chapitre 8

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Un étrange contrat

Auteur : Les histoires d'amour - le nouveau

Chapitre 8

Narrateur externe

Quelques semaines plus tard

Ça fait déjà un moment que Malick a repris le travail et que Anissa avait déménager chez eux mais à son tour aussi elle a pris ses fonctions dans l’entreprise familiale et belle commençais par se sentir bien seule dans cette grande maison toute seule

Ce matin Malick a remarqué le regard perdu de sa femme comme les jours qui venaient de passé il ne put s’arrêter de s’inquiéter pour elle

_ Qu’est ce qui ne va pas dit-il en prenant place à côté d’elle

_ Rien ne dit elle

_ Ne me dit pas qu’il ne se passe rien, dis-moi ce qui t’inquiète je pourrai peut-être t’aider repris Malick

_  J’ai envie travailler Malick, je m’ennuie tellement dans cette maison à ne rien faire, je ne suis pas le genre de femme qui peut attendre sagement l’arrivé de son mari du travail tous les jours
Foz wir
_ Tu sais ce que je pense de tout sa Bella

_ Je ne pense pas pouvoir supporter cette situation très longtemps je commence déjà par étouffer ici

_ Mais lorsque je t’ai connu tu ne travaillais pas, d’où te viens cette envie soudaine de te trouver du travail ? si c’est en rapport avec l’argent tu n’as qu’à me le dire en plus je t’ai donné une carte bancaire que tu n’utilises jamais…

_ Non le coupa t’elle, ça n’a rien avoir avec l’argent, je ne travaillais pas avant parce que j’avais quelque chose qui me prenait toute mon attention et m’empêchait de m’ennuyer, j’ai atteint mon but, ma sœur a été libérer de prison, j’ai besoin de me trouver une novelle occupation si on peut le dire comme sa

_ Ça ne m’enchante pas vraiment, si tu te mets à travailler comment pourrais-tu prendre soin de te petite famille ? dis Malick

_ Tu es sérieux la ? je pense que tu es assez instru pour ne pas réagir comme un homme des cavernes, pourquoi devrais-je rester à la maison ? même ta petite sœur est en train de travailler pourquoi veux tu m’empêcher de jouir de ce droit ?
Foz wir
_ Ma petite sœur n’est pas ma femme a moi, donc cette discussion elle devrait l’avoir avec son mari et non moi, en tant que ton mari je te le dis c’est non, n’oublie pas le contrat j’ai besoin que tu me fasses un enfant et n’oublie pas que le stresse n’est pas favorable pour vite concevoir et le stresse c’est tout ce que le travail rapporte; comprend que c’est non…

_ Il faut bien qu’on couche ensemble pour que l’enfant ne sois conçu, si on ne fait pas l’amour comment est-ce que cela pourrait être possible ?

_ Bah a qui la faute ? ta chance c’est que je ne suis pas un homme violent je t’aurai déjà fait cet enfant depuis belle lurette répondis Malick en se levant

_ Bah tant que tu ne me laisseras pas me trouver un travail considère que cet enfant ne risque pas d’être conçut tu m’as bien comprise ?

_ N’oublie pas que de la même manière que j’ai fait sortir ta sœur de prison je pourrai la renvoyer dans ce monde atroce, ne me tente pas tu m’as bien saisi ?? Malick sur un ton menaçant
Foz wir
Elle se rend compte de la tournure que la conversation prit et décida de se rattraper puisque son but n’était pas de mettre en colère son chère époux, elle veut juste l’amener à accepter sa doléance et avec Malick la force ne marchera visiblement pas, elle se lève et entoura son homme qui lui faisait dos de ses mains par l’arrière

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