BRIXTIA | Livre II | l'Appel de l'Amarok

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La pluie tombait sans cesse depuis deux jours. Les rue de Mirabilis étaient devenue des torrents. On voyait les nuages s'aglutiné à la frontière des monde et si c'était le déluge en terre mortelle, le soleil brillait en féerie.

Sam aurait amée pouvoir s'interessé à la météo. Mais il avait d'autre chats à fouetté pour ce soir, morts en l'occurence, les chats. Quand on est lieutenant à la crime de Mirabilis ont à rarement rendez-vous avec les vivants. Sam s'était garré a quelques dizaine de rue de la scène de crime. Il n'avait pas put s'approché plus. Les rue était bondée de journaliste, de curieux et de flic. Mais surtout, remplit à craqué de bars et de boites de nuits, le cartiers malgré la pluie brillait de mille feu. Il dut joué des coudes pour s'approcher, pire qu'a un concert de punk métal. Il finit par sortir sa plaque et menacer de foutre au troue les badeaux qui lui bloquait le passage. Un cordon jaune dilimitait la scène. Les force de l'ordre avait bouclé tout le cartier. Les riverins était furieux de ne pas pouvoir rentré chez eux ou de récupérer leur voiture. Une grande tente blanche avait été monté à la va vite. À la fois pour protéger le cadavre et les preuves et pour empécher qui que ce soit de prendre des photos morbide.

Sam fut obliger de placer sa plaque sous le nez du flic qui contrelait l'accès à la scène de crime. Il ne ressemblait pas à un flic, c'était un fait mais de là à lui demandé de dégager sans somation, il y avait des limite. Il faut dire qu'il n'en avait pas vraiment le style avec ses basquet, son jeans, son sweat noir où l'on pouvait lire en jaune et en majuscule.

KEEP CALM AND HAN SHOT FIRST.

Avec son blouson de cuire pour seule protection, il ressemblait à tout les jeune sortit des boite

Grand par la taille et l'arge d'épaule, il avait entrainné son corps au combat, c'était utile surtout dans la police. Mais ce qui ne lui donnait pas l'aire d'un flic, s'était ses cheuveux brun long au mèche décoloré qu'il nouait en chignon de samouraille. L'ombre d'une barbe assombrissait son visage, aportant de la durté à ses trais harmonieux. On l'aurait plus imaginé faire l'acteur qu'intéroger des suspects. Ses yeux bleu claire se fixièrent sur l'agent revanchar. Le flic en uniforme se figea une seconde. Se regard, il l'avait vue chez des racailles, des chef de gand, ceux qui ce fiche des loie et du système qui préfères voir le monde bruler que de se soumettre ou qu'on leur manque de respect.

— Lieutenant Samuel Gascon, on m'a réveillé pour l'enquête, alors dégager de mon chemin avant que je vous cole un rapport.

Sam éxagérait un peu. Le pauvre type en uniforme avait été aussi tiré de son lit en pleinne nuit, pour empécher sous une pluis glacial les inconsiant de souillé la scène de crime. Comme aurait-il put devinné que le trentenaire au cheveux décoloré au sweat geek était de la maison. En prime, il ne s'était jamais vue.

Sam venait d'obtenir le poste à Mirabilis. ce n'était pas une promotions. Aucun humain un tant soit peut saint d'esprit n'aurait demandé à être muté dans la cité frontière.

Au début du vingtéunième siècle, les fée s'était révéler à tout l'humanité. Elle avait ouvert les frontière entre les deux mondes. La grande guerre des mondes avaient lieux. Pour évité qu'une seconde grande guerre n'éclatent les citée frontalière avait été batie, des ville à la croisé des monde. La phisique comme théorisé par les humains ne fonctionne pas avec la frontière de Mirabilis. Quand on regarde la cité depuis le ciel. On se rend compte que Mirabilis en terre mortelle forme une couronne autour de la frontière en son centre. Mais quand on franchit la frontière et que l'on se retrouve de l'autre coté en terre féerique, c'est la partie féérique de Mirabilis qui devien une couronne et la frontière mortelle qui devient son centre. Les savants s'en sont brisé le crane à tenté de trouvé une explication et tout ce qu'ils on obtenue comme explication de la par des fée, ce fut. « C'est Magique. »