Chapitre 1 : asima : la mission qu'on me confie

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je suis née d'une marquée et du dieu apophis.
pourtant, lorsque ma naissance est arrivée, cela fessais très longtemps que les dieux ne se mêlaient plus aux terriens.
j'étais donc une aberration parmi les aberration.
ma mère étais d'une lignée former par hermès, mais après milles ans, le sang divin c'étais atténuer et ne restais rien de divin chez elle.
malgré sa, les intouchables avaient toujours refuser de la voir comme terrienne.
sang pur de merde !
apophis ,contrairement a ce qu'on pourrais croire, a toujours été présent dans ma vie.
il souhaitais que je devienne son acte de rédemption, prouver aux autre divinités que lui aussi étais capable d'aider dans cette guerre, même avec milles ans de retard.
ma mère refusais que je fasse partie de cet univers violent, mon père lui as fait comprendre qu'on ne négocie pas avec un dieu.
j'avais 10 ans quand mon père a tuer ma mère devant mes yeux.
je n'ai rien dit ce jour la, j'ai juste regarder en me disant que c'étais normal.
mon père a ensuite commencer mon entrainement, je devais être sa guerrière, celle qui prendrais sa place sur un champ de bataille .
asima, petit serpent venimeux qu'il tenais au creux de sa mains...

le jours de mon 17ème anniversaire, mon père m'a fait appeler dans sa chambre.
on ne fait pas attendre un dieu alors je me suis précipitée la bas.
si ma mère n'avais rien d'hermès, ce n'étais pas mon cas, je pouvais courir beaucoup plus rapidement que la plupart des marqués.
lorsque finalement j'arriva dans la chambre de mon père, je fus surprise de le voir en compagnie d'un garçon de mon âge.
a première vue, ce garçon ne semblais pas être un marqué, la plupart on des apparences physiques hors norme, comme moi et mes yeux jaunes de serpents.
mais si il n'étais pas marqué, alors il ne pouvais être qu'intouchable !
que venais faire un intouchable dans la maison d'un dieu, nos lignées ne se supportais pas !
je croisa les bras, prouvant par ce geste que je savais très bien qui étais notre invité et que j'en avais pas grand chose a foutre.
"que vient tu faire ici ?"
mon père siffla comme un serpent.
"calme ta colère ma fille..."
je lui fit face.
"je ne vais pas me taire devant un bon a rien !
- asima...
- sa foutue lignée nous rabaisse constamment ! j'ai pas envie de devenir sa meilleures amie !
- asima, tu as devant toi leonce saarkam, de la 3ème familles intouchable, ton but sera de le protéger pendant qu'il part retrouver sa fiancée !"
il eu un silence puis le garçon tendis sa mains vers moi.
"je suis..."
je m'écarta de lui.
"je croyais que ta famille ne supportais les erreurs de la nature comme moi !
- je..."
le garçon eu l'air blessé.
"excuse nous...
- j'en veut pas de tes excuses de merde ! ta famille est une plaie et j'ai vraiment pas envie de passer les prochains jours en ta compagnie !"
je sentie soudains quelque chose de froid s'enrouler autour de moi, des écailles.
mon père avait repris sa forme de serpent géant , apparemment je l'avais vraiment énervé...
"serais tu en train de me désobéir ma fille ?"
je devais maintenant négocier avec une tête de serpent géante .
"bien sur que je te désobéis ! pourquoi on aiderais les intouchables ? ils nous voient comme de la merde !"
je sentie mes écailles noirs apparaitre sur tout mon corps, signe d'énervement chez moi.
le garçon s'approcha .
"elle as raison... ma famille vous traitres mal depuis tellement longtemps..."
je siffla moi aussi comme un serpent.
"j'ai pas besoin de ta pitié et encore moins de ton aide ! barre toi !" 
Mon père ressera son emprise autour de moi.
"Tu vas m'obeir ou tu ira rejoindre ta mère dans les enfers !
- quoi ? Tu tuerait ta fille chéri ?
- si elle me désobéi sans aucune gêne ? Avec plaisir !"
Le garçon nous observait et détourna le regard, gêné.
"Ne vous disputer pas a cause de moi... je ne mérite pas autant d'attention..."
Malgré moi je lâcha un rire gêner.
"Tu as vraiment cru que tu étais au centre de notre discussion ? Tu n'es qu'un tas de merde ! Pourquoi est ce que je parlerai de toi ?"
Il rougie tandis que les écailles commençais a trancher ma peaux.
Mon père se tourna vers le jeune homme.
"Excusez ma fille seigneur leonce, pour me faire pardonner que diriez vous de dîner avec nous ?"

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