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Je regardais l'enfant en face de moi me montrer les différentes pièces du manoir où j'allais vivre, d'après soleil le maître de ces lieux allias mon âme sœur  est  blindé , genre très blindé  :manoir de luxe ,hôtel de luxe ,voiture de luxe , entreprise ,femme, le mec a tout ce qu'il veut, magnifique de visage comme de corps ,petite amie belle comme la lune ,le seul point noir dans ce beau tableau eh ben c'est moi son âme sœur affreusement banale qui le dégoûte, bon c'est pas comme si je m'en souciais façon le destin m'a lié  à lui , il va donc devoir me supporter jusqu'à la fin de ses jours .
Mettant de côté mes mauvaises pensées je me reconcentra sur ce que me disait l'enfant.

Soleil - Ça c'est le grand salon .J'observais la pièce luxueusement décoré ,puis des tableaux accrochés aux murs attira mon attention. Ils représentent tous des femmes ou des hommes avec de longs cheveux noirs et des yeux bleus anormalement clair , ça se voit que se sont le prédécesseur de mon conjoint,  l'arrogance qu'inspirait ces tableaux en était la preuve  , me détournant des tableaux je me focalisait sur Soleil pour ne plus m'en détourner pour le reste de ma visite improvisée .
      
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Prenant du repos dans un couloir bizarrement  vide je me retrouvait fatiguer d'avoir visiter la presque totalité du manoir composer de nombreuses salons, de plusieurs bibliothèques et d'autres  pièces dont l'utilité etait encore inconnu , j'avais mes jambes en feu et un gamin somnolant sur les bras , il commençait à faire sombre alors retrouver mon chemin vers la porte principale était l'une mes plus grande priorité du moment .Je prie pour qu'un ange me tombe du ciel ou plutôt du plafond pour me secourir, ange que je savais chimérique d'ailleurs si j'étais un tant soit peu important ici , nouveau dans la demeure et de surcroît l'âme sœur du maître des lieux ,les habitants du manoir auraient pus faire preuve de courtoisie en me cherchant après ma disparition mais je doute même qu'ils  s'en est aperçu .C'est en broyant du noir que je forçait au mieux sur mes jambes afin de me  porter puis serra contre moi  l'enfant qui dort à poings fermés  sans guère se soucier de notre  situation.

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