Au Vent

Grâce

Le vingt-trois mars deux mille vingt-trois,
Il y a de cela une année, ce jour où mes yeux découvraient véritablement la beauté !

M'approchant d'elle, je plongeai mon regard dans le sien ; ses grands yeux étincelants réveillèrent en moi des émotions primitives, intenses. Sans perdre davantage de temps, je scellai mes lèvres aux siennes pour savourer le nectar de l'amour ; je les sentis fondre sous mes baisers, ses lèvres voluptueuses m'élevant dans les nues. Afin d'apprécier encore davantage cette expérience, je passai mon bras autour de sa taille, la tirant davantage à moi dans l'espoir que nous ne fassions plus qu'un, puis posai ma main droite sur sa callypigie, m'élevant encore plus haut dans les cieux. J'étais aux anges, et l'univers s'offrait à moi à travers elle.

Je dus un moment m'écarter d'elle pour permettre à mon cœur de retrouver son calme. Les yeux plongés dans les siens, je pouvais ressentir la férocité de ses émotions. M'approchant d'elle, je la dévêtis sans cesser de l'embrasser, mes mains curieuses explorant chaque centimètre carré de sa peau lisse et délicate.

Ce jour-là, je m'abreuvai de la sensualité de son corps ; la simple et parfaite touche d'imperfection ne fit qu'enivrer mes sens. Chaque caresse, chaque parole échangée s'harmonisait parfaitement avec la danse qui s'effectuait entre nos deux corps, liant nos âmes désireuses que ce moment s'éternise à jamais. Chaque courbe, chaque ligne révélait l'existence d'un artiste au sommet de son art.

Le chemin que traçaient mes mains me révéla le mystère de l'équilibre parfait entre la sensualité et la sauvagerie, la subtilité et l'audace de ce corps gracieux.

En cet instant, les secrets de l'univers se révélèrent à moi.