Vinicius jr x Pablo Gavi [lemon]

1.2K 18 13
                                    


Il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis.

~Nekfeu, galatée~

La rivalité entre le réal Madrid et le barça existait depuis toujours. C'était chaque année le match le plus attendu, le classico. Il y avait déjà l'ambiance des grands matchs dans tout le stade, ils y étaient, c'était maintenant.

Les joueurs étaient dans le tunnel attendant le moment d'entrer sur la pelouse, on voyait déjà les visages concentrés des principaux acteurs et cette ambiance que seul les classicos pouvait faire ressentir.

Mais deux joueurs en particulier se regardaient avec encore plus de haine dans les yeux, la rivalité avait pris le dessus sur la raison. Ces joueurs étaient sans hésitation Vinicius et Gavi.

Le match avait commencé depuis maintenant une vingtaine de minutes et il n'y avait pas que le stade qui était chaud, le ton était déjà monté entre les deux ennemis de toujours.

Le madrilène avait fais exprès de commettre une faute sur le barcelonais, ce qui n'avait pas plus à celui-ci, il s'était emporté et s'était précipité vers son ennemi numéro 1. Ils avaient fais un tête contre tête, tout en s'insultant, ce qui leur avait valut un carton jaune chacun.

Mais tout se passa à la 38ème minute de jeu, c'est sur une magnifique passe de Jude bellingham que Vinicius marqua le but du réal. Ils s'étaient sautés dans les bras l'un de l'autre, heureux de mené au score.

Gavi lui, était furieux d'être mené au score à cause d'un but de Vinicius mais encore plus de la complicité entre les deux joueurs décisifs. Dès que l'arbitre siffla la mi-temps, le joueur se dirigea vers son vestiaire, la tête baissée.

Vinicius l'ayant bien vu, ressentit l'envie de provoquer son adversaire en quête d'une réaction de sa part.

-Vinicius: bueno entonces, apestamos. Dit-il en rigolant
(Traduction: bah alors, on est nul)

La phrase dites dans un espagnol parfait eut la réussite d'énerver gavi plus que ce qu'il ne l'était déjà. Il s'emporta, heureusement un de ses coéquipiers le retint et tout le monde repartit dans son vestiaire attitré.

Le match se termina sur une victoire écrasante du Réal Madrid, la déception se lisait sur les visages des barcelonais. C'était tout l'inverse pour les madrilènes qui sautaient de joie devant leurs supporters, chantaient à tue tête et avaient le sourire jusqu'aux oreilles.

C'est en rentrant dans le tunnel pour la deuxième fois de la journée, que Vinicius décida de provoquer son adversaire un dernière fois. Il le prit par le bras et l'emmena dans une pièce déserte qu'il verrouilla.

Le plus petit était décontenancé, il ne comprenait pas ce que lui voulait encore son rival. Ils avaient perdu aujourd'hui et c'était amplement suffisant. Le plus grand lui, voyait le visage très peu joyeux de l'homme en face de lui et ça l'attristait un peu.

-Gavi: qu'est-ce que tu veux. Dit le perdant sans aucune énergie.

-Vinicius: avoir une discussion avec toi.

-Gavi: j'ai pas vraiment envie de ça maintenant. Dit-il avec un semblant de larmes dans les yeux.

Le numéro 7 eut de la peine pour le 6, il prit son menton entre ses doigts et leva son visage vers le sien. Il contempla ses traits fins, ses yeux couleur noisette et surtout ses lèvres. Il les fixa de longues secondes et succomba à la tentation, il l'embrassa avec force et amour.

Le barcelonais fut surpris mais répondit avec envie à ce baiser. Le baiser qui a la base était doux devint de plus en plus sensuel, le madrilène prit d'une main les bras du jeune homme pour les placer au dessus de son corps et l'autre vint se placer sous le t-shirt de son rival.

Ils s'embrassaient passionnément, Vini passait ses mains sur chaque parcelles de peau qui s'offraient à lui, il lui enleva son maillot et profita de la vue. Le barcelonais replongea sur les lèvres si tentantes en face de lui.

Le madrilène quitta la bouche de son amant pour se diriger vers son cou où il alterna entre légères morsures et doux baiser appuyés. La tête Gavi partait en arrière laissant plus d'accès encore à Vini et il gémissait des mots inaudibles.

Vinicius descendait sur le torse parfait de son amour caché, la bordure du short de celui-ci le gênait, il le retira donc. Il recommença ses baisers sur le corps du brun, se focalisant sur ses cuisses sans jamais aller à l'endroit tant désiré par le barcelonais

-Gavi: plus... plus vite. Dit-il essoufflé et en gémissant.

-Vinicius: qu'est-ce que tu veux Pablo? Dit le madrilène avec un sourire en coin.

-Gavi: je veux... ta bouche autour... autour de moi.

Le plus grand s'exécuta, il enleva le dernier vêtement qui lui gêner le passage et tomba sur le membre tendu de son ennemi.

-Gavi: va plus vite, je t'en supp...

Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase, que le plus vieux l'avait pris en bouche. Gavi mit ses mains dans les cheveux de son partenaire d'une nuit, ce qui poussa Vinicius à prendre quelques centimètres de plus. La tête en arrière contre le mur, des gémissements forts sortant de sa bouche, le corps contracté, il était déjà au bord de l'extase.

Vinicius le remarquant, arrêta tout mouvement ce qui provoqua les grognements mécontents de l'autre. Il repartit avec fougue sur les lèvres de son adversaire et Gavi lui retira la totalité de ses vêtements. Ils étaient tout les deux nus, remplit de désir l'un envers l'autre.

Ils se réembrassèrent avant que le madrilène retourne le barcelonais contre le mur. Il mit de la salive sur ses doigts et en rentra un d'eux dans l'anneau de chair du plus petit. Gavi gémit fort et s'enfonça un peu plus dans le mur.

Vini en rentra un deuxième puis un troisième doigt et une fois qu'il sentit que son partenaire était prêt, il les remplaça par son membre. Ils gémirent tout deux de plaisir et les premiers coups de reins commencèrent. Ils s'enchaînèrent, de plus en plus vite, de plus en plus fort.

Après de longues minutes de plaisir, l'orgasme les consuma tout les deux. Ils lâchèrent des grognements rauques, Vinicius tomba sur Gavi, qui lui s'accrocha au mur.

Ils étaient tout transpirants de leur activité et ils se rhabillèrent avec leurs tenues de match. Ils se fixèrent un long moment après ça, ne sachant pas quoi dire.

C'est Gavi qui coupa le blanc en partant hors de la pièce, laissant Vinicius seul avec ses pensées.

Os footballOù les histoires vivent. Découvrez maintenant