Erotically yours [français]

Ascenseur et vapeur (F/F)

Une journée orageuse au travail.

Beaucoup de paperasse à remplir, je le sais d'avance.

Mais j'entre quand même dans ce grand bâtiment, le dos droit et le regard vers l'avant.

J'aime être prise au sérieux, et dans mon milieu, cela passe, entre autres, par la posture.

Je dis bonjour au secrétaire de l'accueil avant de presser le bouton d'appel de l'ascenseur.

Les portes s'ouvrent devant moi, j'entre, et juste avant qu'elles ne se referment, une personne se glisse à l'intérieur. Je la reconnais immédiatement, Emilia, qui travaille au même étage que moi.

Elle a toujours cette douce odeur de fleur... mais est trempée à cause de la pluie, j'ai cru comprendre que sa voiture avait une panne depuis quelques jours.

- Bonjour Del', me dit-elle en souriant.

- Salut Emilia, tu vas bien ? 

- Trempée comme tu le vois mais sinon en pleine forme comme d'habitude !

Depuis que je l'ai rencontrée, elle a toujours été une personne enjouée, c'est probablement pour cette raison que j'ai toujours eu une certaine attirance pour elle... Mis je l'ai toujours refoulée, nous travaillons ensemble. Ces choses là ne se font pas...

Elle sélectionne l'étage 5 et se recule à mon niveau. 

Etage 1...

Etage 2...

Etage 3...

Et juste avant de passer à l'étage 4, l'ascenseur s'arrête brusquement, manquant de nous faire tomber. La lumière de secours s'active, nous laissant dans la pénombre.

- La foudre a dû frapper, je dis doucement.

Emilia se tourne vers moi pour un soupire et dit :

- Oh et puis merde.

La seconde suivante, ses lèvres étaient contre les miennes.
Lorsqu'un ascenseur s'arrête on est censé avoir peur mais elle m'a empêché de ressentir quelconque crainte.

Je lui rends son baiser encore plus passionnément alors qu'elle passe sa main dans mes cheveux.

Elle glisse son autre main le long de mon chemisier et en défait les boutons pour m'attraper le sein. Une chance que j'ai décidé de ne pas mettre de soutien-gorge aujourd'hui... Sentir ses doigts m'attraper les tétons m'excite définitivement.

En essayant au mieux d'être discrète pour qu'elle ne le remarque pas, je tire légèrement le tissu de ma jupe, déjà assez courte, pour me caresser l'intérieure de la cuisse alors qu'elle me lèche le cou.

Elle relève alors la tête, baisse les yeux et voit ce que je tentais de cacher.

- Laisse-moi faire, dit-elle de sa voix suave...

Elle enlève ma main de sous ma jupe et la remplace par la sienne mais ignore mes cuisses pour caresser directement ma culotte.

- Oh Del', j'ai tellement rêvé d'un moment comme ça avec toi...

Elle écarte habillement ma culotte, laissant ma vulve complétement accessible. Elle me caresse pour humidifier ses doigts et insère son majeur en moi.

Je pousse un petit cri qu'elle étouffe directement en posant sa main sur ma bouche, laissant mon sein à l'air, se frottant contre son corps penché sur moi.

Je ferme les yeux au doux contact de ses doigts chaud qu'elle agit en moi.
Elle m'embrasse à nouveau
Passion mêlée à douceur.
Je ne pense pas m'être déjà senti aussi bien...
Elle continue d'entrée et sort ses doigts, parfois en exerçant quelques pressions qui me font perdre la tête.

Elle retire ses doigts mouillés, m'attrape les hanches et fait parcourir sa langue le long de mon corps découvert.
Le cou...
Les seins...
Le ventre...
Quand elle arrive à ma jupe elle s'agenouille et en relève le bas.
Elle ne se fait pas prier pour glisser sa tête entre mes cuisses et me lécher comme si ma vulve était la chose la plus savoureuse qu'elle n'ai jamais goûtée.

Elle me lèche de haut en bas, sur les côtés en faisant des cercles avec le bout de sa langue sur mon clitoris.
Je n'ai plus du tout le contrôle de moi-même, je ses des vagues de chaleur m'envahir et mes jambes se ramollir.

Après une brève hésitation, je rassemble ses cheveux avant de les tenir fermement pour maintenant lui donner mon rythme.

Je relève un peu sa tête une seconde, l'interrompant, pour la faire me regarder dans les yeux.
Qu'est-ce qu'elle est belle...
Son regard empli de plaisir, alors que c'est moi qui en prend le plus c'est certain.
Je ne pensais pas que c'était mon truc, mais la voir de cette façon, un peu soumise a moi, m'excite encore plus.

Retenir mes gémissent devient de plus en plus compliqué mais cela ne semble pas la déranger car elle vient me carresser de ses doigts, tout en me méchant.
Sans tarder elle en insère deux en moi !

Ses doigts si chaud qu'elle agite en moi...

Soudainement, elle retire sa tête et ses doigts, se relève et sans que j'ai le temps de comprendre, elle me retourne et me penche.

Je me tiens alors a la barre de l'ascenseur. Je suis penchée en avant, elle descend ma culotte, l'enlève et écarte mes jambes.

Mon intimité, entièrement à sa merci.
Elle se lèche brièvement l'index et le majeur puis les entre en moi.
Son autre main se pose sur mon dos pour le garder bien cambré.

Elle me doigte de plus en plus fort, sa main claquant contre mes fesses a chaque coup.

Je ne sais pas si c'est une impression mais il me semblerait même que je sente ma cyprine couler légèrement entre mes cuisses...

Son rythme rapide et ses pénétration profondeur me font sentir des choses que je ne connaissais pas.

Les vagues de chaleur s'intensifient a chaque va et viens.

Elle semble lire en moi comme un livre ouvert car tout en gardant la cadence de sa main qui me doigte, elle vient me plaquer la bouche avec l'autre juste avant qu'un orgasme particulièrement intense menvahisse.
Sa main étouffe comme possible mes gémissements de plaisir.

Elle ralentit petit à petit ses pénétration et me laisse me redresser.
Je me tourne vers elle en rougissant.
Elle me regarde, sourit et lèche ses doigts trempés.

Lorsqu'elle les enlève de sa bouche, si sensuellement, comme par réflexe j'attrape son visage et l'embrasse passionnément.

On sursaute alors que les lumières de l'ascenseur se rallument. Je demande à Emilia de me passer rapidement ma culotte alors que nous reprenons notre ascension vers le 5e etage. Elle me fait non de la tête avec un sourire narquois.

- Pourquoi la remettre maintenant ? Je compte bien continuer ce qu'on faisait dans ton bureau ma douce, dit-elle à mon oreille.

Je rougis à nouveau, excitée de ce qu'elle va me faire une fois dans mon bureau dans quelques instants...

•••

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