Tome 5 : Queremos un final feliz

Chapitre 9 : Jorge

J'étais en bas entrain d'attendre quand je me dirigea vers l'escalier par agacement d'attente. Je passa au moment où sa mère lui demanda de qui elle était amoureuse et qui elle voulait pour toujours... Je m'attendais à ce qu'elle choisisse Peter mais non, elle a prononcé mon nom. C'est... C'est fantastique ! J'en perds même mon latin ! Je croyais qu'elle allait sortir de suite après mais non, la conversation continua.

-Jorge est vraiment ton âme-sœur Martina,lui dit sa mère.

-Je le sais... Mais il faudrait que l'on apprenne à se redécouvrir. Et là, sans tout ces problèmes ayant surgit depuis le début de notre relation, je pourrais peut-être enfin faire ma vie avec lui.

-Je vois... Il faut que tu ailles tout de suite lui parler. Ne perd pas de temps ma chérie !,l'encouragea Mariana.

-Merci maman d'être là !,lui dit Tini.

-C'est normal ! Et maintenant file parler à Jorge !,ria sa mère.

-J'y vais de suite !

À ces mots, la porte s'ouvrit et je repartis dans le salon. Elles arrivèrent et Tini me regarda intensément et Mariana avait le sourire jusqu'au oreilles.

-Qui a-t-il ?,leur demandai-je innocemment.

-Jorge... Tu peux venir avec moi il faut que je te parle...,me demanda Tini.

-D'accord je te suis !,dis-je en me levant.

Tini me tendit sa main que je saisis immédiatement et elle m'entraîna vers la porte de chez elle.

-Au revoir Mariana en espérant vous revoir !,dis-je en passant devant elle.

-Moi aussi Jorge. Je crois qu'on va se revoir très rapidement !,me sourit elle.

On passa la porte d'entrée et on tomba sur Peter.

-Peter...,commença Tini en s'arrêtant.

-Tini...

-Il faut qu'on parle !,disent-ils ensemble.

-Tini je suis allée voir mon père pour parler de notre relation.,dit Peter.

-Et ?

-Il m'a conseillé que nous arrêtions là. Il est persuadait que tu n'es pas mon âme-sœur. Et depuis cette discussion, je le pense sérieusement.

-D'accord... J'allais venir te parler de ça !,dis-je.

-Mais je ne veux pas qu'on perde notre amitié d'avant notre couple !,sourit Peter.

-Moi non plus !,sourit Tini.

-Amis ?,proposa Peter.

-Plus que de simple amis non ? Presque comme des meilleurs amis non ?,ria Tini.

-Tu as raison ! Presque meilleurs amis !,s'écria Peter.

-Oui !,sourit Tini.

-Pour le mariage...

-Je vais tout payer ne t'en fais pas !,dit Tini.

-Non ne t'inquiète pas il va me servir. Mes parents veulent recélébrer leur mariage !,avoua Peter.

-Ah d'accord ! Tout mes voeux pour eux !,déclara Tini.

-Merci ! On garde contact ?,demanda Peter.

-Oui !,dit Tini.

Après ce moment très touchant, ils se prirent dans les bras et se dirent aurevoir. Puis Tini m'amena près d'un lac ou un étang, et on s'asseya sur un banc.

-Tini pourquoi sommes nous là ?,lui demandai-je.

-Je veux te parler. Mais ne me coupe pas !,me prévint elle.

-D'accord.

-Bien... Dans la voiture, tu m'as dit que sans même me rendre chez ma mère pour discuter, je connaissais la réponse. Et bien tu avais raison ! Je ne saurais t'expliquer... Mais quand je suis avec toi le monde est rempli de couleurs, mon être fonctionne normalement et mon coeur bas une vitesse impossible à mesurer. Mais je ne sais pas si je devrais l'écouter. Certes je t'aime en un point... Je n'ai même pas de mot pour l'exprimer mais... J'ai eu le conseil de ma mère. Elle m'a dit il vaut mieux en briser un que deux. Et elle m'a dit que je ne devrais pas passer à côté de mon grand amour qu'elle pense que tu l'es. Je sais mes phrases sont un peu bizarre mais je perd mon latin quand je suis avec toi ! Tu vois, c'est cette sensation que ma mère m'a dit que je ne la retrouverai jamais avec personne d'autre que toi ! Et je crois qu'elle a raison ! Je suis sûre à deux infinis pourcent que tu l'es ! C'est fou, je ne pensais pas que j'allais te faire ça un jour mais, je voudrais faire ma vie avec toi car pour moi, tu es clairement tout ce dont j'ai besoin avec Éléonore ! Tu es le garçon le plus parfait ! Et là, ton égo est en surchauffe. Je le vois avec a petite fossette ici (elle s'avança pour poser sa main sur ma joue). Je vais peut-être le regretter, mais je prend le risque... Je suis plus qu'éperdument amoureuse de toi, je t'aime plus que l'infini au carré. Monsieur Marmotte Jorge Blanco Guereña, je vous aime !,prononça telle enfin.

-Enfin !,m'exclamai-je.

- Enfin quoi ?,me demanda t-elle.

Je l'embrassa. Je suis plus qu'amoureux que ce que j'avais imaginé ! Cette fille m'a surprise par sa déclaration peu habituelle. Je l'aime !

-Le je t'aime !,chuchotais-je contre ses divines lèvres.

-Ah mais je voulais te le dire depuis un petit moment !,me sourit elle.

-Espèce de petite cachottière !,lui réprimandai-je.

-Tu sais , dans mon coeur, il n'y a eu que toi et il n'y aura que toi ! Et ça ne changera jamais !, m'assura t-elle.

-Je suis le plus heureux des hommes !,lui assurais-je.

-Je sais... Mais, j'ai besoin qu'on fasse quelque chose,me demanda t-elle.

-Tout ce que tu voudras ! Pourvus qu'on ne s'éloigne plus jamais !,lui jurais-je.

-Un peu quand même..., me dénonça t-elle.

-Dis-moi mon cœur !

-Je voudrais qu'on fasse comme si on ne se connaissait pas et qu'on réaprenne à ce connaître, es-tu d'accord Jorgito ?,me demanda t-elle timidement.

- Si tu veux ! D'ailleurs tout ce que tu veux si tu me promets de ne pas voir d'autres garçons !,lui ordonnai-je.

-Eum... Ne serais-tu pas jaloux ?,me demanda t-elle.

-Qui ne serait pas jaloux ? T'avoir comme petite amie surtout quand une femme comme toi est la plus belle de ce monde !,lui souris je.

-Oh monsieur me sors les phrases de romantique !,ria t-elle doucement.

-Oui ! D'ailleurs accepterais-tu de dîner avec moi ce soir ?,lui proposai-je.

-Euh... Laisse-moi réfléchir ! Eum... C'est d'accord !,accepta t-elle.

-Bien c'est fantastique ! Je passerais te chercher ! Ah.. Mais je suis bête, je n'ai pas l'adresse de chez vous belle demoiselle !,lui demandais-je.

-Je te l'enverrai pas message mais quel est ton numéro ?,me demanda t-elle.

-Je vais te le rentrer directement !,lui dis-je.

-Tenez !,me le tendant.

Je retapa mon numéro et le ré-enregistra.

-Tenez ! Attend je peux faire une pause ?

-Oui qu'y a-t-il ?

-Accepterais-tu de m'épouser ?

-Je te répondrais à cette question quand j'aurais décidé de le dire !,me promit-elle.

-D'accord à ce soir , dix-neuf heures ?,Lui demandais je.

-Oui à ce soir !

Sur ces mots, je repartis en sautillant presque de joie jusqu'à ma voiture. Je la veux et je l'aurai ! Ce soir je sors le grand jeu pour l'impressionner. Espérons que ça fonctionne !