Chapitre 2.5

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Et je vis Béatrice... vêtue de la même robe que moi !

Cest pas possible comment a-t-elle pu me faire ça.  S'habiller avec la même robe que moi alors quelle était au courant de ce que j'allais porter ce soir. J'essayai de me calmer mais la colère montait en moi et sortis de la voiture.

Elle engagea la conversation : 

- Ma chère Clara, comment allez vous ?

Je me racla la gorge et lui répondit en essayant d'être la plus honnête possible :

- Écoutez ! Vous étiez là lors du scandale que j'ai fais dans le magasin ! Pourtant vous avez l'audace de tester ma patience en mettant na même robe que moi. C'est une blague j'espère ?! Je ne pense pas que votre mari serait fier de vous.

Sur les nerfs,j'ouvris de ma voiture et était sur le point de partir.

Je m'apprêtais à monter dans la voiture lorsque un main claqua la porte. Mais la main qui la claqua n'était pas celle de Beatrice, c'était celle d'un homme.

Je levai la tête et vis un homme aux yeux aussi bleus que le cristal . Il possédait de délicates tâches de rousseurs et des lèvres qui semblaient appétissantes.
Sans m'en rendre compte, je me mordis la lèvre inférieure. 

Il avait une mâchoire carrée mais charismatique.

Soudain un baissa le regard sur moi et, par la gêne ressentie, je baissa à mon tour le regard et celui-ci se déposa sur son buste, face auquel je ressentais un sentiment de sécurité et de réconfort. 
Je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait.  Ce garçon ne me lassais pas indifférente. 

Puis je remarqua ses bras musclés.  "Il doit aller à la salle régulièrement " pensais-je.
Mon regard retourna sur ses yeux.  Nous sommes restés là,  a nous regarder, quelques minutes. 

Puis sans que je ne m'y attendes,  il mit ses bras autour de mon corps et me porta. Je me débattu pour essayer de me libérer de ses bras mais sans conviction.  Il avait trop de force. Alors je me mise à hurler. J'appelai Béatrice et lui demandai de l'aide mais elle ne vint pas et l'homme me couvrait la bouche de sa main, pour que je me taise.

Nous arrivâmes à proximité d'une voiture, une BMW décapotable, d'un noir brillant.
Il ouvrit la porte me jeta presque sur la banquette arrière et d'un coup, je vis noir.

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