Episode 9

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Cette femme était en train d'agir comme si je l'avais offensée de la pire des manières... À la limite elle était en train de m'insulter et de traiter mon ami de gourmand.

J'avais très honte et à l'instant, je ne savais pas comment réagir face à elle, ni face à mon ami.

Puisque dans une maison, il yaura toujours des personnes qui seront du côté de ce genre de personne, en plus elle semblait déjà s'en sortir et avoir de l'argent du coup il fallait bien qu'elle ait des alliés.

- Les jeunes d'aujourd'hui c'est comme ça qu'ils sont.

Lança un des oncles à ma femme, un autre enchaîna...

- Si on ne l'appelait pas, il allait dire comment la famille de sa femme ne le considère pas.

Ma femme était stupéfaite ainsi que sa mère... La force de calmer leur tante et sœur, elles n'en avaient pas.

- Je n'aime pas le mépris. Toi on peut t'accepter parce que tu es de cette famille mais pas lui. Alors qu'il rentre.

A ce moment puisque personne ne me soutenait, je suis resté debout là sans avancer et j'ai regardé mon ami qui à ma grande surprise était en train de sourire...

- Écoute mon gars, je suis désolé pour cet accueil. Je ne savais pas que...

- Non. T'inquiète pas pour moi. Tu n'as pas à être désolé. Je vais rentrer.

- On va partir tous les deux.

- Surtout pas ! Ne fais pas ça ! Reste ici. On se voit demain ou lorsque tu auras un peu de temps.

- Non. Je ne peux pas rester où on me manque de respect autant.

- Roméo, fais d'abord ce que je te dit. Reste. Si tu as peur que je ne te reçoive plus par rapport à nos affaires, tu peux être tranquille, on va travailler et tu ne vas pas regretter.

- D'accord. Tiens ma voiture, tu peux au moins retourner avec.

Au moins, il a accepté.

Mon ami est donc reparti et moi , malgré, je suis allé les rejoindre... Dès que la voiture s'était éloignée avec mon ami, cette femme a recommencé à sourire avec moi, elle a changé et elle est redevenue joviale. 

Elle Commença à me parler comme si j'étais son ami... Elle me proposa d'aller me servir mais je lui répondis que je n'avais pas faim, elle insista au point où elle même se leva pour aller me prendre à manger.

Par politesse et aussi parce que ma belle mère, elle je l'aimais beaucoup m'avait demandé de manger, j'ai fait semblant de grignoter un peu.

La soirée se passait bien mais pas pour moi... Je ne me sentais ni à ma place, ni à l'aise et je l'ai fait savoir à ma femme.

- Il faut qu'on rentre.

- D'accord. Je vais faire un tour aux toilettes et je reviens.

Elle a demandé où se trouvaient les toilettes, elle lui a indiquée et moi je l'attendais...

#Rosalinda.

Je pouvais avoir des soucis avec mon mari mais mon éducation m'avait apprise que les problèmes d'un couple restent à la maison. Peu importe dans quelle situation vous vous trouvez, lorsque tu es dehors tu valorises ton homme.

C'est avec beaucoup de retenue que je n'ai pas répondu à ma tante ce jour, mais je ne comptais pas laisser passer. Ma mère m'avait demandé de passer dessus mais moi je n'entendais pas ça de cette oreille.

Parler à mon mari de la sorte m'avait écœurée et je savais qu'il n'était plus dans son assiette... Du coup, lorsqu'il m'a proposée de rentrer, j'étais parfaitement d'accord.

Mais avant ça, j'ai eu une envie pressante. Du coup, je suis allée aux toilettes.

Une fois aux toilettes, j'ai baissé mon pantalon et mon slip, je me suis assis sur le bidet pour uriner. Tout se passait bien, jusqu'à ce que je ressente du plaisir, cette sensation de caresse.

- Non pas ici ! Pas ici je t'en prie... Hmmmmmmm...

Mes supplications étaient sourdes à son oreille.

- Nous sommes chez les... Hmmmmm

Je ne sais pas comment il réussissait à me mettre dans un état pareil mais je parvenais toujours à me lâcher.

- Vas-y! Ne t'arrête pas! Ah ouiii. Ouiii continue.

Mes supplications se transformèrent ainsi par des encouragements.

- Oh oui c'est bon! Continue... Oh oui.

Je ne sais pas comment je me lève et je me retrouve plaquée contre le mur des toilettes.

- Vas-y!! Prends moi très fort! Je veux te sentir !

Je ne me suis pas fait prier d'ailleurs. J'ai senti son dard me pénétrer la chatte humide... C'est avec beaucoup de maîtrise que je n'ai pas hurlé de plaisir.

Je me faisais culbuter avec une main sur ma bouche pour m'empêcher de crier...

- Plus fort. Mon dieu ! Aaah ! Oui ! Vas-y.

J'étais en train d'encourager quelqu'un que je ne voyais pas.

Un esprit.

Les yeux fermés, il m'a retournée face à lui et il a soulevé une de mes jambes et je le sentais fouiller mon intimité avec sa langue quelques secondes. Ensuite, il se positionna face à moi, j'ai ressenti sa respiration mais le plaisir était tellement intense que je n'ai pas pu ouvrir les yeux pour voir à qui j'avais à faire.

Il s'est introduit en moi et on aurait dit que c'est cette position inconfortable qui me donnait encore plus de plaisir...

- Ne t'arrête plus jamais. Je t'en prie.

J'avais presque des larmes dans mes yeux et à un moment donné, j'ai senti que j'étais au bout de l'explosion...

- Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je jouis ! Je joooouiiiiisss!!!

Alors que mon jus aspergeait les carreaux sec des toilettes et que mon corps était tremblant de plaisir , la porte des toilettes s'est ouverte...

- Rosalinda...?!!!

A SUIVRE ....

Le sexe du diableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant