Drive To Survive // Os f1

Liar - Charlos

" Together or nothing, right Carlos ? "

Cette promesse qu'ils s'étaient faites lors d'une vidéo pour les fans venait d'être brisée. Non pas par Charles ou bien Carlos mais bien par leur écurie.

" We come as a package "

Ces belles paroles, ils s'étaient faites cette promesse il y a si longtemps déjà... Il s'était promis tellement de choses depuis que Carlos avait rejoint Ferrari.

Et pourtant, le voilà là, au coeur du paddock, se préparant à quitter l'écurie qui avait été son chez-soi pendant de nombreuses saisons.

Les mécaniciens, les ingénieurs et tous les autres membres de l'équipe se rassemblent autour de lui, les souvenirs gravés dans les murs de l'atelier semblent rejaillir, évoquant de chaque victoire, chaque défaite mais surtout de son liens partagés avec son coéquipier, Charles.

Les émotions, mêlées de gratitude et de tristesse s'expriment sur son visage alors qu'il s'apprête à faire ses adieux.

Chaque coin de l'écurie résonne du souvenir de son passage, mais il sait que le temps est venu de relever de nouveaux défis, de commencer une nouvelle aventure comme Lewis.

Charles quand à lui se trouvait confronté à une nouvelle réalité difficile à accepter. Son coéquipier et accessoirement son copain, annonçait son départ imminent de l'écurie qui avait été leur foyer commun.

La nouvelle avait frapper Charles comme un choc, créant une fissure dans cette douce harmonie qu'ils avaient bâtie ensemble au fil des années.

Ils confrontaient tout ensemble que ce sois les victoire, les défaites, les rires, les stratégies foireuses de l'écurie ou encore les accident sur piste.

Tout cela prenait une teinte mélancolique alors que son copain s'apprêtait à tourner la page.

Il lui en voulait tériblement. Il ne lui avait même pas dit que les négociations avec Ferrari n'avaient finalement abouti à rien.

Il avait l'impression que Carlos l'abandonnait.

Charles était dans un coin du paddock, impuissant, le visage marqué par la tristesse alors que Carlos finit de dire au revoir à tout le monde.

Il ne pouvait pas rester la une seconde de plus ou alors il allait finir par éclater en sanglot. Il sentait un poids insupportable s'installer sur son coeur. 

Incapable de retenir d'avantage son chagrin, il s'éclipsa tout en s'assurant que personne ne le voit. Il marche vite vers sa room puis, enfin loin des regards, éclate en sanglot.

Les larmes coulaient une à une sans relâche. L'écho étouffé de son chagrin remplissait l'air, un exutoire pour l'émotion qu'il avait caché beaucoup trop longtemps derrière une façade stoïque.

Alors qu'il était immergé dans sa peine, Carlos rentre précipitamment dans la pièce. Le visage de Charles, baigné de larmes, rencontrait le regard de Carlos, qui semblait lui-même traversé par une myriade d'émotions.

- Pourquoi tu me fais ça...

- Mi amor... je voulait te l'expliquer mais moi même je n'arrivais pas à trouver les mots pour décrire cette situation...

- Tu m'as menti ! On avait dit ensemble ou rien !

- Charles...

- Je- je t'aime tellement... mais je te déteste tellement...

Les larmes et les paroles blessantes avaient ouvert peu à peu la voie à la compréhension.

Dans un moment de silence tendu, leurs regards se croisent, et le désir de se réconcilier prévalut.

Lentement, les tensions se dissipent, laissant place à un apaisement partagé. Carlos tire charle contre lui et le serre de toute ses forces. cette étreinte transcendait la douleur de l'adieu. 

- Je ne t'abandonnerais jamais mi amor, je t'aime beaucoup trop pour penser à te laisser seul ! Et puis Lewis est gentil...

- Mais c'est toi que je veux à mes côtés lors des courses ! c'est toi que je veux affronter...

- Je vais rester ! on sera juste séparé par un ou deux paddock ne t'inquiète pas

Carlos berçait Charles, le serrant toujours aussi fort que avant mais rien n'y fait, les épaules de Charles étaient voûtées sous le poids de la douleur qui le submergeait et ses yeux reflétaient un chagrin profond, insaisissable malgré les efforts de réconfort de Carlos.

Il tentait de le consoler avec des paroles douces, des gestes tendres, mais la douleurs persistait, ineffaçable. 

Carlos prend la main de Charles et la serre contre la sienne délicatement, cherchant à transmettre un amour indéfectible au travers du silence.

Il caressait la paume de sa main avec son pousse mais il ne savait toujours pas comment le consoler, comment lui prouver qu'il ne le laissera jamais tomber.

Après plusieurs minutes, Carlos sentit monter en lui un élan irrésistible. Dans un geste impromptu, il s'agenouille devant Charles, retire sa bague et l'enfile doucement autour de l'annulaire de Charles.

- Maintenant, c'est ensemble ou rien jusqu'à ce que la mort nous sépare. La formule un ou tous les problèmes liés a mon nouveau contrat n'ont plus rien à voir avec cette promesse

Un large sourire se dessine sur le visage de Charles, laissant place à une lueur d'espoir et de surprise dans les yeux de Charles.

- J'imagine que je ne peux plus refuser maintenant...

Dans un échange de regards profonds, charles retire lui aussi une de ses bague et l'enfile à son tour à Carlos qui souriait à pleine dents.

La proposition de Carlos avait transformé l'atmosphère, offrant une nouvelle lueur d'amour et de réconfort dans le tumulte des émotions. 

Alors que Carlos se relevait, Charles lui saute litéralement dessus, passant ses bras autours de la nuque de l'espagnol dans un geste empreint de tendresse puis, l'embrasse.

Leurs lèvres se rencontrent dans un ballet délicat, chargé d'amour et de tendresse, leurs lèvres s'effleurent avec une douceur infinie. Le temps semblait s'arrêter.

Chaque instant du baiser résonnait comme une poésie silencieuse. Charles entourait de ses bras le cou de Carlos intensifiant leur baiser.

Lorqu'ils se séparent par manque d'air, un éclat de bonheur illuminait leurs regards.

- Je t'aime Carlos

- Yo también te amo mi amor

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Je suis toujours choquer des évènement par contre. 

Genre vraiment j'ouvre insta t'as Lewis qui part de mercedes et en plus il rejoint Ferrari je suis abassoudie.

Du coup j'ai été inspirée et j'ai écris ce petit (minuscule) os. (il est 2:15 du sbah demain matin je vais pas assumer)

~1000 mots