chapitre 3:

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Je suis terrée dans les prisons de l'île, dans une cellule individuelle, ils ont tout essayé pour me couper de contact humain, cela fait maintenant trois semaines que je suis enfermée ici, j'attends un secoure, et en même temps, dans mon esprit, je suis presque résolue à une aide. Mon corps est couvert de blessure à cause des tortures incessantes, je suis presque quasiment totalement paralysée par la douleur. Mon dos est allongé sur le sol, des flaques de sangs coulissent dans la pièce, tandis que ma gorge et mon visage sont posés en face du mur. Mes poignets sont menottés étroitement au niveau du dos, ma peau s'est inflammée au bout de quelques jours à porter ces menottes, ils sont tellement serrés que la circulation de mon sang dans le bras est pratiquement coupée. Ma force physique et mon fruit du démon sont réduits à néant par le granite marin à mon grand désarroi. 


Je suis enfermée dans une cellule isolée, dans une pièce totalement insonorisée et faite de granite marin. Aucune lumière ne pénètre dans la cellule, aucun bruit, aucune fenêtre pour savoir se qu'il se passe à l'extérieur. Mes seuls contacts humains sont avec les geôliers pour me donner la bouffe dégueulasse qu'ils font, et mes tortionnaires qui essaient de me briser mentalement. D'ailleurs, je crois qu'à mon grand désespoir, mes séances de tortures quotidiennes vont commencer. Vasco shot est probablement le pire de mes tortionnaires, c'est un détraqué, qui n'hésite en aucun cas à me violer, il me considère comme sa femme, alors qu'il me répugne tant physiquement que mentalement. Tandis que Catarina Devon me brise physiquement, elle a un dégout pour les femmes plus belles qu'elle (ce n'est pas difficile vous me direz).


J'entends quelque chose tourné dans la serrure, et laisse entrer Vasco shot, mes yeux tremblent de peur, le viol et l'agression sexuel qu'il me fait subir sont les pires choses que je n'ai jamais connue, il rentre dans mon intimité et la brise totalement sans mon consentement, j'ai l'impression que mon corps est sali par cette vermine. Puis, je suis temporairement aveuglée par la lumière du jour que je n'ai plus vu depuis des semaines à part durant un lapse court de temps. Et aussi rapidement qu'elle est apparue, elle disparait, me plongeant à nouveau dans l'obscurité la plus totale. 


Je vois peu nettement, mais je crois voir comme habituellement Shot se lécher les babines, il a les joues rougissantes témoignant de son état d'ivresse. Il s'approche de moi, et me soulève d'une main, avant d'attacher mes menottes à un anneau au plafond de la cellule. Cet anneau est environ à la hauteur de mon assaillant. Avec sa longue langue, il me lèche le visage, ce qui dégueulasse ma belle tête d'une salive visqueuse d'un gars piteux. Il retire les mèches de cheveux de mon visage, et s'amuse avec ma chevelure châtains, avant de me baiser de force bien que j'essaie de retirer du mieux possible mon visage du sien. 


Il me pelote la poitrine d'une manière brutale, et la sensation me dégoute et me fait verser quelques larmes, il me lèche la poitrine et mes vêtements, de la salive traverse mes habits jusqu'à ma poitrine et me laisse une trace visqueuse qui coulisse sur mon corps, juste après il me doigte les parties intimes. Il fait glisser sa main sur mon visage, en passant par mes parties intimes, jusqu'au bas du corps, il s'attarde partout. Puis, il me viole, je ne vais pas m'attarder sur les détails, je suis trop dégoutée pour plus m'y attarder. 


Deux heures de tortures psychologiques plus tard, Vasco Shot s'arrête en entendant quelqu'un derrière la porte toquer. Il est essoufflé, et transpirant, tandis que moi, une matière blanche visqueuse se trouve partout sur mon corps et au sol. Je verse des larmes, j'ai l'impression que mon corps est totalement sale sans que je ne puisse rien y faire. Je n'ai pas le temps de me reposer que Devon arrive directement, avec son épée à la main, accompagnée d'un fouet. 


Elle se positionne dans mon dos, et place le tranchant de sa lame contre mon dos, avant de la faire coulisser et s'enfoncer lentement, j'hurle de douleur, des dizaines de gouttelettes de mon sang s'abattent au sol et sur mon visage, mes larmes déjà bien présentes s'accroissent encore plus. La peur, la douleur tant psychologique que physique m'empêchent de cacher mes émotions comme je le fais d'habitude si bien. Devon s'en réjouit, et fait coulisser sa lame de plus en plus doucement et profondément dans ma peau telle une sadique. 


-ça va ma jolie ? Tu sais que tu peux t'arrêter si tu coopères avec le maitre ? Petite connasse de belle fille. Propose Devon avec un sourire sadique, en buvant mon sang sur sa lame.

-... Jamais... Je réponds d'une voix hésitante et tremblotante.

Devon me répond par un ricanement, et elle prépare son fouet avec des dizaines de pointes aiguisées, et commence après trente secondes à me fouetter, et retirer extrêmement lentement les pointes aiguisées de chacune des parties de mon corps.


Avant de conclure par des enchainements de coups de poings qui font valser mes larmes, et des crachats de sangs.


Avant de conclure et de sortir de la pièce en me détachant de l'anneau, je m'abats sur le sol, une douleur incommensurable, des hémorragies externes comme internes violentes. Au sol, mes larmes s'effondrent, des traces du sperm de Vasco Shot, et mon sang partout dans la pièce. J'ai tellement mal que je suis totalement incapable de bouger un seul de mes membres. Je me touche la poitrine qui tremble, et mon vagin également. J'ai les images du viol et des tortures physiques qui défile sans cesse dans ma tête. Je suis allongée sur le ventre, la position sur laquelle je suis retombée, et mon corps tremble de peur et de douleur. L'absence de bruits et de lumières me donne l'impression que petit à petit, je vais devenir totalement folle si je ne dis pas que je suis prête à obéir à se gros crasseux. Ils ne me laisseront pas mourir, mais en revanche, ils n'hésiteront pas à me blesser grièvement physiquement et à me briser mentalement pour que j'obéisse. 


La douleur m'empêche de m'endormir, et les images qui défilent dans ma tête m'en empêche encore plus. Jusqu'à se que le lendemain matin, dans ma cellule, comme celle des autres prisonniers à mon avis, j'entends une alarme retentir, j'espère que c'est Katakuri et mes grands frère, mais je n'en ai pas la moindre idée. 


Des gardes me sortent des cellules, et me transportent dans un endroit qui m'est inconnu, une pièce spéciale, totalement cachée et qui n'est indiquée nul part dans les plans de la ruche, j'ai accès à une fenêtre, et je vois enfin la lumière du soleil, j'entends des boulets de canons valdinguer, et des centaines d'hommes sortir des navires. Je ne parviens pas immédiatement à les distinguer.

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 24, 2024 ⏰

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