LIMA & STOCKHOLM SYNDROME

Chapitre - 22 -

Précédamment Dans

LOVE OF LIMA & STOCKHOLM:

Moi: maman ! Rigolai-je. Arrête de me chatouiller !

Maman: tu crois sa ! Allez défend toi mon ange ! Rigola-t-elle.

Il crois s'attendre à une mort douce, mais croyez moi qu'il va bien souffrir.

Il va mourir en me suppliant d'arrêter.

Je regarde ma table d'outils et je me demande qu'elle sévices j'allais lui infliger en premier.

Démon ! Sa fait 10 jours que Rose est dans cette état ! Elle mange plus ! Elle bois plus ! Elle dort même pas !!
10 jours merde !!

On continue la soirée en rigolant et en s'amusant, sa me fait du bien de les avoirs auprès de moi...

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<< La nuit porte conseils, parfois une réponse, ou encore des questions...>>

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/PDV Rose, 3h du matin, maison team./

La nuit est longue, purée..

Je suis tellement fatigué, mes yeux se ferme automatiquement, mais je ne voulais pas sombrer. A chaque fois que mes yeux se ferme les images de cafard et de mygale me parcourant le corps me hante.

Ses souvenirs resterons à jamais gravée dans ma mémoire. Je ne pouvais pas laisser le sommeil l'en porter.

Il ne pouvais pas gagner.

Je faisais tout pour ne pas dormir.

Je me pinçait. Me griffais jusqu'au sang.

Au début sa marchais. Puis au bout d'un moment je ne ressentais plus de douleur.

Au bout d'une heure j'entends quelqu'un toqué à ma porte.

Moi: Entré ?

Il était 4h du matin, qui pourrais bien venir maintenant ?

On n'ouvre la porte et jacob apparaît.

Jacob: Luna.

Moi: laisse moi tranquille.

Je ne voulais ni le voir ni lui parler.

Jacob: Non.

Bien sûr. Comme si il savais se que c'était que le consentement.

Jacob: tu a recommencer à te faire du mal Luna, Pourquoi ?

Moi: pour éviter de dormir. Je veux pas faire de cauchmard.

Sincèrement au point où on n'en n'est pourquoi mentir.

Il souffle puis répond.

Jacob: Habille toi. On sort.

J'ai pas envie. Mais là dernière fois que j'ai dit non sa c'est mal passé alors autant faire un effort cette fois.

Je me lève difficilement vers mon dressing puis je m'habille et je sort.

Jacob n'était plus dans la chambre.

Étrange spécimen.

Je descend les escaliers avec beaucoup de difficulté, j'avais mal partout à mon corps.

La voiture m'attendais dehors.

A peine un pied dehors je me congéle sur place. Le temps était vraiment glacial. Les oiseaux gazouillais, et le silence régnait.