Rêverie d'été

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L'air frais du ventilo caresse doucement mon
corps

Agitant le voile laiteux de la moustiquaire

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Je suis sous cette membrane comme à l'abris du monde

Tandis qu'au rythme du vent s'égrènent les secondes...

Infinie langueur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant