La forêt, cachette de tous les secrets !

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Je me réveille, toujours affalé en vrac sur mon canapé. J’attrape le téléphone posé sur la table basse pour regarder l’heure. 16h. J’ai dormi presque quatre heures, j’étais vraiment claqué !!
Je m’assois et me souviens que Ndella m’a dit qu’il fallait que j’appelle Suzy une fois chez moi, ce que je fais de suite :

— Oui ?
— Salut Suzy, c’est Phonse ;
— Ah, quand même !! Je pensais que Ndella t’avait séquestré !!
— Non, c’est moi, désolé, je suis rentré et je me suis endormi de suite, j’étais crevé !
— Pauvre chou !! Du mal à tenir la distance ??
— Faut croire que c’est plus de mon âge ce genre de choses !!
— Y a pas d’âge pour ça !!!
Sa remarque me fait penser à la matinée que je viens de passer avec Ndella...
— En effet !!
— Bon, demain, tu as prévu quelque chose ?
— Euh, non, pas pour le moment ;
— Ça te dit de venir courir avec moi ? Tu fais un peu de sport ?

— Ben disons que je suis plus vélo, mais à moins que tu ne me fasses faire un semi-marathon, je devrais survivre !!

— Super !! Je passe te chercher chez toi demain à 16h, ça te laisse du temps pour te mettre en condition comme ça !!
— D’accord, ça marche, à demain alors, passe une bonne soirée ;
— Merci, toi aussi, à demain !!

Le lendemain, Suzy m’attend en bas de chez moi à l’heure prévue, puis nous nous rendons à l’orée d’une petite forêt à quelques kilomètres de là. Suzy porte une brassière blanche qui remonte bien sa poitrine, ainsi qu’un legging noir qui lui fait un cul de toute beauté !! Ses cheveux sont attachés en une queue de cheval.

Nous partons tranquillement, à petites foulées, ce qui me convient bien, au moins je peux suivre sans me démener. Nous croisons quelques autres coureurs ainsi que des vélos et des familles qui se promènent, on est dimanche et il fait beau, logique que l’on croise du monde. Nous restons sur le chemin principal quand soudain, Suzy bifurque à gauche en suivant une toute petite trace à peine visible.

— Suis-moi !!! Me lance-t-elle.

La végétation devient très resserrée, ce chemin ne doit pas être beaucoup emprunté, mais malgré tout, Suzy se faufile tel un félin entre les branches et autres arbustes qui empiètent sur notre passage. Je suis loin d’être aussi adroit qu’elle dans ma course, me contentant de la jouer en mode bourrin et de tracer droit, les branchages et épines ne manquant pas de me faire regretter ma témérité en me giflant et me griffant les bras et les jambes (je porte un short). Ma course est ponctuée de jurons que je lâche de temps à autre et on continue comme ça jusqu’à ce que la végétation commence enfin à s’éclaircir et à devenir moins agressive. Suzy ralentit et continue à marcher tranquillement :

— Fallait me dire que tu voulais faire du débroussaillage, j’aurais pris un coupe-coupe !! Lui lançai-je tout en enlevant les quelques branches et feuilles amassées durant ma course ;

— Olala, t’as pas fini non ? Tu veux peut-être qu’on t’organise un rapatriement sanitaire ?
— Ta sollicitude me touche beaucoup !

Elle rigole tout en continuant à marcher. Nous sommes au milieu de la forêt, plus aucun chemin ni personne en vue.
— Qu’est-ce qu’on fiche au milieu de nulle part ?
— Chut, tais-toi, laisse-moi me repérer ! Me dit-elle ;
— Te repérer comment ? Tous les arbres se ressemblent !!
— Ah, ça y est, on y est !!

Elle avance à pas feutrés et se place derrière un arbre. À quelques dizaines de mètres de nous se trouve une zone un peu plus dégagée où sont trois personnes, une femme et deux hommes. La nana est à quatre pattes en train de se faire prendre en levrette par l’un et suçant l’autre se trouvant devant elle.

Suzy se met à sourire et lance un petit gémissement de satisfaction pour avoir trouvé ce qu’elle voulait, puis on commence à s’approcher du trio. Celui-ci nous voit arriver mais ne semble pas surpris ou gêné, et il continue comme si de rien n’était. Une fois sur place, Suzy caresse le dos de la nana en train de se faire prendre en levrette puis passe la main sur le torse de l’assaillant. Elle caresse comme ça les deux protagonistes avant d’enlever sa brassière et de se diriger vers l’homme en train de se faire sucer. Elle s’agenouille et enlève la bite de la bouche de la coquine avant d’aller embrasser celle-ci à pleine bouche tout en branlant le sexe dans sa main. Puis, elle se met à sucer l’autre homme qui vient reculer de quelques pas pour s’adosser contre un arbre. Il se met à venir caresser les seins de Suzy, passant aussi sa main dans ses cheveux, en profitant pour appuyer la fellation. Je suis tiré de ma contemplation au moment où je sens une main passer sous mon short. L’autre nana, toujours en train de se faire prendre, me regarde en gémissant et en se mordant les lèvres, ses yeux semblant me supplier de lui offrir ma queue.

LibertineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant