Entouré de barbelés, il n'y avait aucun moyen de s'échapper. Des gardes entouraient cet endroit, et plus les yeux commençaient à s'ouvrir d'une complexité inouïe, plus la barrière des barbelés se multipliait à ne plus en voir la fin.
Il était le seul dans cette cage bien trop petite pour qu'un humain soit à l'intérieur, elle devait faire approximativement un mètre carré. Heureusement, les bêtes capturées dans ces cages n'étaient pas humaines. C'était un zabrit. Une espèce plus ou moins rare, mais qui valait quand même le prix de se faire disséquer, son membre le moins cher devait coûter environ 1945 euros. Alors le cerveau et le cœur eux coûter quelques millions. Ce n'était pas le plus rare, mais pas le plus commun non plus. En termes de rareté, cette classe devait être la troisième plus rare. Autour de lui se trouvait trois autres zabrit. L'endroit était rempli de gardes de la race supérieure et la plus dangereuse. La race humaine, même les espèces plus agressives et dangereuses dues a leur cannibalisme avait peur de la race humaine ,qui avait le pouvoir entre leurs mains. On pouvait à peine voir les autres spécimens entassés dans des cages aussi petites que la sienne. Il pouvait y en avoir des rares comme des plus communs.
Le langage des gardes était inconnu. Il parlait entre eux ou aux spécimens qui leur servaient de bête, on aurait dit du russe ou quelque chose comme ça, l'effet de la drogue qu'il avait ingurgité faisait encore effet. Alors de comprendre un langage qui n'arrivait même pas à déchiffrer était une cause perdue, surtout avec la migraine qui le poussait dans ses retranchements. Après avoir essayé de décrypter les mots qu'il sortait de leur bouche, il pensait surtout que c'était une langue qu'il n'avait pas apprise auparavant.
De plus, les gardes ne pouvaient pas être différenciées, on aurait dit qu'ils étaient tous des jumeaux. C'était indescriptible à quel point ils étaient identiques. Nous ne pouvions pas différencier un garde de l'autre. Leurs habits étaient identiques, ils étaient habillés de la tête au pied d'une seule et même couleur. Le noir. Pendant que les expériences étaient blanches pour que les gardes soient bien sûr de les trouver dans cet endroit où le noir résidait. Les murs, le sol, les gardes, les barreaux. Tout était noir, sauf les sujets. Et leur coupe n'était pas spécialement mémorable. Ils avaient à peu près la même. Cheveux courts, avec une couleur aussi sombre que leurs actions. Quant à leur tête, on ne pouvait que très peu la voir, il avait un masque et des lunettes de soleil pour qu'on ne puisse pas voir leurs yeux. Tout ce que l'on pouvait voir était leur front.
Par chance, le garde qui devait s'occuper de lui avait un grain de beauté situé sur son front, le grain de beauté était visible d'un certain angle. C'était toujours le même garde qui s'occupait de lui, il a donc compris qu'au moins un garde était assigné par bête. Il y avait quelques exceptions malgré ces bêtes, certaines pouvaient en avoir deux, c'était peut-être lorsque les bêtes étaient agressives et/ou elles ne se laissaient pas faire.
Terrifié, il ne pouvait qu'être obéissant en espérant vivre plus longtemps que ceux ayant deux gardes. Cela faisait 1 semaine qu'il avait été amené dans cet endroit. Avec de vagues souvenirs de son ancienne vie due à la drogue, qui lui ont donné en dose beaucoup trop élevée pour une personne de son gabarit. Il se rappelait à peu près comment il était atterri ici, ce qui est un souvenir qu'il aurait préféré oublier. Le plus inquiétant est qu'il ne se souvenait pas de son prénom ni de son âge ou de là où il habitait.
Il ne savait pas si c'était son garde qui était gentil ou s'ils étaient obligés de le dire, mais il demandait quelques informations sur lui au garde, avec la voix enrouée de peur qu'il lui fasse subir la même torture que ses camarades, dus à sa soudaine question. Mais avec étonnement le garde lui transmet les informations qu'il cherchait enfin, une réponse convenable. 111 est dorénavant son prénom. Sûrement, car c'était le 111e à avoir été capturé par ce centre. Il savait maintenant qu'il n'avait que 15 ans. Il n'avait que 15 ans et il était déjà enfermé dans un abattoir. Cet âge est significatif, car elle révèle l'espèce à laquelle on appartient, il venait donc d'apprendre de quelle espèce il faisait partie.
VOUS LISEZ
111 a Number or a Person ?
TerrorFab dirige un gang international. Il lui manque quelques esclaves, mais les esclaves sont rares. Suite a une trahison, il trouve ces nouveaux esclaves avec la haine en particulier pour un. Mais est-ce que de la haine ? ⚠️ Contient un langage cru, e...