chapitre 2

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Les invitées , sont tous rentrée chez eux , tout le long ou toute ses personnes était chez moi , à boire du jus de fruit ou du soda et à manger , moi je rester à l'écart ne voulant être en contact avec personnes , ses personnes sont tous des étrangers pour moi et leurs parler me met mal à l'aise , je n'ai plus parlée avec Devon et je le remercie mentalement de m'avoir laisser tranquille.

Laurie : mhm... Lucas

Lucas : oui

Laurie : ma chambre... tu pourrai me la montrée stp

Lucas : biensur vient

Il m'entraîne dans l'escalier et les monte deux par deux et moi je le suis doucement , ne pouvant pas me déplacer rapidement à cause de mon bassin blessé.

Il me guide dans un couloir en tournant à gauche , il m'explique que sa chambre à lui est dans le couloir de droite , il m'explique que nos parents , on fait ça car on n'arrêtait pas ce chamailler pour tout et n'importe quoi et depuis ce changement tout ce passe à merveille ou presque , il s'arrête devant la deuxième porte à gauche et ouvre la porte.

Lucas : et voici , ta chambre petite soeur.

Petite soeur , ça sonne tellement faux pour moi , mais je ne lui dis pas , je ne veu pas le blesser.

J'entre dans ma chambre , elle es simple les murs sont blanc sauf un , de couleur prune et mon lit contre ce mur , un lit deux personnes avec une grosse couette blanche à quelque motifs et lignes très claire couleur prune comme le mur , deux tables de nuit avec une lampe sur chacune avec les même motifs que sur ma couette et le sol et fait de parquet. Cette chambre me plaît et depuis plus d'un mois maintenant, je sens chez moi , cette endroit m'appartient.

Lucas : tu va bien

Laurie : je... ici... dans cette chambre , je me sent en fin comme chez moi

Lucas : tu es chez toi

Laurie : non , tout mes inconnus , je ne reconnais rien , ne ressent rien , tout es comme impersonnel , sauf ici , ici c'est chez moi

Lucas : oh d'accord , je... je v..vais te lai...laisser

Laurie : Lucas , ça va pas

Lucas : non... enfin... si , juste...

Il termine pas ça phrase et sort precipitament de ma chambre.

Je n'aurai pas du lui dire ça , je lui es fait du mal , je le sais , je l'ai entendu dans sa voie et j'ai vue ses yeux briller avant qu'il ne baisse la tête pour ne plus me regarder , je voulais pas lui faire du mal , je voulais qui sache , qu'il comprenne ce que je ressenter pas lui faire du mal.

Je m'assois sur le lit , et laisse les larmes couler , je les ais tellement refouler aujourd'hui pour ne pas pleurer devant toute ses personne mais surtout pour me montrer forte pour mes parents et mon frère , à qui ça ferait énormément de mal de me voir dans cette état.

Je me couche et serre un des coussins dans mes bras et me laisse emporter par le sommeille.

Pdv Lucas :

Je sort vite de sa chambre avant qu'elle ne voie mes larmes , et dessend rapidement les escaliers , je fais pour sortir de chez moi , mais mon père me stop et me retourne vers lui.

Papa : Lucas , quesqui passe

Lucas : elle... elle...

J'éclate en sanglot dans les bras de mon père qui me sert dans ses bras.

Papa : Lucas...

Lucas : je... ça fait... tellement mal... ma petite soeur... pourquoi elle... hein papa... pourquoi elle... elle n'a jamais rien... fait... et et ce connard... ce fils de pute... à détruit... ma petite soeur... et...et il... il as tuer... il as tuer ma... ma petite... amie...

Je pleure encore plus fort.

Lucas : et... et... la... elle me dit qu'elle... ce rappel de... de rien... que... cette... maison... lui es... impersonnel... impersonnel papa , c'est.... c'est toute... toute notre... enfance ici... et elle... peut pas... s'en souvenir et j'ai tellement... mal papa , j'ai tellement mal , je veu ma petite soeur , je veu ma petite amie , papa je veu que l'on me les rendres , maintenant... je...

J'éclate en plus fort et mon père me soutien et m'entraîne dans le fauteuille , et me berçant contre lui , me chuchotant des choses apaisante à l'oreille , comme quand j'étais petit , mes pleurs ce calme et la fatigue m'en porte doucement avec elle , je sens mon père embrasser mon front et me coucher sur le fauteuille et me recouvrire d'une couverture , puis le sommeil m'en porta loin d'ici et de tout ses problèmes.

Une vie d'oublie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant