Spiderman 2

Rencontre entre passionnés de sciences

Quelques heures plus tard, dans un laboratoire, le docteur Wayne Octavius est entrain de travailler sur une future expérience basée sur la fusion, lorsque Adrien et Quentin arrivèrent dans le laboratoire.

Scientifique : Docteur, monsieur Osborn est arrivé.

Wayne retira ses lunettes d'expériences, et se leva, pour saluer Adrien, qui est d'humeur joyeuse.

Adrien : Le prix Nobel Wayne, le prix Nobel, nous allons tous être riche.

Wayne : Je ne fais pas ça que pour remporter des prix Adrien.

Adrien : Oui mais vous avez besoin d'argent. Vous avez besoin d'Oscorp.

Wayne et Adrien se serrent la main, avant que Wayne ne demande à Adrien.

Wayne : Et qui est ce jeune homme ?

Adrien : Lui, c'est mon meilleur ami, je vous ai parlé de lui, il m'a beaucoup aidé en science.

Quentin : Quentin Parker, monsieur.

Quentin et Wayne se serrent la main.

Wayne : Parker.

Quentin : J'ai écrit un article sur vous...

Wayne : Oui je sais ce que vous faites, mais je n'ai pas le temps de parler aux étudiants. Mais comme Oscorp, paie les facteurs, donc...

Adrien : C'est pourquoi je dois partir. Réunion du conseil d'administration. Mais mon travail est terminé ici. J'ai réuni les 2 génies, bonne chance pour demain. Le prix Nobel, on se verra à Stockholm.

Sur ces mots, Adrien partit, laissant Quentin avec Wayne.

Wayne : Vôtre ami est un homme intéressant.

Quentin : Je ne prendrai pas beaucoup de votre temps...

Wayne : Parker, de ce que j'ai pu comprendre, vous étudiez avec Meeks ? Il dit que vous êtes brillant. Il dit aussi que vous êtes paresseux.

Quentin (un peu gêné) : J'essaie de m'améliorer.

Wayne : Vôtre remarque ne suffit pas jeune homme, il faut travailler dur. L'intelligence ce n'est pas un privilège, c'est un don, qu'on doit mettre au service de l'humanité.

Quentin prit au sérieux la remarque de Wayne, avant de demander.

Quentin : Donc c'est ça ?

Wayne : Oui, mon invention, pour initier et contenir la fusion.

L'invention en question est un réacteur à fusion projetant des rayons lasers, censé créer une source d'énergie renouvelable et économique.

Quentin : J'ai cru comprendre que vous utilisiez des harmoniques de fréquences atomiques ?

Wayne : Fréquences sympathiques.

Quentin : Renforcement harmonique ?

Wayne : Exact.

Quentin : Une augmentation exponentielle de la production d'énergie.

Wayne : Une énorme quantité d'énergie. Comme un soleil perpétuel fournissant de l'énergie renouvelable au monde entier.

Quelques instants plus tard, Quentin et Wayne continuent de discuter de l'expérience autour d'un tasse de thé en compagnie de Christina, la femme de Wayne.

Quentin : Et vous-êtes sûr de pouvoir stabiliser la réaction de fusion ?

Wayne : Mais enfin Quentin, de quoi est-ce qu'on parle depuis une heure et demi ? C'est l'œuvre de toute ma vie. Et je vous assure que je sais les conséquences de la moindre erreur de calcul.

Quentin : Navré, je ne voulais pas émettre de doutes.

Wayne (sur le ton de l'humour) : Christina, nôtre ami croit que je vais faire exploser la ville.

Wayne (à Quentin) : Vous pouvez dormir sur vos 2 oreilles.

Christina (à Quentin) : Wayne a bien fait ses devoirs, venez à la démonstration demain, et vous verrez par vous même.

Alors qu'elle sert le thé, Christina s'adresse à Wayne.

Christina : Toi aussi, tu as besoin d'une bonne nuit de sommeil, Wayne.

Wayne : Est-ce que Edison a dormi avant d'avoir inventé la lumière ? Est-ce que Marconi a dormi avant d'avoir inventé la radio ? Est-ce que Beethoven a dormi avant d'avoir composé la 5e symphonie ?

Quentin : Est-ce que Bernoulli a dormi avant d'avoir trouvé la courbe de la dynamique des fluides.

Wayne (ravi) : Christina, je l'aime ce petit.

Christina (à Quentin) : Parlez-nous un peu de vous Quentin, est-ce que vous avez une petite amie ?

Quentin (timidement) : Je n'en suis pas sûr.

Wayne (sur le ton de l'humour) : Vous ne devriez pas le savoir ? Je veux dire, qui le saurait ?

Christina (sur le ton de l'humour) : Laisse le tranquille, peut-être que c'est un amour secret.

Wayne : L'amour ne devrait jamais être un secret. Si vous gardez quelque chose d'aussi compliqué que l'amour à l'intérieur, cela vous rendra malade. J'ai finalement eu de la chance en amour.

Christina : Ça été le cas pour nous deux.

Wayne : Mais c'est loin d'être parfait. Il faut y travailler.

Christina : On s'est rencontré sur les bancs de la fac, et je savais que ça n'allait pas être simple au début. Il était étudiant en science et moi j'étudiais la littérature.

Wayne : C'est vrai. J'essayais de lui expliquer la théorie de la relativité. Et Christina essayait de m'expliquer T.S. Eliot. Je ne comprends toujours pas de quoi il parlait.

Christina : Oui, c'est vrai.

Wayne : Je suis sérieux. T.S. Eliot est plus compliqué que la science avancée. Mais si vous voulez qu'une femme tombe amoureuse de vous, on lirait de la poésie.

Quentin : De la poésie ?

Wayne fit un oui de la tête, avant de répondre.

Wayne : Ça marche toujours.

Christina sourit à Wayne.