Chapitre 43

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NDA : //Ce chapitre contient du contenu sensible, vous êtes libres de le lire ou non. Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez. Bonne lecture ! 🫶🏼//

PDV Drago

Ses lèvres contre les miennes, le goût sucré du baiser imprégnait mes pensées. La salle sur demande était devenue plus intime, un immense lit blanc était apparu au milieu. Je ne pus m'empêcher d'attirer Rachel, nous laissant tomber tous les deux doucement sur le lit. Elle était désormais à califourchon sur moi, ses yeux me fixèrent d'une intensité incroyable. Le désir était perceptible de mon côté comme du sien. La chaleur de ses mains sur mon torse faisait naître des frissons qui parcouraient mon corps. Rachel, avec sa tendresse, était le réconfort dont j'avais cruellement besoin.

Mes mains glissèrent sur ses hanches tandis que je ne pouvais plus résister à voir encore des tissus orner son corps. D'une main je glissai derrière son dos et dégrafait son soutien gorge d'un geste. Sa poitrine rebondit légèrement, désormais libérée. Elle profita de ce moment de faiblesse de ma part pour déboutonner mon pantalon, le faisant glisser tout doucement, puis le jeter par terre. Elle se rapprocha alors de moi, collant ses seins à mon torse, ce qui eut le don de me faire soupirer de désir. Je commençai alors à lui lécher le téton droit, ce qui la fit gémir de plaisir. Elle se tordait légèrement tandis que je continuai pour ma plus grande jouissance.

"Je te veux Drago," susurra-t-elle à mon oreille. S'en était trop pour moi et pour tout le désir que je réfrénais en moi. Je fis glisser sa jupe et passai doucement ma main sous sa culotte.

D'ordinaire, j'aimais admirer les sous-vêtements qu'elle choisissait, l'admirer sous toutes ses facettes me rendait terriblement heureux. Je l'aimais sous toutes ses formes et de tout mon être. Cette femme réveillait en moi tous les côtés positifs. Et aujourd'hui plus que n'importe quel jour, je la voulais entièrement à moi.

Elle se mit à gémir un peu plus fort, témoignant du plaisir que je lui procurais et ses cris n'étaient les seuls à le montrer, son intimité trempée le montrait aussi. Elle comme moi ne pouvions plus attendre, je la basculai finalement sur le lit, me retrouvant à mon tour au dessus d'elle. Nous nous perdîmes un instant dans nos yeux avant que je ne plaque sauvagement mes lèvres contre les siennes. Pendant que je lui dévorais littéralement la bouche, j'en profitais pour retirer mon boxer, qui laissait maintenant apparaître mon sexe raide comme un piquet. Elle le savait et c'est alors qu'elle le caressa de sa main, avant de s'amuser à aller et venir, m'arrachant quelques soupirs de plaisir.

"Je veux t'entendre gémir de plaisir, lui avouais je entre deux respirations. Je veux te rendre aussi folle que tu ne me rends fou. Je m'approchai doucement d'elle, nos corps brulants de ferveur. Mon sexe effleura son entre-cuisse qui lui arracha un gémissement des plus délectables.

- Glisse en moi maintenant," dit-elle tout doucement tout en regardant sur le côté. Un sourire malicieux prit alors le dessus, ça n'avait beau ne pas être la première fois, elle était toujours aussi gênée et ça m'excitait encore plus. Je pris un préservatif qui trainait sur la table, les joies de la salle sur demande, et l'enfilais tout doucement.

Je finis par répondre à sa demande et entrai tout doucement en elle, elle soupira longuement de plaisir tandis que je ne la quittai pas des yeux, scrutant chaque réaction, chaque émotion qui émanaient d'elle à cet instant bien précis. Je commençai les va-et-vient tandis que nos respirations se mêlèrent. J'allai alors de plus en plus vite, elle passa ses doigts le long de mon dos avant de me griffer légèrement. Elle plaqua à son tour ses lèvres contre les miennes pour gémir entre deux baisers. Je finis par ralentir, je ne voulais pas que ça s'arrête maintenant, je voulais que ça dure, je ne pouvais me résigner à me détacher d'elle et de son corps somptueux.

"Ne t'arrête pas, s'il-te-plait," me supplia-t-elle, mes yeux s'écarquillèrent. Cette fille me rend complètement fou, je ne suis alors plus maître de moi-même et m'enfonce en elle beaucoup plus fort et plus vite. Elle ne put s'empêcher de jouir mon nom. Je me laissai complètement aller et finis par jouir à mon tour, déversant tout notre désir accumulé en elle. Je me retirai doucement, m'écroulant à ses côtés, tandis qu'elle essaya tant bien que mal de reprendre sa respiration. Je ne pus m'empêcher de la détailler. La petite lampe de chevet illuminait son visage rosie par ce qui venait de se passer. Je ne pouvais m'empêcher de penser que j'avais une chance inouïe d'être avec elle. Ses cheveux éparpillés sur l'oreiller, Rachel semblait à la fois épuisée et apaisée. Nous restâmes allongés côte à côte, perdus dans nos pensées silencieuses. La pièce, qui avait été le témoin de notre passion dévorante, retrouvait peu à peu son calme.

Rachel tourna la tête vers moi, ses yeux pétillants d'une lueur complice. Un sourire tendre se dessina sur nos visages alors que nos doigts s'entrelaçaient. La connexion entre nous semblait être encore plus profonde après cet instant partagé.

"Drago, murmura-t-elle, sa voix douce résonnant dans l'intimité de la pièce. Je ne sais pas comment tu fais, mais à chaque fois, c'est comme si c'était la première.

Un sourire malicieux naquit sur mes lèvres.

- Peut-être parce que chaque moment avec toi est une redécouverte, une expérience que je n'ai jamais connue auparavant.

Elle rougit légèrement, mais son regard reflétait une affection réciproque. La lumière tamisée de la lampe de chevet accentuait les contours de son visage, soulignant la beauté qui m'avait captivé depuis le premier jour où nos chemins s'étaient croisés.

Je ne pouvais m'empêcher de ressentir une profonde gratitude pour cette femme qui avait su éclairer les zones les plus sombres de mon être. Nous avions partagé bien plus qu'une simple étreinte physique ; c'était une communion d'âmes, un échange passionné qui transcendait les limites de la simple chair.

"Tu veux prendre une douche ? proposai-je d'une voix légère.

Un sourire espiègle se dessina sur le visage de Rachel.

- Ça semble être une excellente idée."

Nous nous levâmes du lit, un léger flottement dans nos mouvements témoignant de la satisfaction encore présente dans nos corps. Silencieusement, nous nous dirigeâmes vers la salle de bain, une atmosphère de complicité emplissant l'air.

Une fois à l'intérieur, je réglai la température de l'eau, créant un doux flux de chaleur. Le bruit apaisant de l'eau qui s'écoulait se mêla à notre silence complice. Les gouttes d'eau ruisselaient sur nos corps, emportant avec elles les traces de nos étreintes passionnées. C'est comme si tous mes problèmes s'étaient effacés.

Tome 2 : Drago Malefoy : l'amour triomphera-t-il ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant