Ma première fois 🔞

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C'était un samedi et je n'étais pas partie à l'Université. J'étais à la maison quand Éric m'avait appelée. D'après ce qu'il m'avait dit au téléphone, il voulait que j'allasse le voir chez lui. Comme moi aussi je ne faisais rien à la maison, je décidai de m'apprêter pour aller le voir. Je m'étais apprêtée et après avoir servi la bouffe que j'avais décidé d'apporter à Éric, j'allai informer ma mère avant de prendre la route.

Mes parents connaissaient très bien Éric et je connaissais aussi les parents de ce dernier.

Après avoir passé une demi-heure sur la route, j'étais enfin devant la maison d'Éric. Après avoir réglé le chauffeur qui m'avait remorquée, j'entrai dans la maison. Une fois à l'intérieur, je vis les parents d'Éric et les saluai avant d'entrer dans la chambre d'Éric. Assis au salon, devant son ordinateur, Éric lisait certains documents. Je le saluai en lui faisant un bisou sur le front ; il me gratifia aussi d'un bisou. Ensuite, je pris siège à côté de lui après avoir déposé sur le guéridon la bouffe que je lui avais apportée. Il laissa ce qu'il faisait et nous commençâmes par discuter en nous taquinant.

Tout doucement, les taquineries commençaient par devenir autre chose. Il se mit alors à me caresser et je le laissai faire, bien que j'eusse interdit entretemps ces débordements.

Éric avait emprisonné mes lèvres et ses mains caressaient tout mon corps. Moi aussi, je caressais sa tête et répondais à ses lèvres. Alors, il glissa tout doucement sa main dans ma jupe et je sentis sa main se balader sur mes cuisses et ma partie intime. Je ne disais toujours rien ; je me contentais de suivre son rythme.

Tout à coup, un grand vent commença par souffler. Malgré les bruits que faisaient sa porte et les fenêtres de sa chambre, il ne voulait pas se décoller de moi et j'étais obligée de le stopper.

– Mon amour, je pense qu'il va pleuvoir.

– La pluie ?

– Oui, tu ne vois pas le vent violent qui souffle ? Va fermer les fenêtres, moi, j'irai fermer la porte.

– OK.

Les fenêtres et la porte furent fermées. Nous étions à peine sur le point de prendre place quand la pluie avait commencé. Éric avait fermé son ordinateur et était parti le déposer sur sa table de nuit. J'étais assise dans le sofa au salon. Je voulais allumer la télé quand Éric me demanda de venir le voir dans la chambre à coucher. Je me suis rapidement dit qu'il avait toujours dans la tête cette envie de me faire l'amour et comme moi aussi j'étais prête à lui donner ce qu'il voulait, sans oublier cette fraîcheur naturelle qui avait envahi toute la chambre, j'étais partie le voir dans la chambre à coucher. Étant allongé dans son lit, il me pria de m'allonger aussi à côté de lui.

Une fois près de lui, j'avais commencé par trembler parce que déjà je me voyais dans ce que j'imaginais. Éric s'approcha de moi, tendit ses lèvres vers les miennes et commença par m'embrasser. Je me laissai aller, et il avait commencé par me caresser. Il caressait mes cuisses, touchait mes seins, en ayant toujours mes lèvres emprisonnées dans les siennes. Moi aussi je le caressais, je ne savais même pas ce qui m'avait prise et j'avais commencé par toucher sa partie intime. Ma main glissait sur sa bite et lui aussi n'arrêtait pas de me caresser. Petit à petit, il avait réussi à ouvrir les boutons de l'habit que j'avais porté et le voilà enfin face à face avec mes deux beaux seins.

Il avait pris le temps de bien les caresser avant de faire sortir un de mes seins du soutien-gorge sans bretelle que j'avais porté et commencer par le téter. Après cela, il fit sortir le second et fit la même chose avec. En ce moment, je n'arrivais plus à me contrôler, la seule chose que je faisais était de garder bien sa tête pour qu'il puisse bien me sucer les seins. Complètement noyée dans le plaisir, je glissai ma main dans le short qu'il avait porté. Ma main était enfin en contact de sa bite et sans plus tarder, j'avais commencé par la caresser.

Mathie leuf Où les histoires vivent. Découvrez maintenant