la crise

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Alors que je suis assise à mon bureau en lisant quelques fichiers, j'entends quelqu'un toquer à ma porte. Sans lever la tête, j'ouvre la porte d'un coup de main.

La personne rentre dans le bureau, je leva légèrement ma tête pour savoir qui est entré et j'aperçu Percival. Je le regarde intrigué avant qu'il prend la parole.

"J'ai l'impression que vous me fuyez en ce moment, Miss Frost. Me trompe-je ?" me demande-t-il calmement.

Je le fixe froidement et réplique

"Peut-être que ce n'est pas qu'une simple impression, après tout."

"Je peux savoir pourquoi "me demande il froidement

"La nécessité de comprendre ne t'es pas toujours accordée, monsieur grave" rétorquai-je avec un regard glacial.

"Bizarre, car depuis la crise que tu a eue, ça donne l'impression que tu m'évite," dit-il en remontant ses manches.

"Certains sujets sont des terres gelées, où même les mots gèlent en tentant de les aborder," déclarai-je avec un mépris glaciale

"Je présume que c'est la raison de ton comportement actuel," dit-il simplement

Il croise ces bras puis il dit

"Peux-tu m'expliquer?" demanda-t-il, gardant son calme.

"Est-ce une demande, ou bien une obligation?" demanda-t-je avec calme, mais un soupçon de froideur persistante.

"Habituellement, je t'aurais répondu une demande, mais là..." répondit-il avec une pointe de réflexion, laissant planer un mystère dans ses mots.

Je soufflai puis fermai la porte d'un coup de main sous le regard de l'homme. Je me levai et dis, "Bien, j'imagine que je n'ai point le choix." Alors, je me dirigeai vers le coin du bureau pour me poser.

"Bien entendu, je ne répondrai qu'à trois questions, "plaisantant avec un faux sourire.

Le visage de percival ne change pas à la place il me répondit

"Bien, c'est déjà," fit-il une pause et ajouta, "pour commencer, à ce que j'ai compris, l'amour maudit est réservé aux condamnés. Alors, qu'as-tu fait pour être condamné à ça?"

Alor qu'il pose sa question mon visage devient plus noir et je lui dit

"Qu'est-ce qui me prouve que vous n'allez rien dire?"

Il me regarde sans expression et déclara simplement, "Ma parole est ma garantie, mais la confiance, c'est une danse délicate entre les mots et les actes."

"Bien," je repris, "comme tu le sais, je suis obligatoirement lié à quelqu'un." Je regardai Percival, mais il ne dit rien, se contentant de me fixer. Alors, je poursuivis en disant, "Et bien, quand j'ai découvert à qui j'étais lié, il se pourrait que mon âme sœur était un Non-Maj." En le regardant, il me répondit sobrement, "Était."

"J'y viens," lui dis-je, "alors quand j'ai découvert mon soit-disant âme sœur, il se pourrait que... "Je fis une légère pause et dit "je suis obligé de le dire." Il me répondit, "Tu es peut-être allé trop loin.Pour ne pas continuer", je soufflai et dis d'un ton froid, "Je l'ai tué."

Percival me regarda sans ciller et déclara, "Les choix que nous faisons peuvent être irréversibles." Un lourd silence s'installa avant qu'il ne réponde calmement,"et tu Assume les conséquences de tes actes."

"Mh "vu ma simple réponse

"Bien, si tu préfères, je te poserai les autres questions plus tard," murmure-t-il, laissant planer une tension dans l'air.

l'esprit du loup (Geller Grindelwald x oc)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant