Dynastie

Vision d'horreur

Le silence, oui c'est ça. Aucun bruit, la maison n'est pas éclairé et je pourrais même entendre les battement de mon cœur. Un air pesant et froid c'est installé, j'ai un mauvais pressentiment.
Je ne vois rien et mon ventre se tortille de douleur. Ma tête cogne quelque chose qui a l'air d'être suspendu, je tâte un peu plus cette objet ou cette chose.
Tout battement de mon cœur s'arrête, je suis comme paralysé, mes yeux sont écarquillés. Un crit d'effroi sort de ma bouche et instantanément mes mains ce porte à mes lèvres comme si quelqu'un pouvait m'entendre. J'essaye de chercher l'interrupteur, mais je sens quelque chose de visqueux qui me dégoûte et qui me donne de la répulsion.
Mon corps est soumis à trop d'épreuve et je manque de m'effondrer au sol plusieurs fois, la lumière s'allume et je découvre mes doigt imbibés de sang.
Mes yeux remonte vers le corps pendu du voisin d'en face, son cou est imbibé de son propre sang on lui a tranché la carotide et de plus il porte des hématomes le long de ses bras . Ses yeux son encore ouvert, et mes jambes cède à la pression, je laisse mes larmes perlé et mes cris se font plus bruyant.

Un cauchemar c'est un cauchemar

Je me relève et avance pas à pas vers mon salon, clé en main comme si cela pouvait me protéger. Le hall est maintenant illuminé d'une faible lumière qui grésille. Je mettais promise de la changer depuis une semaine, mais ça ne me dérangeait pas plus.

Mes pas résonne, mes tremblement ce font plus présent. Mon pouls accélère à une vitesse folle, je ne compte pas appeler la police parce que là où je me suis avancé c'est un cul de sac, il m'est impossible de faire marche arrière.
Des sueurs froide perles sur mon front, une boule dans mon ventre c'est installé depuis le début et elle ne m'a jamais quitté.
J'ouvre lentement la porte coulissante, et j'allume l'interrupteur à ma gauche.
Je sursaute de peur, des larmes refont surface et elles sont bruyante. Mon cœur se sert un peu plus dans ma poitrine, mes yeux sont écarquillés.
Des hommes sont assis dans mon salon et leur armes sont pointé dans ma direction.
Ils sont une dizaine d'hommes, mais que trois son assis. Ils sont baraqué, et ils sont habillé avec des costards. Un tatouage différent sur chacun de c'est trois hommes
Le premier a un arbre fruitier avec des feuilles et des fruits.
Le deuxième a un serpent qui s'en roule autour de cet arbre pleins de fruits.
Et le troisième a le serpent plus l'arbre et avec il a deux personnages.
Leurs tatouages ce situe tous sur leur avant-bras, je comprend vite que l'histoire relate de la bible Adam et Eve au jardin d'Eden.
Mais pourquoi ça ? , il me détaille tous du regard, personne ne parle et de toute façon je ne suis pas prête. J'ai beaucoup trop peur et je ne sais pas comment je me tiens encore debout .

J'examine les trois mec assis sur mon divan en faisant abstraction des sept hommes qui me tiennent en joue.
Le premier est blond au yeux bleu polaire.
Le deuxième est brun au yeux vert clair.
Le troisième a les cheveux noirs et a des yeux marron très sombre.
Et c'est lui qui me fait aussi le plus peur dans toute cette histoire, il émane à lui seul une aura beaucoup plus mauvaise que les autres.

Le blond fait un geste de la main et les hommes obéissent instantanément en baissant leur armes.
Leur visages sont fermé ils sont impassible et je déteste ça, le blond ce lève et s'avance vers moi et je suis incapable de reculer car je ne suis pas en état de le faire pas encore mais ce qui est sûr c'est que le choque a été bien trop violent et rapide. Il doit bien faire deux tête de plus que moi.
Il me surplombe en taille aussi bien qu'en largeur, arriver à mon niveau. Son pouce et son index viennent emprisonné mon menton. De sa force il me fait relever la tête vers lui, son contact me fait frissonner, ses doigts chaud contraste avec ses bagues froides. Son odeur enivre mes narines son parfums contraste elle aussi avec l'odeur du tabac.
Il me regarde de ses pupilles bleu polaire, je détourne le regard et il passe son pouce sur une larme que j'ai involontairement laisser couler. Je ne sais pas comment réagir, mais je sais que je dois être rouge tomate en ce moment même et malgré ça c'est à ce moment que j'ose le regarder.