Demande-t-il en me refermant la porte.

- Euh oui... Et toi ? Dis-je en allant m'asseoir

- Que me vaut cette visite ?

J'avale de travers ma salive avant de lui répondre :

- Bah je suis venue pour...

- Ne me dit pas que... Dit-il en laissant sa phrase en suspension

- Oui...

Il me regarde choqué avant de dire :

- Après tout c'est ton travail hein.

Il avance vers moi et me caresse les cheveux. J'enlève sa main, il repose brusquement en tirant mes cheveux en arrière.

- Reste tranquille !

Il retire sa main, et me pousse, ce qui fait que je me couche complètement sur son fauteuil. Je me lève vite et cours à la sortie. Je dévale les escaliers et monte rapidement dans la voiture de Maurice. Il me regarde bizarrement

- Je peux savoir quel est ton problème ?

- Rien, rien. Démarre juste !

Il démarre. Je reprends mon souffle et ris, je me fais rire. J'ai courue parce que je ne voulais pas coucher avec le frère de Thaïs, je ne me sentirai aucunement bien sinon. Quelques temps après, il se gare devant une cité. Lorsque j'ai vue le nombre de personnes dans le hall, j'eu peur.

- Tiens, qui voilà !

Il baisse la vitre de la voiture, un gars vient et lui donne discrètement un sac avec des trucs verts. Il remonte la vitre et met rapidement le sachet dans sa sacoche.

- J'ai vue hein ! Dis-je en roulant des yeux

- Ta gueule.

- Pourquoi tu dis ta gueule ?

Il roule des yeux et démarre.

[...]

- T'aimes ça, sale pute !

Je laisse ma tête tombée en arrière en jouissant. Il continue ses vas et viens brusque, ce qui me procure un bien fou. Je m'accroche au drap du lit et ferme les yeux. Il se retire de moi et me retourne avant de me pénétrer par derrière. Il était tellement violent que je criais comme une folle, il tire mes cheveux en arrière et chuchote quelque chose dans mon oreille mes je ne l'écoutais pas. Il se retire de moi et me fait monter sur lui, c'est moi qui mène la cadence ? Sûrement. Je commence à faire des vas et viens lent, il pose ses mains sur mes hanches et fait des vas et viens aussi sauf que lui c'était beaucoup plus violent, ce qui me fait sauter. Il se redresse et me serre contre lui, tout en continuant ses vas et viens. Je criais fort, je me disais que j'abusais un peu trop mais je n'arrivais pas à m'arrêter. Je passe ma main dans ses cheveux et joue avec ses boucles. Il commence à se fatigué, ses vas et viens sont de plus en plus long alors je continue les miens. Alors que j'allais aller beaucoup plus vite, quelqu'un cri brusquement. Je me retourna et vis une femme habillée d'un pantalon cigarette noir, une chemise blanche, des escarpins noirs un sac à main calée dans le creux du coude, une tablette à la main. Je me cache sous le drap et la regarde avancer vers nous. Toujours avec le drap sur moi, je me lève en ramassant mes vêtements pendant qu'elle est en train de gifler son mari. Alors que j'allais passer le seuil de la porte elle me crie de rester ici. Elle me tire les cheveux et me gifle. Son mari enlève ses mains de mes cheveux et la pousse un peu plus loin de moi.

Kidnappée pour devenir une pute.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant