𝐃𝐚𝐧𝐬 𝐭𝐞𝐬 𝐲𝐞𝐮𝐱 𝐥'𝐞𝐧𝐟𝐞𝐫 𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞 𝐬𝐢 𝐛𝐞𝐚𝐮 [𝐓𝐨m 𝐤𝐚𝐮𝐥𝐢𝐭z 𝐱 𝚈/𝙽)]

Chapitre 19

Giovanni c'est levé de sa chaise et s'est avancé de la porte, Tom lui est partie en direction de sa maison.
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Pdv Tom :

Cette soirée étais vraiment bizarre, je repensais à toute les scènes mais il y'en a qu'un seul qui ne voulais pas quitter ma mémoire, c'était le sourire de Y/N quand elle m'a vu elle affichait un sourire tellement merveilleux, dommage que Angelo efface ce sourire rien qu'avec sa présence et sa manière d'être.
Je suis rentré chez moi l'air de rien Bill étais au téléphone avec Quelqu'un

Tom : Je suis rentré !

Bill : Ah super

Tom : Tu parle avec qui ?

Bill : Avec Emi

Tom : C'est sure que un week-end sans la voir sa risque d'être long

Bill : Je ne te le fait pas dire

Tom : Je vais me coucher je suis fatigué

Bill : Mais il est que minuit ?

Tom : Ouais je sais, mais j'ai eu une dure et longue journée et soirée

Bill : J'imagine bon bah bonne nuit

Tom : Bonne nuit

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Pdv Y/N :

J'ai passé une nuit juste horrible, je n'ai pas bien dormi, je me suis réveillé plein de fois dans la nuit, soudain j'ai entendu quelqu'un toquer à la porte

Y/N : Oui ?

Angelo : Bonjour princesse

Y/N : Ah bonjour..

Angelo : Cache ta joie, bien dormi ?

Y/N : Non

Angelo : Ah dommage

Y/N : Ouais.

Angelo : Tu me fais encore la tête ?

Y/N : C'est une vrai question ?

Angelo : Dans tout les cas tu n'a rien à dire

Y/N : Je m'en serais douté

Angelo : T'a faim ?

Y/N : Nan.

Angelo : Je ne vais pas te laisser sans manger

Y/N : Ah alors pourquoi tu me demande ?

Angelo : Pour me donner bonne conscience

Y/N : Ah ok je comprends

Angelo : Bon tu viens manger

Y/N : Non

Angelo : Ce n'étais pas une question

Il m'a pris par le bras et m'a emmené de force dans une grande salle avec une grande table au centre avec des chaises autour

Angelo : Assis

Y/N : Je suis pas ton chien

Angelo : Pour l'instant

Y/N : Ta gueule

Angelo : Tu as intérêt à mieux me parler si tu veux pas rejoindre ta sœur

Les larmes me sont venue d'un seul coup je l'ai regardé avec dégoût, puis j'ai essayé de m'en aller mais un homme qui devais avoir une cinquantaine d'années m'a barré le chemin