l'esprit du loup (Geller Grindelwald x oc)

le rêve

Pdv auteur

Salut les gens dsl de ne pas avoir posté je vais essayer de consacrer plus de temps à mes histoires ne vous inquiéter pas sinon j'espère que vous allez bien 😊

..............................................................................................................................Aria.

Une voix, douce et chaleureuse, résonnait dans cet espace inconnu où se trouvait Aria. Cette voix l'attirait. Elle avança pas à pas, ses pieds nus caressant l'herbe fraîche d'un jardin baigné par le doux soleil. Bercée par le chant des oiseaux et le parfum des fleurs, elle se demandait si elle était bel et bien dans l'une de ses visions.

"Aria, ma chérie," disait une voix familière qui devenait de plus en plus réelle.

"Papa ?"

Un homme émergea des ténèbres, révélant le visage que Aria ne connaissait que trop bien. Aria voulut se précipiter vers lui, lui dire combien elle regrettait ce qu'il s'était passé. Mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle ne pouvait faire aucun mouvement, elle était là, paralysée, les pieds enracinés dans l'herbe. Elle ne pouvait que pleurer.

Son père s'approcha d'elle, et Aria remarqua qu'il avait légèrement rajeuni. Malgré l'obscurité de la nuit, elle pouvait voir très clairement les traits illuminés de son visage. Mais ses yeux trahissaient de l'inquiétude.

"Tu ne dois pas t'approcher, Aria," dit-il d'une voix empreinte d'urgence. "Si cette chose te trouve, ce sera un désastre."

Aria tenta désespérément de parler, mais ses lèvres étaient scellées.

Soudain, le décor changea. Le jardin ensoleillé disparut, laissant place à un cimetière en feu, illuminé d'une lueur bleue inquiétante. Une masse sombre et bleu détruisait tout sur son passage. Aria voulut fuir, mais une fois de plus, ses pieds étaient profondément enfoncés dans le béton. Elle ne pouvait que regarder avec horreur cette chose qui détruisait le lieu

."Ne t'approche pas, Aria," répétait son père.

Elle s'éveilla brusquement, le souffle haletant et le front perlant de sueur. Paniquée, son regard erra dans l'obscurité de la pièce. D'un geste hésitant, elle alluma la lampe, plongeant la chambre dans une lueur tamisée. Assise sur le bord du lit, elle resta là, son regard perdu dans le vide, se remémorant son rêve étrange. Ou plutôt, sa vision, comme elle avait l'habitude d'en faire. Mais cette fois-ci, quelque chose était différent. Cette vision lui avait semblé si réelle, si palpable, que même à présent, elle peinait à distinguer le songe de la réalité.

Lorsqu'elle ouvrit la porte de sa chambre, elle remarqua l'horloge au bout du couloir. Il était à peine 5 heures du matin, plongeant l'appartement dans une semi-obscurité.

New York se réveillait doucement. Dès l'aube, les rares habitants qui arpentaient les rues étaient sans aucun doute des ouvriers Non-Maj se rendant au travail. Les boulangeries avaient déjà ouvert leurs portes, diffusant dans l'air frais le parfum tentant du pain et des croissants frais.

Aria transplanIl la relâcha doucement, la regardant d'un air amusé. Aria ne comprenait pas comment il faisait pour être partout où elle se trouvait, et surtout ici.

"Qu'est-ce que vous faites là?" demanda-t-elle, sa frustration évidente dans sa voix.

"Je pourrais te retourner la question," répliqua-t-il avec un sourire narquois. "Il fait à peine jour et tu es déjà sortie de la salle d'interrogatoire de Monsieur Dragonneau. qui sera juger cette après midi "

À cette réponse, Aria sentit ses oreilles de loup se dresser instinctivement. D'un ton froid et menaçant, elle répliqua : "J'ai mes raisons, cela ne vous concerne pas, Monsieur Graves."a dans les rues de Brooklyn, imprégnant ses sens de l'atmosphère matinale. La simplicité du quartier la détendait, lui offrant une sensation de liberté bienvenue après tant d'agitation.