alors c'était vraiment toi [Catradora]

chapitre 3

je me reveille difficilement quand j'entend le réveille sonner, j'ouvre les yeux petit a petit pour m'habituer a la luminosité quand c'est le cas je regarde autour de moi, quand je vois la blonde en étoile sur mon lit, je vais rigoler quand elle vas se lever avec un gros mal de crâne, je deside de me lever pour me diriger dans le cusine chercher un truc a manger le temps que le blonde ce leve, je me rappele même plus de son nom.

Je pend mon ordinateur quand je regarde le site de la fac, je vois qu'il y a un probleme de je ne sais quoi qui retarde les cours, elle vas pouvoir décuver alors la belle au bois dormant.
je vais pour prendre une douche est m' habiller en survêtements décontracter
après ça, je vais voir si la blonde vas bien mais sans surpris elle dort comme une marmotte.

vu que les cours son retarde je vais pouvoir me donner a ma passion, je vais en direction de mon bureau qui ce trouve en face de mon lit ou ce trouve la nouvelle de ma classe, je m'installe  confortablement sur ma chaise, je prend un crayon a papier, une gomme et une feuille et je commence a dessiner avec du girl in red dans les oreilles.

au bout d'une bonne heure je m'arrêter en pensant a se je vais manger, j'enlève mon casque, quand je me tourne je vois la blonde assise sur le bord de mon lit qui se tiens la tête, je pense quelle dois avoir une sacre gueule de bois vu dans
l'état ou je l'ai trouve.
quand elle regarde autour d'elle on vois la panique sur son visage, quand son regard se pose sur moi elle lever un sourcile puis commence a panique à nouveau

- on non non non dit moi que j'ai pas fait de la merde j'espère, dis-t-elle en se mordant les doigts de stress

- euh non pas à ce que je sache je t'ai  juste trouver par terre dans une épicerie

elle ce détend un peu rassurer quelle
n'ai pas fait de connerie quand elle etait ivre, je la voir quelle se leve mais tombe en moins de temps qu'on dit bonjour, je me retiens de rire devant la situation

- t'as pas l'habitude toi ça se voit, dis je en rigolant

- pourquoi je tiens pas debout et pourquoi j'ai un mal de crâne insuportable, dis elle toujours au sol 

- c'est normal c'est ça d'être bourré idiote
dis je sans arrêter mon fou rire

quand je commence a me calmer, je me leve pour l'aide à ce rassoir sur le bord du lit après ça je me dirige vers la salle de bain pour lui prendre un doliprane, en suite un verre d'eau dans la cuisine pour lui emmener pour quelle puis le prendre.
quant elle a finit de boire, j'ai très envie de lui poser une question mais j'ai peur quelle soit un peu trop indiscrete

- je peux te poser une question, dis je

- oui vas-y, dis elle en me regardant avec c'est yeux bleu comme dans mon rêve

j'hésite un peu avant de lui demander pourquoi elle a bu autant d'alcool alors que le lendemain on étais sensait avoir cours, quand j'ai fini je la vois baisser la tête, oh non c'était beaucoup trop indicret.
mais avant que je puisse m'excuser elle prend la parole

- je suis orpheline, j'habite avec une vielle femme qui... me, elle prend une grande inspiration avant de reprendre, elle me frapper parce qu'à son goût je ne suis pas assez parfaite, que je suis une bonne a rien et que je réussirez jamais dans la vie

quand elle a finie je vois une goutte tomber sur le dos de sa main suivie
d'un renifflement, je pense que je vais regretter ce que je vais faire mais, je la prend dans mes bras pour la rassurer.
j'aime pas trop les calin mais celui la je ne sais pas pourquoi je l'aprecie, je sens quelle me serre tres fort ce qui prouve quelle est vraiment appeurer par cette femme que je suppose être sa tutrisse
et je pense que les parole que je vais prononcer par la suite, je vais les regretter encore plus

- reste chez moi

la blonde ce retire de l'entrainte ou on est rester pas mal de temps, pour me regader dans les yeux les sient étais écarquillés tendit que les miens étais fuillant, aucune reponse franchit la frontier des lèvres de celle devant moi alors je vais essayer de le redire

- si tu veux tu peux rester ici le temps que tu aille mieux