Le bien ou le mal ?
Une vie, un éventuel espoir...
Comment rester professionnel et stoïque quand votre existence a toujours été tourmentée ?
Sky Brown, jeune chirurgienne de vingt-six ans, est confrontée à deux choix difficiles : suivre les pas de...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Une nouvelle ère de jeunes médecins...
— Chargez à 200 joules.
Un rythme cardiaque peut s'arrêter de battre du jour au lendemain.
Il est tout à fait comparable au zèle ardent d'une bougie qui s'asphyxie par le manque d'oxygène, s'éteignant à tout jamais.
— Massage cardiaque.
Sans savoir pour quelle raison, le palpitant devient compliqué à gérer et ne facilite pas la tâche des médecins.
Constamment pour un oui ou pour un non, nous devons faire face à une vague de patients blessés sur des brancards, étant dans le besoin.
— Vérifiez son pouls.
Nous qui exerçons les métiers spécialisés au cœur de la santé pour aider son prochain n'est rien contre l'échec.
On doit juste le faire avec.
Les électrodes branchées sur le corps allongé sur la table d'opération, le moniteur indique et marque un arrêt total de la fréquence cardiaque.
— La jeune patiente Beverly Heather est décédée à 18h30, déclare l'anesthésiste.
À l'heure actuelle, nous sommes entrés dans une glace impraticable où les médecins restent coincés au milieu de cette chambre sombre et froide, créant une perpétuelle boucle disproportionnée.
Certains se demandent si c'est leur dernier jour à l'hôpital avant d'être viré pour faute grave tandis que d'autres étouffent des affaires pharmaceutiques sérieuses et dangereuses à foison.
Des chirurgiens incompétents et malintentionnés payent des vendeurs prêts à réaliser le sale boulot à leur place, des actes médicaux illégaux dans les blocs opératoires.
Doit-on se poser la question entre le bien ou le mal ? Choisissons-nous cette vocation simplement pour gagner de l'argent ou pour essayer de faire revenir et revivre ce cœur meurtri qui a cessé, toute activité ?
Personne ne devrait avoir des décisions à prendre lorsque cet instant arrive à grands pas. Personne ne devrait culpabiliser quand elle est confrontée inlassablement à la mort d'autrui.
Pourtant, la plupart d'entre nous se sont au moins retrouvés face à un départ imminent.
Ici, nous pénétrons dans une nouvelle ère de discrimination où le milieu et les relations sont beaucoup plus importants et essentiels que les compétences...
Un diagnostic engagé, une vie menacée...
————————————————————
J'espère que vous avez aimer ce premier prologue ! N'hésitez surtout pas à donner vos avis afin de voir si les chapitres vous ont plus ou pas du tout.
