On me connaîtra sous le nom d'Assia Housnia An Nur Esmari.
Parfois sous le statut d'une reine prééminente, et parfois sous le statut d'une mercenaire, soldate de l'ombre.
Ce qui m'importe c'est ce trône et cette couronne, que je ne laisserai point d...
Selem a3leykoum les filles !! Comment vous allez ? Sah to sah jvous donne le droit de m'engueuler comme il faut en commentaires 😖 J'ai eu un peu bcp de choses qui se sont passées cette année et j'ai pas pu tenir ce projet qui me tenait à cœur. La raison pour laquelle je reviens c'est grâce à une amie à moi qui m'a motivée pour participer à un concours d'écriture, jme suis dit que c'était l'occasion de revenir 😚
Je pense que pour les prochains chapitres il n'y aura plus d'affiches ni de citations, et comme je ne suis qu'au premier jet de mon histoire, je referai des affiches à la réécriture une fois que tout ça sera fini !!
Je m'excuse pour mon absence prolongée c'est vrm pas pro mais je suis de retour et je vais faire de mon mieux pour terminer cette histoire avant la fin de l'année.
Gros bisous et bonne lecture 🩷 ♜
K💋SS
skawss 🌟
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ASSIA.
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Une hirondelle majestueuse, survolant le palais.
Un corbeau possédant un étrange charme.
Tous deux sur la même branche, passant outre leurs differences.
Je me réveille après un court rêve, mes yeux sont encore clos.
J'ai l'espoir que tous les événements passés ne soient qu'un cauchemar. Je demande inconsciemment à ce que toutes ces épreuves soient aussi réelles que ce songe, où j'ai vu une hirondelle et un corbeau cohabiter, bien que cela n'existe point.
Finalement, je perçois le son de la serrure ouvrant la porte. J'ouvre involontairement les yeux, quel fut mon désespoir lorsque je vis que je n'avais point changé de place. Je me trouve toujours dans ce lit, les mains liées dans mon dos et recroquevillée.
Je jette un œil vers la fenêtre et remarque qu'il fait toujours nuit. Je réalise alors que je vais devoir passer la nuit avec cet homme, je suis soudain prise d'effroi et de dégoût. Il amplifie ma souffrance avec le temps qu'il prend à ouvrir cette porte.
Finalement, elle finit par céder et s'ouvre. Je n'ose pas me retourner, morte d'effroi. Je me recroqueville sur moi-même dans l'espoir de me protéger.
