Chapitre 8: Trahison de la part de l'idéale.

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Je venais d'ouvrir la porte quand soudain je vis Mathias, mon EX. J'avais mis un peu de temps avant de le comprendre. Bon je vous remets le dialogue.

« Tu comptes me laisser dehors?

- Non entre, dis-je d'une voix tremblante.

- Merci. Waouh!!! C'est Antho qui a payé tout ça non?

- Euh oui mais comment tu le sais?

- Bah c'est mon cousin je le connais comme ma poche. Il a bien réussi en tout cas.

- Oui c'est vrai qu'il est incroyable. Tu veux quelque chose à boire?

- Oui de l'eau s'il te plaît. Merci. Et sinon quoi de neuf?

- Depuis que t'es parti?

- Oui.

- Euh rien de spécial. Ah si! Je fais une école de stylisme pour devenir créatrice de vêtement de renom mondial. Tiens ton verre d'eau.

- Ah merci. Ok bah moi je suis venu m'installer à Paris pour ouvrir mon entreprise.

- Oh cool.

- Mais il faut que je te dise quelque chose.

- Je t'écoute.»

Point de vue d'Anthony:

Une fois que j'ai déposé Nicolas chez lui j'ai pris un petit MacDo pour Tiffany et Moi. Il y avait quelques bouchons sur la route. Sur le chemin, j'aperçus Maya en train de se faire poursuivre par des gens. Je me suis arrêté et lui ai proposé de monter dans ma voiture pour l'aider ce qu'elle accepté. Après avoir déposé Maya chez elle, je me pressai de rentrer. Fort heureusement j'étais arriver à la maison. J'ouvris la porte et je vis quelque chose de surprenant: dans le salon, il y avait Tiffany et un autre mec qui s'embrassaient. J'étais outré et déçu.

« Je peux savoir ce qu'il se passe?!! Criai-je.

- An... An ... Anthony je peux tout t'expliquer.

- Oui bah c'est que ce que j'attends des explications et puis c'est qui lui?

- Ça faisait un bail qu'on ne c'était pas vu Anthony.

- Mathias!!!! Qu'est-ce que tu fous dans ma maison?

-Anthony ne t'énerve pas je t'en supplie.

- Toi tais-toi je ne veux même plus t'entendre.

- C'est pas très gentil de parler comme ça à sa copine.

- Melle toi de tes oignions.

- Je suis désolée. Il a sonné à la porte, je l'ai fait entrer, il m'a demander de revenir sa copine et..

- Et t'as dit oui.

- Non j'avais dis non.

- C'est pour ça que vous étiez en train de vous rouler une pelle.

- Je suis désolée Antho.

- Tu vois pas que tu nous dérange Anthony.

- Quoi tu veux que je vous laisse ma chambre peut-être?! Affirmai-je d'un air sarcastique.

- Pourquoi pas.»

Pris de rage, je me dirigeai vers lui avec l'air menaçant et muni d'un couteau. Je l'attrapai par le cou quitte à l'étrangler et lui planta le couteau dans l'épaule en l'accrochant au mur.

« Que ce soit la dernière fois que tu te fous de ma g*ule, c'est clair?!»

A travers la maison, on pouvait entendre ses cris de douleur .

« C'est une tentative de meurtre, s'écria Mathias.

- Non c'est un avertissement. Si tu me cherches encore une seul fois c'est pas l'épaule que je planterais mais ce qui te sert à aimer la copine des autres. Compris?

- Anthony où est-ce que tu vas?

- Je vais à l'autre bout quartier au moins je ne serais pas obliger de te voir. Et pour tes études, t'en fais pas je continuerai à les financer.

- Non ne part pas. Je suis désolée, ne m'abandonne pas. Je te veux auprès de moi. Je sais que ton amour n'est plus là. Je sais que c'est pas facile mais ne me dit pas que ton amour n'est plus là.

- Tu m'a trompé alors que j'étais la seule personne à t'être venu en aide qu'en t'étais en dépression, le seul garçon qui t'a défendu quand on te harcelais au collège et le seul homme assez bête et fou pour pouvoir t'aimer au point de déménager avec toi et financier tes études à New York pour l'année prochaine.

- Anthony ne part pas! Le seul homme que j'aime c'est..

- Lui pas moi. Alors prends le Mac Do. ET déguste le bien avec ton nouveau mec. Ciao.»

Je partis pris de colère, enragé, déçu mais par dessus tout triste et idiot de croire que je pouvais faire confiance à quelqu'un. Quand Maya m'appela:

«Quoi?

- Excuse moi si je te dérange je voulais juste prendre de tes nouvelles.

- Tu veux de mes nouvelles? Bah écoute: mon cousin a salit ma voiture, ma meuf m'a trompé avec mon autre cousin et en plus je suis obligé de partir de chez moi pour voir sa sale g*eule de co**ard.

- Doucement, calme toi.

- Oui t'as raison excuse moi.

- Tu peux venir chez moi si tu veux?

- T'es sûre que je te dérangerai pas?

- Bien sûre que non, je me sens un peu seule de toute façon.

- Bon ok. Envoie moi ton adresse j'arrive.

- D'accord.»

Je me dirigeai alors vers son appartement. Une fois arrivé, je sonnai à la porte et elle m'ouvris la porte.

J'étais, Je suis Mais Je ne serais plus.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant