Elle est venue à mon bureau, toute seule, comme une "grande ".
J'étais entrain de finir un dossier, que je la vois dans l'encadrure de la porte. Elle porte une robe "sage", couleur gris souris, cintrée, lui arrivant aux genoux avec de jolies ballerines noires. Ses jambes sont galbées de nylon, bas
ou collants?Je me pose la question maintenant.-Oui?lui dis-je en levant la tête, et en l'invitant à entrer d'un haussement de sourcils.
Elle avance doucement se mordant légèrement la lèvre.
-Je...commence t-elle.
Puis enchaînant plus vite:
-Je vous présente mes excuses Madame, la semaine dernière je n'ai pas rendu tous mes dossiers, j'ai été très occupée.Je laisse passer un silence, puis lui réponds:
-j'ai vu ça. Les as-tu avec toi?-Euh...non. je venais juste vous le dire..et...
Mes sourcils sont toujours levés, je ne sais pas encore si je vais la câliner, pour sa preuve de bonne volonté, ou la punir parce que, franchement là elle exagère !
Il n'y a plus personne à cette heure ci, mais je lui ordonne quand même de fermer la porte.
Je me lève, fais le tour de mon bureau, et...remarque alors son petit sourire. Je lui tourne autour et vois dans sa main son journal.
Je souris à mon tour, voyons voir ce qu'il y a dedans.Je pose une fesse sur le coin de mon bureau, relève ma jupe sur ma cuisse pour cela, et feuillette le dossier. Consciencieusement, page après page, je la lis.
Je relève les yeux à la fin de la lecture. Elle est toujours debout, au centre de la pièce. Elle se grignote un ongle, d'un air faussement détaché.
Je lui adresse un sourire.-C'est bien, pour la forme, je suis satisfaite. Maintenant abordons le fond...
Et là, je ne souris plus.
J'énonce alors toutes ses petites fautes et incartades.Je gronde:
- Viens ici!Elle se mord encore plus la lèvre, mais ne bouge pas.
-Ne me fais pas me répéter !
Mes yeux lancent des éclairs, je le sais, je le sens. Il y a de l'électricité dans l'air.
Elle baisse les siens mais ne bouge toujours pas.
Je me lève donc et vais la saisir fermement par la natte qu'elle a tressée sur le côté, et je tire, brusquement vers le bas.
La tension est telle qu'elle piaille et porte les deux mains à sa natte. Je tire plus fort, sens ses petites mains se crisper autour de mes poignets et ses genoux fléchir.
Les larmes au bord des yeux, elle ploit littéralement .-Moi aussi je vais te punir. Et tu le sais pertinemment !
Elle cesse de me regarder et baisse les yeux, tête basse cette fois.
-soulève ta robe.
Elle passe alors les mains sur le tissu au niveau des genoux et remonte sa robe. Les collants se dévoilent avec leur couleur plus foncée à hauteur de cuisse et de ses fesses.
-Baisse tes collants.
Ses pouces passent dans leur taille, et baissent le nylon, découvrant ses fesses et une culotte en coton à motifs.
- Ta culotte aussi.
Elle se mord à nouveau la lèvre et s'exécute, le regard fuyant.
Ses fesses d'une blancheur de nacre sont nues. Entravée par ses collants à mi cuisse et sa culotte, elle se met à quatre pattes, et pose ses mains au sol, tête alignée avec son dos.
Je m'éloigne le temps de saisir la règle sur mon bureau. Je la pose sous son menton et lui fait relever ainsi la tête. Nos yeux se croisent.
Je lui tends alors la règle, posée sur ma main.
-30 coups petite. 15 sur chaque fesse.et c'est toi qui va te les mettre.
Je vois ses yeux s'agrandir et sa bouche s'ouvrir sur ce O de surprise.
Et n'oublies pas!je surveille!
Après un temps d'arrêt, et un regard qui en dit long, elle se saisit de la règle.
Elle la regarde, et se mord la lèvre à nouveau, tandis que ses joues se parent d'un rouge soutenu.Elle ose alors la question :
-comment je fais Madame?
Je la sens troublée. Je ne réponds pas .
Elle précise:
- par "devant" ou par "derrière "?
En disant ça, elle passe la règle devant elle, et fait un mouvement vers la fesse opposée à son bras "armé". Puis,elle essaie un passant son bras vers l'arrière et en faisant un mouvement vers la fesse du côté de la règle.
Je hausse un sourcil entendu:
-A ton avis?
Ses yeux se baissent, tandis qu'elle répond d'une petite voix:
-Vers "l'avant" Madame.
-Bien. Fais...
En effet, en tenant la règle ainsi, elle a plus d'amplitude dans son mouvement et peut donc mieux doser sa force.
Sa main tremble un peu, et lorsqu'elle se donne le premier coup elle sursaute, bien que ce ne soit vraiment pas fort.
-Compte. Lui ordonnais-je.
-Un Madame.
-Plus fort!ou on repart à zéro !
A ces mots elle se mord la lèvre, et respire plus vite. Ses yeux roulent, de doutes, de frayeur et vibrent enfin de ce qui nous unit.
Elle les ferme alors et se retire, dans ce palais intérieur qu'elle sait si bien me faire toucher du doigt.
Elle est magnifique lorsqu'elle frappe à nouveau. Il ne lui aura pas fallu de deux ni de trois pour nous enflammer toutes deux.
J'ai jeté l'étincelle et elle flambe comme de l'amadou.
Allumant son feu, et me faisant tourner brasier.
Je me mords les lèvres à mon tour, happée par ses mouvements, par sa transe et par tout ce que je ressens.
J'aime son Obéissance. J'aime la voir se transformer ainsi. Tour à tour douce et gentille, puis déterminée et forte.
Il n'y a plus doutes entre Elle et moi sur qui est puissante à ce moment là. C'est un surprenant partage. Et parce que le feu amène l'eau chez nous, aux 12 coups, je vais toucher son sexe nu...qui ruisselle autant que le mien.
Changement d'état accompli^^.On en fait des choses aux pays des fées...
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Cinglantes répliques
KurzgeschichtenCeci est un recueil de nouvelles portant sur la fessée. Administrées à une femme, par une femme, alliant érotisme, sensualité, et légèrement pimentées.