- Il n'était pas un simple loup comme les autres. Chercher son âme sœur, il n'en avait rien à faire. Mourir pour avoir refusé de se lier avec sa moitié, il s'en fichait. Pour lui, il était seulement question de protéger les meutes de son continent a...
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— CHAPITRE 1 —
Université nationale de Pusan faculté de médecine.
Jeudi 29 Mai.
13h18.
En ce mois de mai, les pétales de cerisiers commençaient à tomber petit à petit sur le sol. Ses jolies fleurs roses, épanouis quand elles étaient encore dans les arbres, se retrouvaient fané et écrasé par les nombreux passages des étudiants de l’université nationale de Pusan. Notre Université était réputée pour non seulement être la plus prestigieuse mais aussi la plus aménager extérieurement. De nombreuses plantes et de nombreux cerisiers ont été plantés un peu partout dans le campus, rendant les petits moments de pause pour les étudiants, agréable surtout au printemps.
— Franchement Shin-ah, quand est-ce que tu arrêteras de réviser ? – Me demandait mon amie Ji-eun. Tu passes pratiquement toutes tes journées le nez dans tes bouquins ou sur ton ordinateur, tu vas finir par tomber d'épuisement à force. Tu devrais arrêter un peu et prendre des pauses ne serait-ce pour ta santé que pour ta vie sociale.
Relevant mes yeux de mon livre de médecine, je regardais mon amie assise juste à côté de moi, sur une nappe posée soigneusement sur la verdure, dans le grand campus de l'Université.
— Je sais mais je n'y peux rien, je suis comme ça. Je préfère privilégier le travail au détriment de la fatigue et d'une vie sociale. – J'ai répondu.
— Sincèrement si je n'étais pas ton amie et que je ne t'adorais pas, je te trouverai vraiment ennuyante à en mourir. – Affirmait-elle.
— Mais tu m'aimes quand même n'est-ce pas ? – Demandais-je en sachant d'avance sa réponse.
— C'est bien ça le pire. Arrête d'être une super amie ça m'arrangerait. – Répondit-elle en faisant semblant de faire la moue.
— Oh tu dis que je suis une super amie ? Je suis flattée ! – Dis-je en ne pouvant empêcher un sourire de se former sur mes lèvres.
— Je suis sûr que je vais regretter d'avoir dit ça. En tout cas, je vois pas trop ce que tu révises, les partiels sont terminés à ce que je sache.
— Tu as oublié ? – Demandais-je. Pour notre sortie en forêt demain avec la faculté, on doit savoir identifier les plantes médicinales pour le TE qui aura lieu là-bas. Alors si tu les connais pas, tu es dans de beaux draps.
- Oh mince c'est vrai ! – S'exclamait-elle. Pourquoi ça m'est sorti de la tête bon sang. Je n'ai pas de mémoire ce n'est pas possible. Encore une fois tu me sauves et je t'en remercie. Franchement tu es vraiment la meilleure des meilleures ! – Terminait-elle en cherchant précipitamment son livre de médecine traditionnelle dans son sac
