Sous l'emprise d'un adieu sans rémission,
Je m'éloigne, laissant derrière moi le tissu de l'affection.
Les souffrances tissées dans le fil des jours,
Étreignent mon être, m'obligeant à prendre ce parcours.
J'étouffe, aspirant à la cessation de ces tourments,
L'agonie de mon cœur résonne dans chaque battement.
Une dualité entre la rapidité et la lenteur à la voix,
Comme si l'harmonie était brisée dans ce triste choix.
Mes pensées s'entrecroisent, se heurtent en un duel,
Un tumulte de voix intérieures, une guerre cruelle.
Les cris de mes pensées s'entrechoquent, désordonnés,
Dans l'arène de mon esprit, un combat déchiré.
La gestion m'échappe, une détresse sans motif,
Je me sens mal, perdu dans un labyrinthe sans éclaircie.
Comment soigner cette douleur, énigme sans clé,
Je m'égare dans l'obscurité, cherchant une vérité.
L'idée de mettre fin persiste, une danse avec le néant,
Pourtant, au fond, le désir réside-t-il vraiment là-dedans?
Est-ce une quête d'apaisement, une pause dans la douleur,
Ou l'aspiration sincère à l'obscurité, sans lueur?
Ce soir, peut-être, mes peines trouveront un répit,
Que ces pleurs versés soient un tribut pour l'infini.
Bonne nuit, dans l'attente d'un amour jamais perdu,
J'espère que demain apportera une aube inattendue.
Mais dans cet ultime adieu, précise et défini,
Que mes pas ne reviendront jamais sur ce chemin.
L'empreinte de mon départ reste irréversible,
Un point final gravé dans l'histoire, immuable.
(Avec le son "as time passes by" de "a vow")
