Imagine - Chris Wood x Lecteur Mâle + Ses personnages

Mon El - Qui es-tu ?

Tu es un jeune daxamite qui se trouve à l'écart de la civilisation. Mon El se retrouve dans ton bar après avoir essayé de fuir les gardes royaux. Surprenamment, tu n'as aucune idée de qui il est.

Tu étais propriétaire de ton bar depuis la mort de ton père. Tu habitais a l'écart des villes et de la civilisation dans un petit village d'une centaine de personnes. Tu connaissais tout le monde donc quand quelqu'un qui rentrait t'était inconnu, tu étais surpris. Peu de visiteurs venaient dans votre village tout ennuyeux. Encore moins, de si beaux hommes.

"Bonjour, vous voulez quelque chose ?"demande-tu a l'homme. Il semblait surpris, presque déboussolé. D'ailleurs, tu remarques qu'il semblait sur les nerfs et sur ses gardes.

"Désolé, quoi ?"

"J'ai demandé si vous voulez quelque chose ? Vous êtes bien là pour prendre quelque chose monsieur...quel est votre nom ?"

L'homme cligne des yeux comme s'il avait du mal a croire quelque chose.

"Est ce que j'ai dit quelque chose mal ?"demande-tu te sentant confus père sa réaction.

"Je..tu ne me reconnais pas ?"questionne-t-il.

"Je suis censé ? Je suis désolé car si on s'est déjà vu, je ne me rappelle pas de toi."réponds-tu.

L'homme semblait choqué mais rassuré a la fois. Il te commande quelque chose et s'assoit au bar.

"Alors, qu'est ce qui vous ramène ici dans ce minable village ?"pose-tu la question en lui donnant son verre d'alcool.

"Oh rien, juste fuir des gens."

"Intéressant. Qu'est ce que tu as fait pour qu'ils te poursuivent ?"demande-tu curieux de la raison.

"J'ai fui."dit-il. Tu le regard perdu.

"Attend, tu veux dire qu'ils sont comme des gardes du corps ces gars là ?" Il acquiesce. "Mon pauvre, ça doit être l'enfer d'être constamment surveiller. J'aurais fait la même chose que toi."

"Tu n'imagines pas l'enfer que c'est."dit-il en souriant. Il avait un magnifique sourire.

"Enfaîte, je suis T/p. Comment tu t'appelles ?"te présente-tu. L'homme se tend a ta question, il sembla réfléchir et regarder autour de lui comme pour trouver sa réponse. "Tout va bien ? Si tu veux tu n'as pas a me le dire."le rassure-tu.

Il fut rassurer de ta réponse et t'envie un sourire gratifiant.

"Mais il me faut un surnom pour toi. Je peux pas continuer a t'appeler 'l'homme' ou 'le mec' dans mon esprit. Ça te va si je t'appelle Mon El ?"propose-tu.

"Mon El ?"répète-t-il. Ça sonnait surprenamment bien sur sa langue. Il aimait ce nom. "Ouais, oui, ça me va."

"Génial. Tu es désormais Mon El ! Et si tu me parlais un peu de toi ?" Mon El fut prit de court par ta proposition mais accepta.

C'était réconfortant de pouvoir parler a quelqu'un qui ne savait pas qu'il était le prince de Daxam. Il pouvait juste être lui-même, être...Mon El.

Vous aviez passer des heures a discuter ensemble sans que personne ne vient vous déranger. Quand l'heure où les habitués venaient arriva, Mon El décida de partir.

"J'ai été heureux de te rencontrer T/p, merci d'avoir parler avec moi."dit Mon El.

"C'était mon plaisir voyons, j'espère que je te reverrai et bonne chance pour fuir tes gardes. Enfaîte, le verre est pour la maison."lui souris-tu de toutes tes dents.

Mon El te remercie et allait sortir de ton bar quand un des habitués rentre et lui rentre dedans. "Désolé." Mon El s'excuse vite et sort avant que quelqu'un d'autre le voit.

L'habitué s'arrête sur place et écarquille des yeux ayant reconnu Mon El.

"Hé ça va mec ? T'as l'air d'avoir vu un fantôme."blague-tu a son expression.

"T/p, tu sais qui vient de sortir de ton bar ?"demande l'habitué.

"C'était juste un mec tout a fait normal. Problème avec ça ?"

L'habitué te regarde comme si tu venais de dire la chose la plus choquante au monde.

"C'était le putian de prince Lar Gand !"t'annonce-t-il.

"Vraiment ?"dis-tu avec surprise. Tu étais quelqu'un qui faisait peu attention à ce sujet se passait autour de soi, alors encore moins dans le monde.

"Oui !"

Puis, tu fronce les sourcils. "Depuis quand est-ce qu'on a des royales sur Daxam ?"

Tu n'as jamais vu quelqu'un aussi choqué et à la fois désespéré que maintenant.